Portes de Lyon
Les portes de Lyon sont les anciennes portes d'accès à la cité lyonnaise, lorsque celle-ci était entourée de fortifications. Plusieurs de ces portes ont été déplacées, puis ont disparu au fil des extensions successives des limites de la ville[1].
Portes de Lyon
La porte de Pierre-Scize au XVIIIe siècle sur l'actuel quai Pierre-Scize, en bordure de la Saône.
Pays | |
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Région |
Auvergne-Rhône-Alpes |
Commune |
Lyon |
Les portes de Lyon sont situées aux extrémités de ce qui a pu constituer les grands axes de la ville au fil de l'histoire. Elles donnent généralement sur un grand axe routier. Au XIVe siècle, la ville de Lyon est une ville fermée[1] ; elle compte ainsi plusieurs entrées que sont :
- la porte de Bourgneuf ;
- la porte dite du Lion, donne sur la route de Paris ;
- la porte de Pierre-Scise ;
- la porte du Trion, route du Forez ;
- la porte de Saint-Just, route de l'Auvergne, détruite en 1926 ;
- la porte Saint-George ;
- la porte d'Ainay ;
- la porte du Rhône à l'est, route du Dauphiné ;
- la porte Saint-Sébastien, accès par la montée Saint-Sébastien, donne sur la route de Genève ;
- la porte de la Croix-Rousse, route de la Bresse.
- la porte de la Lanterne, rue Lanterne
Notes et références
- Monfalcon 1866, p. 12.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Baptiste Monfalcon, Histoire monumentale de la Ville de Lyon, vol. 6, Lyon, (lire en ligne), p. 11-13
- Emmanuel Vingtrinier et Joannès Drevet, Le Lyon de nos Pères : Dessins et eaux-fortes de J. Drevet, Lyon, Bernoux et Cumin, , 335 p. (lire en ligne)
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