Paolo Giuseppe Solaro
Paolo Giuseppe Solaro di Villanova francisé en Paul-Joseph Solar de Villeneuve (né le à Hermannstadt en Transylvanie et mort le à Turin) est un cardinal italien du XIXe siècle.
Paolo Giuseppe Solaro di Villanova | ||||||||
Biographie | ||||||||
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Naissance | Hermannstadt |
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Ordination sacerdotale | ||||||||
Décès | Turin |
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Cardinal de l'Église catholique | ||||||||
Créé cardinal |
par Pie VII |
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Titre cardinalice | Cardinal-prêtre de S. Pietro in Vincoli | |||||||
Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Consécration épiscopale | ||||||||
Fonctions épiscopales | Évêque d'Aoste | |||||||
Évêque d'Aoste | ||||||||
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(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
Biographie
Paolo Guiseppe, appartient à une famille de Villanova Solaro au Piémont, fils de Giovanni-Battista Solaro, il est baptisé le et fait ses études à l'université de Turin où il devient docteur en théologie en juin 1765 et docteur droit civil et droit canon en mai 1767.
Il est ordonné prêtre le .
Vicaire générale de Turin, il est nommé au diocèse d'Aoste par le roi Victor-Amédée III de Sardaigne le . Le pape Pie VI confirme son élévation le 20 septembre. Il est consacré à Rome le 26 du même mois dans l'église Saint-André delle Valle, par le cardinal Giacinto Sigismondo Gerdil assisté par Guiseppe Maria Contesini, archevêque titulaire d'Athènes, et Pietro Luigi Galletii, évêque de Cyrène. Il prend possession de son siège le .
À la suite de l'invasion de la vallée d'Aoste par les troupes révolutionnaires françaises en 1794 il est contraint de se réfugier à Ivrée le avec une partie de son clergé.
Revenu dans son diocèse il doit résigner son évêché le lorsque le Pape Pie VII prononce la fusion de son diocèse avec le diocèse d'Ivrée par une Bulle Pontificale du 1er juin 1803 ; après il quitte définitivement le diocèse d'Aoste le [1].
Le pape Pie VII le crée cardinal lors du consistoire du .
Solaro participe au conclave de 1823 lors duquel Léon XII est élu. Il y soutient le véto de l'Autriche contre le cardinal Antonio Gabriele Severoli.
Il meurt d'apoplexie à Turin le et il est inhumé dans la crypte des archevêques de la ville.
Notes et références
- (it) Aimé-Pierre Frutaz, Fonti per la storia de la Valle d'Aosta, « Cronotassi dei vescovi », p. 321-322.
Voir aussi
Articles connexes
Source
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