Prix Lequeux

Le prix Germaine-André Lequeux est une distinction d'un montant de 1 500 euros attribuée « à tout chercheur ou chercheuse de nationalité française, travaillant sur un sujet de caractère scientifique ou littéraire, désintéressé ou utilitaire ». Il est remis alternativement sur proposition de l’Académie française, de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, de l’Académie des sciences et de l’Académie des sciences morales et politiques[1],[2].

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Lauréats

  • 1983 : Jean Lassus[3] (proposition de l’Aibl).
  • 1984 : Yves Lefèvre[4] (proposition de l’Aibl).
  • 1988 : Ève Menei (1963-....) pour ses Restaurations de papyrus et ses recherches dans ce domaine[5] (proposition de l’Aibl)
  • 1991 : Youssef Ishaghpour[2] (proposition de l’AF).
  • 1992 : Jean Leclercq pour ses recherches sur la culture monastique du Moyen Âge[6] (proposition de l’Aibl)
  • 1993 : Guy Métivier (proposition de l’AdS).
  • 1995 : Jean Ferron[2] (proposition de l’AF).
  • 1999 : Sylvie Doizelet[2] (proposition de l’AF).
  • 2000 : Hervé Zwirn pour son ouvrage Les limites de la connaissance (proposition de l’AdS).
  • 2002 : Françoise Bergerat[7],[8] (proposition de l’AdS).
  • 2005 :
    • Anne-Sophie Lavefve Laborderie (1973-....) pour La pérennité contractuelle[9],[10] (proposition de l’Asmp)
    • Ronald Zins (1955-....) pour 1815, l'armée des Alpes et les Cent-Jours à Lyon[9] (proposition de l’Asmp)
  • 2006 :
    • Hervé Le Coroller[11],[8] (proposition de l’AdS).
    • Julien Dejonghe[11],[8] (proposition de l’AdS).
  • 2007 : Marine Roy-Garibal pour Le Parnasse et le Palais. L’œuvre de Furetière et la genèse du premier dictionnaire encyclopédique en langue française[2] (proposition de l’AF).
  • 2008 : Mohammad Ali Amir-Moezzi pour Dictionnaire du Coran (proposition de l’Aibl).
  • 2009 : Clément Chauvet[12]
  • 2010 :
    • Émilie Beck-Saiello pour Pierre-Jacques Volaire (1729-1799, dit le chevalier Volaire)[2] (proposition de l’AF).
    • François Nez[8] (proposition de l’AdS).
  • 2012 : Georges Kleiber[13] (proposition de l’Aibl).
  • 2013 : Stéphan-Éloïse Gras, doctorante en sciences de l’Information et de la Communication au Celsa (Université Paris-Sorbonne) et en philosophie à l’Université Paris VIII Vincennes–Saint-Denis[14] (proposition de l’Asmp).
  • 2014 : Jean-François Carpentier[15] (proposition de l’AdS).
  • 2017 : Olga Medvedkova[16] (proposition de l’Aibl).
  • 2018 : Corinne Doria (1978-....) pour son ouvrage Pierre Paul Royer-Collard, un philosophe entre deux révolutions, Rennes (Presses universitaires de Rennes), 2018[14] (proposition de l’Asmp).
  • 2019 : Daniel Kunth pour l'ensemble de son activité de vulgarisation[17] (proposition de l’AdS).

Références

  1. Notice de l'Institut de France
  2. « Prix Lequeux AF », sur Académie française (consulté le )
  3. « 1983 Aibl », sur Persée (consulté le )
  4. « 1984 Aibl », sur Persée (consulté le )
  5. « 1988 Aibl », sur Persée (consulté le )
  6. « 1992 Aibl », sur Persée (consulté le )
  7. « 2002 AdS », sur docplayer.fr (consulté le )
  8. « 2002 AdS », sur academie-sciences.fr (consulté le )
  9. « 2005 Admp », sur www.yumpu.com/fr (consulté le )
  10. « 2005 Admp », sur gbv.de (consulté le )
  11. « 2006 AdS », sur aramis.obspm.fr (consulté le )
  12. « 2009 », sur univ-brest.fr (consulté le )
  13. « 2012 Aibl », sur arllfb.be (consulté le )
  14. « 2013 Asmp », sur Asmp (consulté le )
  15. « 2014 AdS », sur Académie des Sciences (consulté le )
  16. « Palmarès 2017 », sur www.aibl.fr, (consulté le )
  17. « 2019 AdS », sur Académie des Sciences (consulté le )
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