Peinture Kalam
Au Kerala, les kalam, kalam ezhuthu ou kalampattu (malayalam : കളമെഴുത്തുപാട്ട് ; translittération ISO 15919 : kaḷameḻuttupāṭṭ) sont l’apanage de certaines communautés d’hommes : des peintres rituels dont la tâche héréditaire consistent à élaborer des frises anthropomorphes dans les temples et les maisons.
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Le Kalam est élaborées dans un but thérapeutique car dans l’esprit du villageois indien, les maladies, la stérilité, la mort prématurée étaient et sont encore attribuées aux puissances surnaturelles ou aux « esprits saisisseurs » qu’il convient d’amadouer ou d’anéantir par des incantations, des chants et des gestes symboliques des mains (mudra)[1].
Dans les chants coutumier du Kerala, « Pulluvanpattu » est une requis dans le « Sarppakkalam », un art rituel à la grâce des dieux des serpents. Au Nord de l'état, c'est l'imagination du shruthi, dans le Pulluvanpattu qui conçoit les humains comme des serpents et qui efface le Kalam[2].
- homme et femme pratiquant le peinture kamkam ezhutu
- Kalam ezhutu au temple Poovattoor
Notes et références
- Chantal Jumel, « Peinture Kolam-Kalam »
- Chandrasekhar 2022, p. 23.
Bibliographie
- (en) Sruthy Chandrasekhar, « Kerala and Carnatic Music », Integrated Journal for Research in Arts and Humanities, vol. 2, no 2, , p. 22-25 (ISSN 2583-1712, DOI 10.55544/ijrah.2.2.17)
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