New Rose Hotel
New Rose Hotel est un film américain d'Abel Ferrara, sorti en 1998.
Réalisation | Abel Ferrara |
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Sociétés de production |
Edward R. Pressman Film Quadra Entertainment |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Thriller |
Durée | 93 minutes |
Sortie | 1998 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Deux amis espions industriels, Fox et X, veulent finir leur carrière en apothéose. Ils engagent donc Sandii, une très jolie chanteuse d'un bar de nuit. Elle est chargée de séduire un généticien japonais, Hiroshi, pour qu'il quitte son entreprise actuelle, Maas corporation, pour entrer dans la Hosaka corporation.
X tombe amoureux de Sandii et l'opération tourne au fiasco.
Fiche technique
- Réalisation : Abel Ferrara
- Scénario : Christ Zois et Abel Ferrara, d'après la nouvelle Hôtel New Rose (New Rose Hotel) de William Gibson
- Musique : Schoolly D
- Photographie : Ken Kelsch
- Montage : Jim Mol et Anthony Redman
- Décors : Frank DeCurtis
- Costumes : David C. Robinson
- Production : Edward R. Pressman
- Producteurs délégués : Alessandro Camon, Jay Cannold, Gregory G. Woertz et Christian Halsey Solomon (co)
- Coproducteurs : Adam Brightman, Willem Dafoe et Christopher Walken
- Producteur associé : Milena Cannaro
- Sociétés de production : Edward R. Pressman Film et Quadra Entertainment
- Distribution : Avalanche Home Entertainment, Mondo Films
- Genre : thriller, science-fiction
- Durée : 93 minutes
- Pays d'origine : États-Unis
- Langue originale : anglais
- Budget :
- Format :
- Dates de sortie[1] :
Distribution
- Christopher Walken : Fox
- Willem Dafoe : X
- Asia Argento : Sandii
- Annabella Sciorra : Madame Rosa
- John Lurie : l'homme distingué
- Yoshitaka Amano : Hiroshi
- Gretchen Mol : la femme de Hiroshi
- Ryūichi Sakamoto : le PDG de Hosaka
- Victor Argo : l'homme d'affaires portugais
- Andrew Fiscella : sex showman
Commentaires
L'histoire d'exfiltration, et de manière générale le cyberpunk, est au fond un prétexte dans ce film. Il s'agit ici de science-fiction minimaliste (sans effets spéciaux), tourné par ailleurs avec une image « basse résolution » de type vidéo.
L'histoire est narrée deux fois : une fois en « direct », et une deuxième fois lorsque le personnage X se remémore les événements. Le film apparaît plus comme un exercice de style, Frédéric Bonnaud a d'ailleurs qualifié ce film de film-cerveau (les images viennent dans le désordre, comme les pensées), à l'instar de The Blackout[2].
Distinctions
Récompenses
- Mostra de Venise 1998 : Elvira Notari Prize - mention spéciale et prix de la critique Bastone Bianco[3]
Nominations
- Mostra de Venise 1998 : en compétition officielle pour le Lion d'or
- Festival international du film de Catalogne 1998 : meilleur film
Notes et références
- (en) Dates de sortie sur l’Internet Movie Database
- Frédéric Bonnaud, « Abel Ferrara – Mission impossible », sur Les Inrocks, 27 avril 1999 ; on pourra lire aussi Jean-Marie Mollo Olinga, Éléments d'initiation à la critique cinématographique, Paris/Yaoundé, L'Harmattan, , 228 p. (ISBN 978-2-296-99070-8), p. 53
- (en) Distinctions sur l’Internet Movie Database
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Cinémathèque québécoise
- (en) AllMovie
- (en) American Film Institute
- (en) Internet Movie Database
- (en) LUMIERE
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
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