Prasinohaema
Répartition
Les espèces de ce genre se rencontrent en Nouvelle-Guinée et dans les îles Salomon[1].
Liste des espèces
Selon Reptarium Reptile Database (27 novembre 2012)[2] :
- Prasinohaema flavipes (Parker, 1936)
- Prasinohaema parkeri (Smith, 1937)
- Prasinohaema prehensicauda (Loveridge, 1945)
- Prasinohaema semoni (Oudemans, 1894)
- Prasinohaema virens (Peters, 1881)
Étymologie
Le nom de ce genre, Prasinohaema, vient du grec prasinos, vert, et haima, le sang, en référence à la couleur verte de son sang[1]. Cette incongruité est dû que le sang de ces lézards est saturé en biliverdine[3] (une molécule issue de la dégradation de l’hémoglobine par le foie) dans des concentrations 40 fois plus élevées à celle considérée comme étant létale chez l'homme.
Publication originale
- Greer, 1974 : The genetic relationships of the scinicid lizards genus Leiolopisma and its relatives. Australian Journal of Zoology Supplementary Series, vol. 22, no 31, p. 1-67.
Liens externes
- (en) Référence NCBI : Prasinohaema (taxons inclus) (consulté le )
- (en) Référence Reptarium Reptile Database : Prasinohaema (consulté le )
- (en) Référence uBio : Prasinohaema Greer 1974 (consulté le )
- (en) Référence UICN : taxon Prasinohaema (consulté le )
Notes et références
- Reptarium Reptile Database, consulté lors d'une mise à jour du lien externe
- Reptarium Reptile Database, consulté le 27 novembre 2012
- Jean-Luc Nothias, « Le mystère des lézards au sang vert. », Figaro.fr, (lire en ligne, consulté le )
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