Pierre Chazal

• 2012 : Marcus, roman, Alma éditeur[2]^,[3]^,[4]
• 2014 : Les Buveurs de Lune, roman, Alma éditeur[5]
• 2016 : Julie's way, roman, Alma éditeur[6]^,[7]

• 2013 : Marcus reçoit le prix René-Fallet[8]
• 2013 : Marcus est sélectionné pour le Festival du Premier Roman de Chambéry
• 2013 : Marcus est sélectionné pour le Festival du Premier Roman de Laval

• 2014 : Marcus est traduit en italien : Sei grande, Marcus, Einaudi
• 2015 : Marcus est traduit en allemand : So etwas wie Familie, Hanser

Pierrot, la trentaine, écorché au coeur tendre vivant dans les environs de Lille, est en préventive. Pour soulager sa conscience, il écrit à Marcus, le jeune enfant qu’il élève depuis le décès de sa mère Hélène, une toxicomane qui le lui a confié avant de se suicider. Au départ, Pierrot était réticent mais toute sa bande d’amis est venue lui donner un coup de main pour s’occuper du petit. Alors Pierrot le tendre, roi du bagout sur les marchés du Nord, a fini par croire que le bonheur était à portée de main même si son propre père n’avait su lui donner que des coups. C’était sans compter l’ombre portée des années noires qui le mènera derrière les barreaux[9]...

"Ce qui est très fort ici, tout au long des pages écrites avec ces mots crus, ce langage parlé, familier, populaire, de souche, assez désinvolte parfois, cette écriture nerveuse et alerte qui tient en haleine, ces dialogues à l’arrache, cette poésie épique du quotidien ramassée dans ce style spontané et flamboyant", Laurence Biava[10]

Paris, automne 2011. Balthazar erre comme une âme en peine depuis l'internement forcé de son grand frère Stan. Les bords de Seine sentent la vase, les cuites à gogo n'y font rien. Tout l'ennuie, tout l’écœure dans cette ville rongée par la gale des temps. Sa rencontre improbable avec la pétillante Sarah et le retour du frère prodigue changeront radicalement la donne. Ensemble, ils réinventeront un monde à leur image le temps d'une fugue enchantée loin des trottoirs parisiens. Mais avec Stan à la barre, le rêve, à tout moment, menace de tourner court[11]...

"Pierre Chazal réussit un roman fort, dense, violent, émouvant, autour de personnages attachants qui cherchent la lumière dans un environnement complexe, assombri par les décès, les ruptures et une bonne dose de mal être", Serge Cabrol[12]

A Londres, Nicolas découvre la vie d'expatrié, se prend d'amitié pour une vieille dame "so British". Mais il garde sa seule et unique obsession : retrouver sa Julie, la sœur de Yann, partie en Angleterre sans laisser d'adresse. Nicolas file sur les traces de sa belle, la retrouve, la supplie, l'attend, l'attrape au vol le jour de son mariage et puis[13]...

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