Prix Amélie-Mesureur-de-Wally
Le prix Amélie-Mesureur-de-Wally, de la fondation Suzanne Mesureur, nommé en hommage à l'écrivaine Amélie Mesureur, est un ancien prix annuel de poésie créé en 1932 par l'Académie française et « décerné à un ouvrage de poésie du plus pur style classique »[1].
Lauréats
- 1932 : Henri Maugis pour L'âme de la France
- 1934 : Anne (Madeleine Bougenaux) (1894-1959) pour Ballade à la belle qui viendra
- 1937 : Philippe Dumaine (1901-1990) pour Oblations
- 1938 : André Blanchard (1906-1975) pour Les Figures et les Songes
- 1939 : Ranulf de Montmorillon (1870-1948) pour La Maison heureuse
- 1940 : Ernest Rouquié pour Ivresses alpines
- 1941 : Louis Guillot de Saix pour Ésope inconnu
- 1943 : Gaston Simon pour Dans la cendre du temps
- 1944 : Gaston Bourgeois (1910-1988) pour Dans le sillage de ma chimère
- 1945 : Anne-Marie Oddo pour Écrits sous des ciels d'orage
- 1946 : Georgette Chaillot-Nikolitch pour La nuit toute en fleurs
- 1947 :
- Alphonse Gaillard (1882-1971) pour La Patrie blessée
- Madeleine Sabine (1988-1979) pour La basilique sous les étoiles
- 1948 : Lyne Bluet pour Les harmonies de la nature et de l'amour
- 1949 : Paul Galland pour In memoriam
- 1950 : Mireio Doryan (1901-1989) pour Le grand témoignage
- 1951 :
- Mme M.-T. de Fiquelmont pour Les poisons de l’âme
- Mme Granmasson de Grassat pour Le retour du Bien aimé
- 1952 :
- Alice-Georges Vallières pour Crépuscule
- Lucien Le Foyer pour Le charme des choses
- 1953 :
- Ginette Bonvalet pour Bleu-noir
- Jean Kobs pour Les roses de la nuit
- 1954 : Marie-Madeleine Jouffroy pour Prisme (poèmes)
- 1955 :
- Henriette Boute-Kerollier pour Le Prieuré de Combourg
- Hélène Fuchs pour À l’orée de Sénart
- 1956 : Germaine Blondin pour Cause de notre joie
- 1957 :
- Albert Flory pour Le chant de la danse macabre
- Olivier Mercier-Gouin pour l'ensemble de son œuvre
- 1958 : Gaston Luce pour L’écrin royal. Prébendes d’Oé. Le chemin de lumière
- 1961 :
- Francis Renauldon pour Sur la grève falune
- Abbé Christian Robert pour Le Rêve de l’enfance
- Hélène Seguin pour l'ensemble de son œuvre poétique
- 1962 : Germaine Lacombe-Decerf pour De Miel et d’Amour
- 1963 : Jacques Carton (1903-....) pour De mort et d’amour
- 1964 : Marie-Louise Delafontaine pour Solitude peuplée
- 1965 : Louis Morand pour Sonnets en Laconie
- 1967 : Roland Le Cordier (1912-....) pour Prince des lointains
Notes et références
- « Prix Amélie-Mesureur-de-Wally », sur Académie française (consulté le )
Liens externes
- Anciens prix décernés par l'Académie française sur le site de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1942, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1943, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1944, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1945, « prix décernés aux prisonniers de guerre » sur Archives de l'Académie française.
- Palmarès des prix de l'Académie française en 1946, « prix littéraires de la captivité » sur Archives de l'Académie française.
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