Péché véniel
On nomme péché véniel, par opposition au péché mortel, un péché qui, « n’étant pas, lui, contraire à la charité, ne la fait pas perdre, ni les autres vertus non plus ». Il « affaiblit » cependant la charité, « empêche les progrès de l'âme dans l'exercice des vertus et la pratique du bien moral » et, s'il est « délibéré et resté sans repentance, nous dispose peu à peu à commettre le péché mortel »[1].
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Catégorisation
Le Catéchisme de l'Église catholique le décrit ainsi :[1]
« On commet un péché véniel quand on n’observe pas dans une matière légère la mesure prescrite par la loi morale, ou bien quand on désobéit à la loi morale en matière grave, mais sans pleine connaissance ou sans entier consentement. »
Notes et références
- Catéchisme de l'Église catholique Troisième partie, Première section, Chapitre premier, Article 8, IV.
Voir aussi
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