École nationale supérieure des mines d'Alès
L'École nationale supérieure des mines d'Alès, aussi connue sous le nom de IMT Mines Alès, École des mines d'Alès ou EMA, est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[1].
La science et la créativité pour inventer un monde durable |
Fondation |
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Type | |
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Siège | |
Pays | |
Coordonnées |
44° 07′ 57″ N, 4° 05′ 22″ E |
Direction | |
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Organisation mère |
Institut Mines-Télécom (depuis ) |
Affiliation | |
Site web |
Fondée en 1843 sous l'ordonnance royale du roi Louis-Philippe, l'école est l’une des plus anciennes écoles d'ingénieurs. Historiquement implantée à Alès, elle dispose aujourd'hui d'une extension à Pau. Elle est membre de l'Institut Mines-Télécom, du Groupe des écoles des mines et de la Conférence des grandes écoles. Les cursus menant soit au diplôme d'ingénieur « historique » de l'école des mines d'Alès (Ingénieur généraliste), soit aux diplômes d'ingénieur spécialisé par apprentissage de l'école, se déroulent en trois ans.
Histoire
Pour répondre au besoin de formation de maîtres mineurs compétents, le projet de création d'une école fut adopté au Conseil municipal de la ville d'Alès le . En , le conseil général émit un avis favorable. Le , une ordonnance royale institue l'école. La première promotion fut installée en . L'École a d'abord été un outil de promotion sociale pour le bassin d'Alès. Le niveau d'enseignement y augmente progressivement, de plus en plus de candidats se présentent, et les élèves sortants occupent des postes de chefs d'exploitation et d'ingénieurs[2].
La Première Guerre mondiale (1914-1918) oblige l'École à fermer ses portes.
Pendant la période 1918 à 1960, les offres de formations dans le domaine de la mine proposées par l'École se diversifient (personnel de maîtrise et géomètre des mines, conducteurs de travaux miniers…), mais comme il n'y a pas de diplôme défini, le nombre d'élèves baisse. Pour attirer plus de candidats, une campagne d'information, la construction d'une nouvelle école et la proposition d'un diplôme d'ingénieur - autorisé dès 1965 - sont mises en place.
De 1960 à 1970, l'École devient l'Ecole nationale technique des mines d'Alès. Devant la baisse de l'activité minière, l'établissement diversifie ses enseignements vers de nouveaux domaines industriels.
Dès la rentrée 1973, l'EMA reçoit - pour la première fois - une élève féminine, puis 3 en 1975 et 5 en 1976 (le pourcentage progressera lentement pour arriver à plus de 30 % aujourd'hui), et favorise par son enseignement la création d'entreprises.
Les années 1990 voient l'implantation de l'École en dehors d'Alès sur deux sites situés à Nîmes et Pau.
En 1999, l'enseignement et la recherche se déclinent sur trois axes :
- Culture de l'entrepreneuriat ;
- Incubateur technologique ;
- Partenariats avec les technopoles.
En , l'École devient un établissement public à caractère administratif rattaché à l'Institut Mines-Télécom, nouvellement créé[3]. Par ailleurs, sa dénomination officielle change, passant de Ecole nationale supérieure des techniques industrielles et des mines d'Alès (ENSTIMA) à simplement Ecole nationale supérieure des mines d'Alès (Mines Alès)[3].
En 2017, l'École devient une école interne de l'IMT[4] et voit sa dénomination commerciale changer pour IMT Mines Alès, ainsi que son logo afin de marquer son appartenance à l'IMT[5]. À la rentrée 2017, elle rapatrie ses activités situées à Nîmes vers le site de Croupillac à Alès[6].
Face à la croissance de la voie de l'apprentissage à l'école, le campus Louis Leprince-Ringuet situé dans la zone d'activité de Croupillac à Alès est agrandi pour un budget de 17 millions d'euros. Un bâtiment dédié aux élèves en alternance est inauguré en décembre 2019, ainsi qu'un Hub créativité ouvert en 2021 pour tous les élèves de l'école « favorisant l'esprit créatif »[7].
Identité visuelle
(19XX-200Y) (200Y-2013) (2013-2017) Logo depuis le
Enseignement
Ingénieur généraliste
Après une première année commune, les élèves de deuxième et troisième année choisissent une option de spécialité parmi les 10 proposées, au sein de 6 grandes thématiques, portées par les laboratoires de recherche de l'École : Génie Civil et Bâtiment Durable (GCBD), Environnement, Energie et Risque (EER), Informatique et Intelligence Artificielle (IIA), Ecoconception et Matériaux Innovants (ECOMAP), Ingénierie du Sous-Sol et des Ressources Minérales (ISERM) et Performances Industrielles et Systèmes Mécatroniques (PRISM)[8].
Se voulant tournée vers l'international, l'École offre la possibilité aux élèves d'effectuer un ou plusieurs semestres à l'étranger, ainsi que des doubles diplômes avec des universités et écoles partenaires.
Le recrutement des futurs élèves-ingénieur se fait majoritairement via le Concours Mines-Telecom (banque de notes du concours commun Mines-Ponts), le reste des places est prévu via des admissions parallèles.
Ingénieur par apprentissage
L'École ouvre en septembre 2008 deux formations d'ingénieurs spécialisés en alternance par apprentissage, d'une durée de 3 ans : l'une dans le domaine du bâtiment (CMC, conception et management de la construction) et l'autre dans le domaine de l'informatique et des réseaux (INFRES). Elle propose depuis 2015 une formation en mécatronique (MKX)[9].
Ces formations sont ouvertes aux titulaires de certains diplômes bac + 2 (DUT, BTS et L2) ou issus de classe préparatoires, et sont également certifiées par la Commission des titres d'ingénieur. Elles délivrent donc également un diplôme d'ingénieur.
Installations
Unités de recherche
- LSR (Laboratoire des Sciences des Risques)
- PCH (Polymères composites et hybrides)
- UMR Euromov-DHM
- UMR HSM (Hydrosciences Montpellier)
- UMR IPREM (Institut de physico-chimie pour l'environnement et les matériaux)
- UMR LMGC (Laboratoire de Mécanique et Génie Civil)
Incubateur technologique
L'école propose un incubateur technologique[10],[11] ainsi qu'une pépinière d'entreprises[12].
L'incubateur est un des plus anciens et prestigieux de France. Il a notamment accompagné des entreprises comme Teads ou MEDTECH.
Musée minéralogique
L'École des mines d'Alès possède un musée minéralogique en raison de son histoire[13]. Ce musée est destiné à l'origine à l'enseignement des élèves-ingénieurs[14]. Ces collections ont formé la base du Musée Minéralogique de l'École des Mines d'Alès. Ce musée s'est enrichi par quelques achats, mais principalement grâce aux dons d'anciens élèves ou d'amateurs éclairés. Le musée dispose d'une collection de plus de 100 000 échantillons[15]. Le musée est ouvert au public et présente trois collections :
- La collection minéralogique,
- La collection paléontologique,
- La collection pétrographique.
Classement
Au niveau national, IMT Mines Alès a fait son entrée dans le « groupe A » du classement des écoles d'ingénieur de L'Étudiant en 2020. La progression de l'école dans ce classement est constante, passant de la 62e place en 2016 à la 24e en 2022[16]. En 2022, l'école entre dans le Top 30 des écoles d'ingénieurs françaises établi par Le Figaro[17]. À noter que le classement publié par Industrie et Technologies concerne la capacité d'innovation des écoles en matière de recherche et d'entrepreneuriat.
Classement | Rang | ||
---|---|---|---|
2020 | 2021 | 2022 | |
L'Étudiant[18] | 33 | 27 | 24 |
Le Figaro[19] | - | - | 28 |
L'Usine nouvelle[20] | 51 | 70 | 44 |
Industrie et Technologies[21] | 29 | 74 | - |
DAUR[22] | 57 | 33 | - |
Vie étudiante
Résidence
La majeure partie des étudiants de l'école vivent à la Maison des Élèves (surnommée la Meuh), installée dans une pinède de dix hectares à Alès, à moins de 2 km de l'école. Ouverte en 1976, elle est gérée par Mines Alès Alumni, l'association des anciens élèves de l'école[23]. Le site offre au sein des vingt-quatre bâtiments 702 logements : des chambres individuelles ou doubles, meublées et équipées ainsi que des studios.
Le site dispose de pavillons d'accueil et d'un ensemble de locaux communs : deux laveries, des cuisines communes, des salles de jeux, une salle de musique, un bar, une boîte de nuit ainsi qu'un espace de coworking.
Il a été agrandi en 2018 pour répondre à la demande à la suite de l'ouverture du campus dédié à l'apprentissage, à la recherche, à l'innovation et à la créativité sur le site Louis Leprince-Ringuet[24]. 180 logements supplémentaires de type studios ont ainsi été construits[25].
Clubs et associations
Le Cercle des Élèves[26] est le nom du Bureau des élèves de l'école, une association loi de 1901 qui regroupe les étudiants de l'École des Mines d’Alès dans le but de coordonner et d’animer des activités socioculturelles mais aussi de promouvoir des évènements tout au long de l’année visant à faire connaître l'École des Mines d'Alès et ses étudiants. Il gère en lien notamment avec le Bureau des sports et le Bureau des arts les nombreuses associations de l'école.
Créée en 1989 à l'initiative de trois étudiants, Emagine était la Junior-Entreprise de l'École des mines d'Alès[27]. Cette association loi de 1901 visait à permettre aux élèves de compléter leurs enseignements à l'école par un apprentissage pratique sous forme d'études auprès du monde professionnel. En 2014, elle est nommée pour la première fois dans son histoire parmi les 30 meilleures junior-entreprises de France par la Confédération nationale des Junior-Entreprises (CNJE)[28]. Elle disparaît cependant en 2019 à la suite d'une mauvaise gestion financière. Une nouvelle junior est créée l'année suivante sous le nom de Mines Alès Junior Études (MAJE). Sa première étude est lancée en mars 2022[29].
Depuis 2002[30], les étudiants organisent également le Festival de la Meuh Folle, festival de musique annuel qui se tient au Parc des expositions de Méjannes-lès-Alès[31].
Sport
Les équipes sportives de l'École des Mines d'Alès participent à de nombreux tournois étudiants, comme le Challenge Centrale Lyon (CCL), le TRAMS, le TOSS ou le Cartel des Mines, un événement sportif annuel de trois jours créé en 1962 à l'initiative des mines de Paris regroupant des équipes de toutes les Écoles des Mines d'Europe (Paris, Douai, Nantes, Alès, Albi-Carmaux, Saint-Étienne, Nancy, Madrid, Vigo, Oviedo, Turin, Bochum, Cracovie, Saint-Pétersbourg) ainsi que depuis 2013 l'Emines de Benguerir au Maroc. L'IMT Mines Alès est l'école la plus titrée avec 35 victoires sur 46 éditions, dont 9 victoires de suite de 2010 à 2018[32].
Les équipes de l'EMA participent également aux championnats universitaires de la Ligue Occitanie FFSU et plus particulièrement de l'académie de Montpellier. Les équipes de sports collectifs disputent également les tours régionaux du Championnat de France des Écoles (CFE). Elles parviennent certaines années à accéder aux phases finales nationales. En 2020, les footballeurs de l'école, appelés « les Coqs », réalisent un parcours historique dans la compétition en atteignant les quarts de finale, échouant face à l'ICAM Nantes[33]. Les handballeurs, appelés « les Poireaux », ont eux atteints en 2018 pour la première fois le Final 8 du championnat de France et ont fini à la sixième place[34], avant d'y retourner en 2022 pour se classer quatrième de France[35]. Les handballeuses, appelées « les Dindes », y participent en 2017 et se classent huitième meilleure équipe de France[36],[37]. Enfin, en 2016, ce sont « les Gorilles », les basketteurs de l'école, qui se classent 4e du CFE[38].
Depuis 2008, les étudiants de l'école organisent au mois d'octobre le Trophée Orlandini, un tournoi de rugby à sept avec différentes écoles du sud de la France. Il est nommé en hommage à Henri Orlandini, ancien entraîneur à l'école. Il se compose sur une journée d'un tournoi masculin et féminin ainsi qu'un show Pompoms[39].
Personnalités liées à l'école
Directeurs
Thierry de Mazancourt est nommé directeur de l'école à partir du , après avoir été le président du conseil d'administration de 2017 à 2018. Le , il annonce son départ pour le et est remplacé par Assia Tria le .
Présidents du Conseil d'école
L'actuel président du conseil d'administration est Thierry Trouvé, directeur général de GRTgaz.
Anciens élèves
- François Joseph Fournier (1857-1935), aventurier belge
- Général Abdon Robert Casso (1912-2002), résistant français, commandant la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris, maire de Valmanya, maire du 17ème arrondissement de Paris.
- Michel Lallement (1942-), ancien président de Razel Bec
- Mohamed Moubdii[44] (ar) (1954-), ministre délégué marocain
- Claire-Anne Reix[45] (1958-), présidente du Palais des festivals et des congrès de Cannes
- Pierre Keiflin[46] (1959-), cofondateur de Netia et Vogo
- Hervé-Yves-Martin Hehomey[47] (1963-), ministre des infrastructures et des transports du Bénin
- Christophe Carniel[46] (1966-), cofondateur de Netia et Vogo
- Mohammed Talal[48] (1966-), dirigeant de sociétés et vice-président du patronat marocain
- Sébastien Martinez[49] (1987-), champion de France de mémoire
- Andrej Golić (1974-)[50], handballeur international français
- Jean-Philippe Haon[51] (1981-), handballeur français
Autres personnalités
Depuis la fin des années 1940, chaque promotion est parrainée par une ou plusieurs personnalités françaises ou étrangères[52], parmi lesquelles on retrouve entre autres Jean d'Ormesson (parrain de la promotion 162), Edmond H. Fischer (parrain de la promotion 150) ou bien encore Michel Crépeau (parrain de la promotion 134).
- Bernard Pagès (1940-), sculpteur dont l'œuvre « La Pierre à l'éperon »[65] se trouve dans les jardins de l'école
- Tahar Ben Jelloun (1944-), parrain de l'association des internationaux de l'école des mines d'Alès
- Hassan Abouyoub (1952-), président d'honneur de l'association des internationaux de l'école des mines d'Alès
- Henri Orlandini (1955-2016), coach sportif à l'école
Notes et références
- Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
- « Histoire de l'Ecole des Mines d'Ales (ou Alais) », sur www.annales.org (consulté le )
- Décret no 2012-279 du 28 février 2012 relatif à l’Institut Mines-Télécom
- Décret no 2016-1527 du 14 novembre 2016 modifiant le décret no 2012-279 du 28 février 2012 relatif à l'Institut Mines-Télécom.
- « Bruno Goubet, directeur de l’École des mines d'Alès, dresse le bilan », sur midilibre.fr (consulté le )
- « Nîmes : une école d’ingénieurs remplacera l'école des mines d'Alès », sur midilibre.fr, (consulté le ).
- « Le nouveau campus de l'IMT Mines Alès se dessine », sur Le Mag Alès, (consulté le ).
- « Formation | IMT Mines Alès », sur www.mines-ales.fr (consulté le )
- « Enseignements Mécatronique | Site de l'Ecole des mines d'Alès », sur www.mines-ales.fr (consulté le )
- « L’INCUBATEUR TECHNOLOGIQUE DE L’ÉCOLE DES MINES D’ALÈS. L'incubateur des Mines d'Ales est un des plus anciens et des prestigieux de France. Plusieurs entreprises ou entrepreneurs de renom y sont passés (Entre autres : TEADS, MEDIAPIC ...). », sur Alès Cévennes (consulté le )
- « Incubateur Mines Alès », sur incubateur.cohttp://www.mines-ales.fr/incubateur
- « L’Ecole des Mines d’Alès et ses pépinières d’entreprises : stratégie et actualité », sur entreprendre en languedoc, (consulté le )
- http://mines-ales.fr/pages/le-musee-mineralogique-de-lecole-des-mines-dales
- « Le Musée Minéralogique de l'Ecole des Mines d'Alès | Site de l'Ecole des mines d'Alès », sur www.mines-ales.fr (consulté le )
- « Location de vacances - Gîtes, Chambres d'hôtes / Gîtes de France® », sur Gîtes de France® (consulté le ).
- « GARD L'IMT Mines Alès classé parmi les 15% des meilleures écoles d'ingénieurs », sur Objectif Gard, (consulté le )
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- « Classement 2022 des écoles d'ingénieurs - L'Etudiant », sur L'Étudiant, (consulté le )
- « Classement 2022 des écoles d'ingénieurs excellence », sur Le Figaro Etudiant (consulté le )
- « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs »,
- « Classement des écoles d’ingénieurs 2021 », Industrie et Technologies, (lire en ligne)
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- « ALÈS 72 logements rénovés pour les élèves de l'Ecole des Mines et 260 studios de plus en perspective... », sur Objectif Gard, (consulté le )
- Élodie Boschet, « ALÈS Ecole des mines : la Maison des élèves s’agrandit pour 2018 », sur Objectif Gard, (consulté le )
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- http://www.emagine.asso.fr/presentation/la-junior-entreprise
- « FAIT DU JOUR La junior-entreprise de l'École des mines d'Alès célèbre ses 25 ans », sur Objectif Gard, (consulté le )
- MAJE, « Lancement de la première étude ! », sur LinkedIn, (consulté le )
- « Festival de la Meuh Folle 2013 / TV Languedoc », sur TV Languedoc (consulté le ).
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- IMT Mines Alès, « Le Cartel des Mines - Alès 2021 se passera ici, à Alès ! », sur Facebook, (consulté le )
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- [PDF] « Résultats CFE Handball 2022 », sur sport-u.com (consulté le )
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- Arrêté du 8 novembre 2021 portant nomination de la directrice de l'Ecole nationale supérieure des mines d'Alès, (lire en ligne)
- Arrêté du 11 janvier 2017 portant nomination du président du conseil d'école de l'Ecole nationale supérieure des mines d'Alès, (lire en ligne)
- Arrêté du 19 janvier 2018 portant nomination du président du conseil d'école de l'Ecole nationale supérieure des mines d'Alès : M. TROUVÉ (Thierry), (lire en ligne)
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- « Journal d'information du Grand Alès en Cévennes - janvier 2006 - n°47 »
- Le Soleil doit pouvoir briller pour tout le monde (Maurice André) : Souvenirs et mémoires du Trompette du siècle, Editions Publibook, , 88 p. (ISBN 978-2-7483-7503-9, lire en ligne)
- « Journal d'information du Grand Alès en Cévennes - juin 2008 - n°72 »
- « Dossier de presse 2008 baptême de la promotion sortante »
- Service Communication - Cellule Web - Ville d'Ales, « Portail Alès en Cévennes », sur www.alescevennes.fr (consulté le )
- « Un ancien élève parraine la promotion de lEMA », sur www.midilibre.fr (consulté le )
- « Alès : le PDG de Total parrain de 263 nouveaux ingénieurs », sur MidiLibre.fr (consulté le )
- « La Pierre à l'éperon (Bernard Pagès) - atlasmuseum », sur publicartmuseum.net (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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