Mercatus Center

Le Mercatus Center de l'Université George Mason (GMU) des États-Unis est think tank américain d'orientation de marché (en anglais : market-oriented) à but non lucratif axée sur la recherche, l'éducation et la réflexion. Ce projet est composé d'experts politiques, de lobbyistes et de représentants du gouvernement pour relier les apprentissages scolaires et la pratique réelle.
Le chroniqueur du Washington Post Al Kamen a décrit Mercatus comme un « centre strictement opposé aux restrictions réglementaires anticoncurrentielles financé dans une large mesure par Koch Industries »[1].

Mercatus Center

Histoire
Fondation	1980

Cadre
Type	Organisation à but non lucratif, laboratoire d’idées
Forme juridique	Association 501(c)(3)
Domaine d'activité	Orientation de marché
Siège	3351 North Fairfax Drive Université George Mason
Pays	États-Unis
Coordonnées	38° 53′ 07″ N, 77° 06′ 01″ O

Organisation
Membres	124
Effectif	53
Chercheurs	71
Fondateur	Richard H. Fink
Direction	Tyler Cowen
Personnes clés	Donald J. Boudreaux (en) Emily Chamlee-Wright (en) Salen Churi (d) Tyler Cowen Richard H. Fink (en) Brian Hooks (en) Manuel H. Johnson Charles G. Koch Edwin Meese Vernon L. Smith Virgil Henry Storr (d)
Chiffre d'affaires	29 566 224 dollars américains (2017), 28 688 582 dollars américains (2018), 30 795 148 dollars américains (2019), 71 902 379 dollars américains (2020)
Dépenses	8,91 millions €
Site web	(en) www.mercatus.org

Identifiants
IRS	54-1436224

L'édition 2011 du Global Go To Think Tank Index Report classe le Mercatus Center 8^e meilleur think tank affilié à une université et 49^e meilleur think tank de son top 50[2].

L'organisation défend des positions climatosceptiques et exerce un lobbying contre les lois liées à la protection de l’environnement[3].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Mercatus Center » (voir la liste des auteurs).

Al Kamen, « I Am OMB and I Write the Rules », The Washington Post,‎ 11 juillet 2006 (lire en ligne)
(en) 2011 Global Go To Tink Tanks Index Report, Scholarly Commons, University of Pennsylvania, 2011 (lire en ligne [PDF])
« Google a contribué au financement d’organisations climatosceptiques », Le Monde,‎ 11 octobre 2019 (lire en ligne)

Articles connexes

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[1] Al Kamen, « I Am OMB and I Write the Rules », The Washington Post,‎ 11 juillet 2006 (lire en ligne)

[2] (en) 2011 Global Go To Tink Tanks Index Report, Scholarly Commons, University of Pennsylvania, 2011 (lire en ligne [PDF])

[3] « Google a contribué au financement d’organisations climatosceptiques », Le Monde,‎ 11 octobre 2019 (lire en ligne)