Marie-Ange Guillaume

Marie-Ange Guillaume a commencé en tant que pigiste, de 1972 à 1976, dans une rubrique du journal Pilote. Elle intègre ensuite d'autres journaux comme Libération , Le Monde de la musique, 20 ans. Plus tard, de 1999 à 2004, elle devient rédactrice pour Cosmopolitan.

Par la suite, Marie-Ange Guillaume rencontre Gérard Lauzier qui lui propose une trame de quinze pages. Elle réutilise ce scénario pour en faire un roman: Le Voleur de dentelles, publié en 1986. Elle écrit également des ouvrages jeunesse, dans l'ordre : Sacré Raoul[2], Comment chasser un monstre en 2003[3], Suzanne en 2004[4]. Elle rédige des chroniques qui sont publiées en 2005 dans Cosmopolitan. Son recueil est intitulé L'Odeur de l'homme et est préfacé par Daniel Pennac. Cette œuvre fait d'ailleurs l'objet d'une adaptation théâtrale réalisée par Christine Larivière en 2015 sous le titre Un Chien de ma chienne[5].

En 2012, elle publie Ça m'énerve, qui met en scène avec humour des situations énervantes ; cet ouvrage est remarqué[6]^,[7]^,[8]^,[9]. La même année est publié Qui dit chat, dit chien ! dessiné par Florence Cestac[10].

En 2013, son ouvrage Tout le cimetière en parle[11] reçoit le grand prix littéraire du Val Vert du Clain[12].

En 2014, Aucun souvenir de Césarée, ouvrage autobiographique, reçoit un accueil critique positif dans la presse, comme Le Monde[13], Aujourd'hui en France[14], L'Express[15], Le Télégramme[16].

Marie-Ange Guillaume écrit aussi les biographies de William Sheller, Pierre Desproges[17] et René Goscinny[18].

Bien plus, elle participe, en tant que dialoguiste, à l'adaptation de films en dessins animés. On peut citer: Les aventures de Lucky Luke, Tous à l'Ouest[19].

En 2014, elle quitte Paris pour s'installer à Sète[19].