Press Complaints Commission

Le Press Complaints Commission (PCC) est un organisme d'autorégulation à adhésion volontaire pour les journaux et les magazines imprimés britanniques composé de représentants mandés par les plus importants groupes de presse. Le PCC finance ses activités par une cotisation annuelle qu'il facture aux journaux et aux magazines. Il n'a aucun mandat légal, tous les journaux et tous les magazines adhèrent librement à ses règlements, l'industrie des médias écrits s'autorégulant ainsi[1].

Press Complaints Commission
Immeuble abritant les locaux du Press Complaints Commission dans le Salisbury Square à Londres.
Histoire
Fondation
Cadre
Sigle
(en) PCC
Domaine d'activité
Pays
Organisation
Site web

Historique

En , le PCC a été critiqué à plusieurs reprises pour son manque d'initiative dans le scandale du piratage téléphonique par News International, y compris par le premier ministre britannique David Cameron. Il a d'ailleurs suggéré que le PCC soit remplacé par un autre organisme régulateur[2].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Press Complaints Commission » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) Select Committee on Culture, Media and Sport Minutes of Evidence, House of Commons, 25 mars 2003, Appendix XIX. Consulté le 9 juillet 2007.
  2. (en) BBC News, « Phone hacking: Cameron and Miliband demand new watchdog : David Cameron, Ed Miliband and Nick Clegg have called for the Press Complaints Commission to be scrapped following its handling of the News of the World (NoW) phone hacking scandal. », BBC News, (lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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