Naftali Bennett
Naftali Bennett (en hébreu : נפתלי בנט), né le à Haïfa, est un homme d'affaires et homme d’État israélien. Il est Premier ministre d'Israël du au .
Pour les articles homonymes, voir Bennett.
Naftali Bennett נפתלי בנט | |
Naftali Bennett en 2021. | |
Fonctions | |
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Premier ministre alternant d'Israël | |
En fonction depuis le (2 mois et 3 jours) |
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Président | Isaac Herzog |
Premier ministre | Yaïr Lapid |
Gouvernement | Lapid |
Prédécesseur | Yaïr Lapid |
Député à la Knesset | |
En fonction depuis le (2 ans, 11 mois et 1 jour) |
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Élection | 17 septembre 2019 |
Réélection | 2 mars 2020 23 mars 2021 |
Législature | 22e, 23e et 24e |
– (3 ans, 4 mois et 24 jours) |
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Législature | 20e |
Prédécesseur | Avi Wortzman |
– (2 ans, 8 mois et 4 jours) |
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Élection | 22 janvier 2013 |
Réélection | 17 mars 2015 |
Législature | 19e et 20e |
Successeur | Shuli Mualem |
Premier ministre d'Israël | |
– (1 an et 17 jours) |
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Président | Reuven Rivlin Isaac Herzog |
Alternant | Yaïr Lapid |
Gouvernement | Bennett |
Législature | 24e |
Coalition | Yesh Atid-Bleu et blanc-HaAvoda-Israel Beytenou-Yamina-Nouvel Espoir-Meretz-Ra'am |
Prédécesseur | Benyamin Netanyahou |
Successeur | Yaïr Lapid |
Ministre des Affaires communautaires | |
– (1 an, 2 mois et 22 jours) |
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Président | Reuven Rivlin Isaac Herzog |
Premier ministre | Lui-même |
Ministre de la Défense | |
– (6 mois et 5 jours) |
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Président | Reuven Rivlin |
Premier ministre | Benyamin Netanyahou |
Gouvernement | Netanyahou IV |
Prédécesseur | Benyamin Netanyahou |
Successeur | Benny Gantz |
Ministre de l'Éducation | |
– (4 ans et 21 jours) |
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Président | Reuven Rivlin |
Premier ministre | Benyamin Netanyahou |
Gouvernement | Netanyahou IV |
Prédécesseur | Shai Piron |
Successeur | Benyamin Netanyahou |
Ministre de la Diaspora[alpha 1] | |
– (6 ans, 1 mois et 6 jours) |
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Premier ministre | Benyamin Netanyahou |
Gouvernement | Netanyahou III et IV |
Prédécesseur | Benyamin Netanyahou |
Successeur | Benyamin Netanyahou (indirectement) |
Ministre de l'Économie | |
– (2 ans, 1 mois et 26 jours) |
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Premier ministre | Benyamin Netanyahou |
Gouvernement | Netanyahou III |
Prédécesseur | Shalom Simhon |
Successeur | Aryeh Deri |
Ministre des Affaires religieuses | |
– (2 ans, 1 mois et 26 jours) |
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Premier ministre | Benyamin Netanyahou |
Gouvernement | Netanyahou III |
Prédécesseur | Yaakov Margi |
Successeur | David Azulai |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Haïfa (Israël) |
Nationalité | Israélienne Américaine (1972-2013) |
Parti politique | Likoud (2006-2012) Le Foyer juif (2012-2018) Nouvelle Droite (depuis 2018) Yamina (2019, 2020-2022) B'Yachad (2022) |
Conjoint | Gilat Bennett (en) née Einav |
Enfants | quatre enfants |
Diplômé de | Université hébraïque de Jérusalem |
Profession | Homme d’affaires |
Religion | Judaïsme orthodoxe |
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Premiers ministres d'Israël | |
Il dirige le parti politique nationaliste Yamina (« À droite »), après avoir été à la tête de la formation nationaliste et sioniste religieuse Le Foyer juif. Il est également l'un des fondateurs du mouvement Mon Israël et du Conseil de Yesha.
De 2015 à 2019, dans les gouvernements de Benyamin Netanyahou, il est ministre de l'Éducation, ministre de la Diaspora et membre du cabinet de Sécurité et, de 2019 à 2020, ministre de la Défense.
À la suite des élections législatives de 2021, il provoque le départ de Netanyahou en formant une coalition hétéroclite de huit partis — allant de la gauche à l’extrême droite et incluant une formation islamiste — qui obtient la confiance d'une voix. Naftali Bennett devient ainsi Premier ministre et devait le rester jusqu’en 2023, lorsque devait lui succéder le centriste Yaïr Lapid. Finalement il démissionne le et devient Premier ministre alternant tandis que Lapid lui succède comme Premier ministre en titre.
Situation personnelle
Famille et origines
Naftali Bennett naît à Haïfa. Sa famille, d'origine polonaise, allemande et hollandaise, descendante de la dynastie rabbinique des Rappaport, a émigré, de San Francisco, aux États-Unis vers Israël en 1967 : il détient ainsi la nationalité américaine jusqu'à son entrée au Parlement israélien[1].
Bien que ses parents soient peu pratiquants, lui-même s'engage au sein d'une organisation de jeunesse sioniste religieuse, le Bnei Akiva, qui milite notamment en faveur de l'expansion territoriale d’Israël[2].
Parcours militaire
Mobilisé en 1990, il sert dans la Sayeret Matkal (l’« escouade de l’état-major »), puis dans les commandos Maglan. Il participe en 1996 avec le grade de commandant à l'offensive israélienne contre le Hezbollah au Liban. Le 18 avril, alors que son unité subit des tirs de mortier, il ordonne de bombarder le village de Cana, qui abrite un bâtiment des Nations unies et de nombreux réfugiés, tuant 102 civils et 4 Casques bleus[2].
Carrière professionnelle
Diplômé en droit de l’université hébraïque de Jérusalem, il fonde avec des associés en 1999 deux start-up de logiciels de « cyberprotection », nommées Cyota et Soluto. Après la vente de ses deux sociétés à des fonds américains en 2009 et 2013 pour une somme estimée à plus de 250 millions de dollars, il entre en politique[2].
Parcours politique
Débuts au Likoud
Nommé chef du bureau de campagne du Likoud au côté de Benjamin Netanyahou entre 2006 et 2008, il dirige la réforme sur l’éducation. De à , Naftali Bennett est dirigeant du Conseil de Yesha, une organisation de défense des intérêts des colons en territoires occupés[2].
En 2010, Naftali Bennett et son groupe « Mon Israël » lancent une initiative de correction de Wikipédia, pour y réviser les articles présentant selon eux des points de vue pro-Palestiniens. L'initiative comprend des cours d'éditions de Wikipédia, ainsi qu'un concours du « Meilleur éditeur sioniste », avec un voyage en montgolfière à la clé[4],[5],[6].
En 2012, il quitte le Likoud pour rejoindre le parti Le Foyer juif, parti politique classé à l'extrême droite de l'échiquier politique[7].
Premières responsabilités ministérielles
Le , il est élu à la tête du parti Le Foyer juif avec 67 % des voix. Il présente une liste aux élections législatives israéliennes de janvier 2013, avec en tête de liste des membres religieux et non religieux, qui obtient 12 sièges[8]. Il obtient le poste de ministre de l'Économie mais aussi celui des Affaires religieuses dans le gouvernement Netanyahou III. Lors des élections législatives du , son parti Le Foyer juif obtient 8 sièges. Le , il est nommé ministre de l'Éducation et de la Diaspora dans le gouvernement Netanyahou IV.
À ce poste, il instaure par décret l’interdiction aux établissements scolaires publics d’accueillir les représentants d’une série d’associations israéliennes critiquant les positions du gouvernements vis-à-vis des Palestiniens, visant en particulier l'ONG Breaking the Silence. Il fait également interdire l'usage du terme « Nakba » dans les manuels scolaires[2].
En novembre 2018, il exige d'obtenir le portefeuille de la Défense en échange du maintien du Foyer juif au sein du gouvernement, ce qui est susceptible de provoquer des législatives anticipées. Il renonce finalement à cette exigence[9]. En , en vue des élections législatives de 2019, il quitte Le Foyer juif pour former, avec Ayelet Shaked, le parti de la Nouvelle Droite. Le parti échoue de 0,03 point à atteindre le seuil de 3,25 % pour entrer à la Knesset[10]. Il perd donc son mandat de député. Puis il est limogé par Benyamin Netanyahou le de son poste de ministre de l'Éducation[11]. Il crée ensuite Yamina, une formation issue du sionisme religieux nationaliste, en réunissant plusieurs petits partis de droite radicale[12].
Ministre de la Défense
Candidat aux élections législatives du 17 septembre 2019 sur la liste de la coalition Yamina, il est élu député pour la 22e législature de la Knesset, où il siège à compter du . Il est nommé ministre de la Défense dans le gouvernement Netanyahou le suivant[13]. Il conserve son poste jusqu'au .
Retour à la Knesset
Il est réélu député en 2020 et 2021 pour les 23e et 24e législatures de la Knesset.
Premier ministre
Alors que le Likoud arrive en tête du scrutin de 2021, Netanyahou est chargé de former un gouvernement le 6 avril[14]. Il doit cependant retourner son mandat au chef de l'État sur un constat d'échec le , puisque après 28 jours de négociations, il n'est effectivement pas parvenu à rallier les soutiens de ses anciens ministres Naftali Bennett et Gideon Sa'ar, dont les suffrages sont indispensables pour bénéficier de l'appui d'une majorité parlementaire[15].
Les partis de droite soutenant Benyamin Netanyahou recommandent sans succès au président Reuven Rivlin de ne pas désigner de nouveau mandataire et de renvoyer la formation du futur exécutif à la Knesset, ce qui garantirait une nouvelle chance au Premier ministre sortant de se maintenir au pouvoir[16]. Le président de l'État choisit cependant de confier la tâche à Yaïr Lapid[17].
Bennett annonce le qu'il est disposé à former un gouvernement d'union nationale avec d'autres partis de droite, du centre et de gauche afin d'écarter du pouvoir le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, et de lui succéder[18]. En dépit de sa proximité idéologique avec Benjamin Netanyahu, les deux hommes ne s’apprécient guère sur le plan personnel et s’invectivent en période électorale[19]. Selon le journaliste israélien Anshel Pfeffer, auteur d’une biographie sur Benyamin Netanyahou, ce dernier est contraint de partir non à cause de son idéologie mais parce qu’il a menti et intimidé trop d’alliés et de partisans politiques : « le trio de dirigeants de partis de droite qui a organisé sa chute - Naftali Bennett, Gideon Sa'ar et Avigdor Liberman - aurait pu rester des lieutenants loyaux, comme ils l’étaient tous autrefois. Avant qu’il ne les transforme en ennemis acharnés » estime-t-il[12].
Lapid, président de Yesh Atid reçoit ainsi le soutien de Yamina mais également celui des partis Nouvel Espoir et Israel Beytenou, du Parti travailliste israélien et du Meretz, ainsi que de Bleu et blanc. Pour obtenir la majorité des députés, le gouvernement doit encore avoir le soutien de députés arabes israéliens[20]. Le 3 juin, après un accord avec la Liste arabe unie, Lapid annonce avoir réussi à former une coalition. Il dispose d'une semaine pour former un gouvernement de coalition[21]. Bennett doit être Premier ministre durant les deux premières années, avant que Lapid, qui sera entretemps ministre des Affaires étrangères et Premier ministre alternant, ne lui succède en 2023, jusqu'au terme de la législature en 2025[22].
Le gouvernement Bennett-Lapid reçoit la confiance de la Knesset, le 13 juin, par seulement 60 voix contre 59[23]. Lors de son discours inaugural, il affirme qu’il fallait « renforcer les colonies sur toute la terre d’Israël », en référence au Grand Israël, censé englober les Territoires palestiniens[12]. Le discours de Bennett est chahuté par les députés Likoud fidèles à Netanyahou pendant quelques minutes[12].
Le , le cabinet Bennett enregistre un premier succès en faisant approuver le budget de l'État par le gouvernement, une première depuis 2018[24]. Le budget pour l'année courante (2021) et celui pour 2022 sont adoptés par la Knesset les 4 et , une autre première depuis 2018[25].
Il annonce en décembre 2021 un plan visant à accélérer la colonisation du plateau du Golan, un territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël, en y déployant 23 000 colons juifs supplémentaires[26].
Durant l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022, il s'implique dans un essai de médiation entre l'Ukraine et la Russie. Pour cela, le samedi 5 janvier 2022 il rompt le shabbat — qu'il respecte chaque semaine en tant que juif observant — pour aller rencontrer le président russe Vladimir Poutine à Moscou, puis le chancelier allemand Olaf Scholz[27], ce dont le président ukrainien Volodymyr Zelensky le remercie[28].
À partir de juin 2022, des divergences apparaissent au sein de la coalition[29]. Le 20 juin, il annonce la dissolution prochaine de la Knesset et la convocation d'élections législatives[30]. Celle-ci est effective le 30 juin et Yaïr Lapid lui succède comme Premier ministre en titre le lendemain , Bennett devenant quant à lui Premier ministre alternant[31].
Prises de position
En 2010, lors d'un débat tendu avec un député palestinien qui le traite d'« usurpateur », il répond : « Vous grimpiez encore aux arbres quand un État juif existait déjà »[2],[32],[33].
Il présente en février 2012 un projet nommé « Initiative pour la stabilité d’Israël » dans lequel il plaide pour l'annexion immédiate de la zone C de la Cisjordanie, soit 63 % de son territoire. En 2018, il se prononce pour l'annexion de la totalité des territoires palestiniens[2].
Il s'oppose à la solution à deux États et à l'égalité des droits entre juifs et non juifs au sein d’Israël. Il soutient en 2018 l’adoption de la loi sur l'État-nation du peuple juif, établissant une différence légale entre les citoyens israéliens juifs et non juifs[2].
En , il déclare lors d'une conversation avec le conseiller sur la sécurité nationale : « J'ai tué beaucoup d'Arabes dans ma vie. Et il n'y a aucun problème avec ça »[34]. Il affirme par la suite avoir voulu dire que « les terroristes devraient être tués s'ils représentent une menace immédiate. »[35].
Dans l’éventualité d'un nouveau conflit avec le Hezbollah, il considère que l’armée israélienne ne doit pas opérer de distinction entre le parti chiite et l’État libanais et frapper « les institutions libanaises, ses infrastructures, son aéroport, ses centrales électriques, ses carrefours routiers, les bases de l'armée libanaise »[36].
Il défend des positions qualifiées d'ultra-libérales sur le plan économique[12].
Notes et références
Notes
- Portefeuille de Jérusalem jusqu'au .
Références
- « Naftali Bennett, un tacticien de la droite radicale qui rêve d’évincer «Bibi» », sur lefigaro.fr (consulté le ).
- Sylvain Cypel, « Naftali Bennett, le triomphe du nationalisme mystique juif », sur Orient XXI,
- (en) « Pre-Election Press Briefing with Naftali Bennett, MK », sur Jerusalem Press Club, 24 février 2015.
- (en) Wikipedia editing courses launched by Zionist groups, Rachel Shabi et Jemima Kiss, The Guardian, 18 août 2010
- (en) Zionist Internet Struggle to Hit Wikipedia, Elad Benari, israelnationalnews.com, 8 mars 2010
- (en) The right's latest weapon: 'Zionist editing' on Wikipedia, Nir Hasson, haaretz.com, 18 août 2010
- Adrien Jaulmes, « En Israël, les sionistes religieux donnent le la des législatives », Le Figaro, 21 janvier 2013, page 2.
- Adrien Jaulmes, « Nétanyahou, vainqueur en demi-teinte », sur Le Figaro,
- « La coalition de Netanyahou dans la tourmente en Israël après la démission de Lieberman », sur France 24, FRANCE24, (consulté le ).
- https://votes21.bechirot.gov.il/
- « Après leur limogeage, Shaked et Bennett remercient "sincèrement le public israélien" », sur i24News,
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- « Bennett nommé ministre de la Défense ; union entre le Likud et HaYamin HaHadash », sur Times of Israel,
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- « Israël: le bloc de B. Netanyahou recommande de renvoyer le mandat à la Knesset pour former un gouvernement », I24news, (lire en ligne, consulté le ).
- « Israël: le président Reuven Rivlin confie à Yaïr Lapid le mandat pour former une coalition », I24news, (lire en ligne, consulté le ).
- « Israël. Benjamin Netanyahu menacé par un accord entre la droite radicale et l’opposition », sur ouest-france.fr, .
- « Israël : Naftali Bennett, le leader de la droite nationaliste aux portes du pouvoir », sur France 24,
- (hr) i24NEWS, « i24NEWS », sur www.i24news.tv (consulté le ).
- « Yaïr Lapid forme une coalition et signe la fin de l'ère Netanyahou en Israël », sur L'Echo, (consulté le ).
- « Pour la première fois depuis douze ans, Israël doit changer de Premier ministre », sur Les Echos, (consulté le ).
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- Raoul Wootliff, « Malgré l’adoption du budget, l’unité de la coalition reste menacée », sur The Times of Israel,
- « Israël. Aggravation de la colonisation sur le Golan », sur L'Humanité,
- « L’Israélien Bennett, premier dirigeant étranger reçu par Poutine pour parler de la guerre en Ukraine », sur Sud Ouest,
- « Zelensky dit avoir parlé avec Bennett et le remercie pour ses efforts de médiation », sur The Times of Israel,
- « En Israël, compte à rebours de la chute du gouvernement de Naftali Bennett », sur France 24, (consulté le )
- « En Israël, la coalition au pouvoir va dissoudre la Knesset et provoquer des élections », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Israël : la Knesset dissoute, les prochaines législatives fixées au 1er novembre », sur Les Echos, (consulté le ).
- Louis Imbert, « Naftali Bennett, un improbable premier ministre issu de l’extrême droite religieuse israélienne », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- « Israël : qui est Naftali Bennett, le nouveau Premier ministre de l'Etat hébreu ? », sur francetvinfo.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Le ministre israélien Naftali Bennett n'a "aucun problème" à tuer des Arabes », L'Express, 30 juillet 2013.
- « חדשות 10 - nana10 », sur nana 10 - חדשות (consulté le )
- « En cas de guerre avec le Liban, le pays sera renvoyé au Moyen Âge, menace un ministre israélien », L'Orient-Le Jour, (lire en ligne, consulté le )
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