Myriam Thélen
Marie Guérin, dite Myriam Thélen (épouse Nelet), est une autrice de langue française. Née en 1857 à Désertines et morte en 1929 à Paris, elle est l'auteur de romans sentimentaux.
Myriam Thélen
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Marie Élisabeth Justine Guérin, Marie Élisabeth Justine Guérin |
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De nombreux spécialistes font d'elle une précurseur des théories féministes de la fin du XXe siècle, en lien avec Marthe Bertheaume. Elle fut cependant marginalisée par les principaux courants féministes à cause de sa foi catholique, très présente dans ses écrits. Elle est à l'origine de la commande de plusieurs vitraux à Auguste Alleaume[2].
Elle meurt le , en sa demeure à Paris 16e[3],[4] et est enterrée dans sa ville natale selon ses souhaits.
Investie dans des œuvres sociales, elle lègue à la ville de Fougères un immeuble[5] qui deviendra l'Œuvre Ste Marthe.
Bibliographie
- Elle écrit d'abord des articles dans Le progrès de Fougères, l'Illustration, le Correspondant et La revue française.
- À l'Aube, 1905
- La Mésangère, 1909, (Prix Montyon de l'Académie française)
- Les Aventures d'une Bourgeoise à Paris, 1911 (republié sous forme de roman-feuilleton dans L'Action française du au )
- Ceux d'Hier, * Ceux d'Aujourd'hui, 1913
- En collaboration avec Marthe Bertheaume, L'Interne, 1920
- En collaboration avec Marthe Bertheaume, Le docteur Odile, 1923
Notes et références
- Notice de la BnF
- L’Ouest-Éclair, 10 janvier 1929 .
- État civil de la ville de Paris, 16e arrondissement. Acte 53 Guérin Vve Nélet (page 6/31) Le huit janvier mil neuf cent vingt neuf, quatre heures, est décédée, en son domicile avenue de Tokio 6, Marie Élisabeth Justine Guérin, dite Myriam Thélen, née à Désertines (Mayenne) le huit novembre mil huit cent cinquante sept, femme de lettres, fille de Constant Guérin, et de Marie Élisa Fresnais, époux décédés ; veuve de Eugène Nélet. Dressé le neuf janvier mil neuf cent vingt neuf, dix heures vingt minutes, sur la déclaration de Charles Lamarche, soixante deux ans, employé, domicilié rue de la Pompe, qui, lecture faite, a signé avec nous…
- La ville devait obligatoirement ouvrir une crèche au profit des enfants pauvres d'une école, et ce sera en fait un dispensaire
Liens externes
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