Nkambé

Les Wimbum sont probablement arrivés dans cette région entre les années 1700 et le milieu des années 1800[3]. Dans les années 1800, la région de Nkambe a connu un certain commerce d'ivoire d'éléphant, mais la région était contournée par les principales routes commerciales longue distance au nord par Fonfuka et à l'est par Ntem. Le manque de pouvoir économique et l'absence de direction unifiée la rendait quelque peu vulnérable aux attaques extérieures, et la région a plus souffert des raids d'esclaves que des royaumes plus grands et centralisés comme Nso et Bamoun.

Le président du conseil d'administration et les membres de la mission de visite de 1955 au centre vétérinaire de Nkambé s'entretenant avec des membres de l'autorité indigène de la division de Nkambé.

L'administration allemande des Grassfields a commencé vers 1901. Les bergers peuls ont commencé à arriver dans la région vers 1910. Le Royaume-Uni a pris le relais en 1916 et, en 1922, a rétabli une partie du droit autochtone dans le cadre de la politique de l'indirect rule. En 1949, Nkambe-town devient le chef d'une des trois unités administratives de la province de Bamenda, avec Bamenda et Wum[4]. Le rôle administratif de Nkambe-town s'est poursuivi depuis l'indépendance du Cameroun britannique en 1961[5].

Lors du recensement de 2005, la commune comptait 63 032 habitants[1], dont 17 191 pour Nkambé Ville.

Le limbum est parlée dans le commune de Nkambé[6].

Outre la ville de Nkambé proprement dite, la commune comprend les villages suivants [1] :

• 
  Frontière, village Njap
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  Maison traditionnel au village Njap
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  Vue des collines et des terres agricoles à Njap
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  Route vers le village Bih
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  Rochers au village Bih
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  Pâturage du bétail, Bih