Philippe De Backer
Philippe De Backer, né le à Ekeren, est un homme politique belge de l'Open VLD.
Philippe De Backer | |
Fonctions | |
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Ministre fédéral belge de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste Chargé de la Lutte contre la fraude sociale, de la Protection de la vie privée et de la Mer du Nord | |
– (1 an, 9 mois et 21 jours) |
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Premier ministre | Charles Michel Sophie Wilmès |
Gouvernement | Michel II Wilmès I et II |
Prédécesseur | Alexander De Croo |
Secrétaire d'État à la Lutte contre la fraude sociale, à la Protection de la vie privée et à la Mer du Nord | |
– (2 ans, 7 mois et 7 jours) |
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Premier ministre | Charles Michel |
Gouvernement | Michel I |
Prédécesseur | Bart Tommelein |
Successeur | Lui-même |
Député européen | |
– (4 ans, 7 mois et 25 jours) |
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Élection | |
Réélection | |
Législature | 7e et 8e |
Groupe politique | ADLE |
Prédécesseur | Dirk Sterckx |
Successeur | Lieve Wierinck |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Ekeren (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Parti politique | Open VLD |
Diplômé de | Université de Gand |
Il est ministre de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste depuis le dans le gouvernement Michel II, après avoir été secrétaire d'État à la Lutte contre la fraude sociale, à la Protection de la vie privée et à la Mer du Nord, à partir du au sein du gouvernement Michel I.
Biographie
Fils du célèbre médecin hippique anversois Leo de Backer[1], Philippe De Backer a grandi à Kapellen. Il a étudié la biotechnologie à l'université de Gand où il a obtenu un doctorat en 2009[2]. Pendant ses études, De Backer a été actif auprès du Liberaal Vlaams Studentenverbond (LVSV) à Gand et il était un membre principal du groupe de réflexion libéral « Liberales ». Il était aussi représentant des étudiants au conseil d'administration de l'université de Gand pendant deux ans.
Ensuite, il a travaillé dans un fonds d'investissement spécialisé dans les soins de santé au Luxembourg[2].
De 2007 à 2010, De Backer a été président de Jong VLD Nationaal. Pendant cette période, il a aussi siégé au conseil communal de Kapellen.
Le week-end des 21 et , en pleine pandémie de maladie à coronavirus, il est nommé responsable de la « task force » chargée de la recherche des matériaux indispensables à la lutte contre le coronavirus, notamment des masques, du gel hydroalcoolique, de tests ou de respirateurs[3],[4].
Parlement européen
À partir de , De Backer est membre du Parlement européen, succédant à Dirk Sterckx[5]. Il est membre de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe (ADLE), présidée par l'ancien Premier ministre belge Guy Verhofstadt. Il assure le suivi des dossiers à la commission Transport ainsi qu'à la commission Affaires économiques et monétaires.
En 2014, il occupe la première place aux élections européennes sur la liste des suppléants de l'Open Vld. Élu alors qu'il devait assurer la suppléance de Karel De Gucht pendant le mandat de commissaire européen de celui-ci, il demeure député européen après le retrait de De Gucht de la vie politique[5].
Il démissionne de son mandat le .
Secrétaire d'État fédéral
Le , il succède à Bart Tommelein comme secrétaire d'État à la Lutte contre la fraude sociale, à la Protection de la vie privée et à la Mer du Nord[2].
Notes et références
- Bert BROENS, « Le candidat acquéreur de Merit Capital rétropédale »,
- François Brabant, « Philippe De Backer, secrétaire d'Etat à la lutte contre la fraude fiscale », sur www.lalibre.be, (consulté le )
- Sophie Wilmès, Le ministre De Backer aura la tutelle sur la task force chargée de l'approvisionnement des dispositifs médicaux, communiqué de presse (consulté le )
- Maxime Biermé, « Coronavirus: qui est Philippe De Backer, le nouveau «ministre des Masques»? », sur Le Soir, (consulté le ).
- « Démission Turtelboom: Philippe De Backer fait son entrée sur la scène politique belge », sur RTBF Info, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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