Martin Guyaux

Martin Guyaux suit une formation à l'Académie de Bruxelles (1966-1967)[1] et devient professeur de sculpture à l'École d'Art d'Ixelles en 1968 et à l'Académie Royale des beaux-arts de Bruxelles en 1973[2]. Il vit à Montignies-le-Tilleul.

Il est renommé pour son art d'une puissance monumentale où il montre une très grande maîtrise dans les divers matériaux utilisés : pierre, marbre, bronze, or et argent. Il inscrit des signes des signes codés à la surface de ses sculptures et bas-reliefs[1], ainsi que dans ses portraits monumentaux. Il travaille aussi les petits formats en dualité des matières. Il reçoit plusieurs commandes monumentales tant en Belgique qu'à l'étranger.

Il remporte de nombreux prix  : le prix de la sculpture monumentale Winterthur (1970), société pour laquelle il réalise une œuvre ; prix triennal d'Ixelles (1974) ; médaille d'argent de la II^e biennale internationale de Ravenne en 1975[1].

Expositions internationales : Taiwan, Ravenne, Skironio (Grèce), Paris (La FNAC).

Il reçoit plusieurs commandes monumentales :

• l'école européenne d'Uccle : la Fenêtre
• centre des finances de Charleroi : colonne Martin Ankh
• métro station Botanique à Bruxelles : l'Odyssée
• esplanade du palais des Beaux-Arts de Charleroi : Passation
• Musée Kaoshiung de Taïwan (en) : l'Écriture

• 
  Colonne Martin Ankh - œuvre monumentale à la ville basse de Charleroi.
• 
  Passation - œuvre monumentale installée en face du Palais des beaux-arts de Charleroi.

• Serge Goyens de Heusch (dir.), XX^e siècle. L'art en Wallonie, Bruxelles/Tournai, Dexia/La Renaissance du livre, 2001 (ISBN 2-87193-284-0 et 2-8046-0548-5).
• Paul Piron, Dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIX^e et XX^e siècles, vol. 1 : A-K, Ohain-Lasne, Éditions Art in Belgium, 2003 (ISBN 2-930338-11-3).

• martin-ankh-guyaux.be

Site officiel

• Ressource relative aux beaux-arts :
  • (en) Bénézit

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