Maxime Boissonneault

Maxime Boissonneault nait à Saint-Stanislas-de-Kostka, Québec, Canada[4]. Il fait ses études secondaires à l'école Arthur-Pigeon, à Huntingdon. À l'adolescence, il est déjà impliqué dans la collectivité en organisant des levées de fonds pour la Fondation Mira[5]. Au CÉGEP de Valleyfield, il étudie en science administrative tout en s'impliquant auprès du Centre d'aide en français (CAF) comme tuteur. En 2013, il entreprend son baccalauréat en enseignement préscolaire et primaire à l'Université de Sherbrooke. Impliqué à différents niveaux, il lance un projet de recherche-action dès sa deuxième année de baccalauréat qui vise à développer la compétence d’écriture de textes variés des élèves du primaire de quatre commissions scolaires. Pour ce faire, un carnet des voyageurs est élaboré permettant ainsi aux élèves de vivre des expériences d’écriture positives[5]^,[6]. En 2015, alors au baccalauréat, il devient directeur général à la Municipalité de Saint-Stanislas-de-Kostka à l'âge de 23 ans[7]. Il poursuit ses études à l'École des dirigeants de HEC Montréal, en droit à l'Université Laval ainsi qu'en administration publique à l'École nationale d'administration publique[8].

Il entreprend son parcours dans la fonction publique municipale à l'âge de 23 ans, comme directeur général de la Municipalité de Saint-Stanislas-de-Kostka. Il est reconnu dans le milieu municipal québécois en se voyant honoré du prix Mérite - Positionnement stratégique de l'Association des directeurs municipaux du Québec en 2017 . En 2019, il obtient un second prix découlant des changements organisationnels innovants qu’il a apportés au sein de son administration municipale[9]^,[10]^,[11]. D'ailleurs, ces changements organisationnels sont présentés lors des Assises de l'Union des Municipalités du Québec au salon de l'innovation en 2019 comme finaliste du Mérite Ovation municipale[12]. Il est également reconnu pour différentes changements innovants dans le domaine municipal, entre autres par l'implantation d'un bureau de projets et l'amélioration des services aux citoyens[13].

Après un passage à la Commission municipale du Québec, tribunal administratif, organisme de vérification, commission d’enquête publique, administrateur et tuteur pour les municipalités en difficulté et organisme conseil pour le ministre des Affaires municipales et de l'Habitation, il devient directeur général de la Ville de Dunham en juin 2021[8]. Il amène la Ville à innover en consultant les citoyens[14], en implantant un bureau de projets[15] et faisant de l’environnement une priorité en créant un poste de chef de division aménagement et développement durable[16].

En mai 2022, la Ville de Dunham devient la première ville québécoise détenant le sceau Concilivi, une reconnaissance en conciliation famille-travail, grâce au travail de Maxime Boissonneault[17].

Le 10 juillet 2022, il annonce son départ de la Ville de Dunham à la fin août 2022[18]. Il devient directeur général de la Ville de Rigaud le 29 août 2022[19].