Psychologie biodynamique

La psychologie biodynamique est une pratique psycho-corporelle non conventionnelle de psychothérapie et de physiothérapie.

Développement

En Norvège

La technique a été créée par Gerda Boyesen (en) (1922-2005). Née à Bergen, celle-ci entreprend des études de psychologie à l'Université d'Oslo en 1947. La même année elle entre en travail thérapeutique avec Ola Raknes (en), psychologue psychanalyste qui s'est formé auprès de Wilhelm Reich en Analyse Caractérielle, Végétothérapie et Orgonomie. En 1951, elle obtient son diplôme de psychologie et entame des études de physiothérapie à l’Institut Bülow-Hansen. Aadel Bülow-Hansen (en) avait dirigé une équipe de physiothérapeutes qui collaborait avec le Dr Trygve Braatøy, chef psychiatre de l'Oslo University Hospital, Ullevål. Trygve Braatøy fait partie d’une tradition psychanalytique (Sándor Ferenczi, Georg Grodeck, Otto Fenichel, Wilhelm Reich, etc.) qui s’intéresse à l’intégration de la dimension corporelle dans la vision psychanalytique[1]. C’est dans ce but qu’Aadel Bülow-Hansen avait développé un massage musculaire visant le relâchement du réflexe de sursaut, de la respiration et des émotions. Ce massage était utilisé en parallèle du traitement psychanalytique. Sur le plan corporel il provoque d’importants changements posturaux et une détente du diaphragme. Sur le plan psychophysiologique cette démarche active des décharges qualifiées par Wilhelm Reich de « décharges végétatives » (diarrhée, vomissement, sueurs…) et l’expression d’émotions.

Gerda Boyesen voit alors que les changements physiologiques peuvent amener des changements psychologiques. C’est comme « guérir la névrose avec les mains»[2]. Elle pense que le corps encapsule la charge émotionnelle. Elle se rend compte que le lâcher-prise du réflexe de sursaut et de la cuirasse musculaire ne sont pas suffisants. La décharge végétative, qui agit comme une contrepartie corporelle à une décharge émotionnelle semble tenir une place de choix dans le processus de guérison. Le Dr Trygve Braatöy avait vu cela : « si on influence les intestins et les viscères, il devient possible de faire disparaître la névrose» (1). Gerda Boyesen lit beaucoup Sigmund Freud et Ivan Pavlov et n’a toujours pas lu Wilhelm Reich. Elle travaille alors jusqu’à 14 heures par jour par passion de ce qu’elle fait, ce qui lui offre un terrain d’étude précieux. À la fin des années 50, elle rencontre Lillemor Johnsen, une autre élève de Bülow-Hansen, qui travaille sur l’hypotonie musculaire, ce qui n’était pas possible avec la technique Bülow-Hansen. Elle rencontre le Dr John Olesen de Copenhague qui travaille sur la circulation des fluides à l’intérieur du corps afin d’éviter les phénomènes de stagnations. Elle apprend que le massage sur les fluides influence le système végétatif et rétablit l’équilibre entre le système sympathique et parasympathique. Elle intègre alors ces nouvelles données. Elle remarque que lorsqu’un processus émotionnel est mûr il y a un mouvement fluidique dans le corps et que s’il n’est pas évacué, les résidus métaboliques restent dans les tissus. Cela l’amène à la compréhension du cycle vasomoteur, et du concept de cuirasse tissulaire.

Gerda Boyesen quitte l’Institut Bülow-Hansen au bout de 2 ans et demi. « J’ai dû quitter l’Institut Bülow-Hansen car la physiothérapie et la psychologie était trop séparées à l’époque, même si j’ai mis du temps à les rassembler, c’est vers là que je tendais» (1). Elle travaille alors comme psychologue clinicienne dans divers hôpitaux psychiatriques et développe sa pratique personnelle en cabinet privé. Progressivement, elle fait le lien avec les travaux de Wilhelm Reich et se passionne pour sa théorie sur la bioénergie. Elle se rend compte que la bioénergie a tendance à suivre les surfaces planes, la peau et les membranes. Elle développe alors un massage pour nettoyer les membranes. Elle s’intéresse beaucoup à la théorie de Sigmund Freud sur la libido et à la théorie du développement psychosexuel, qu’elle découvre n’être pas seulement vrai dans la psyché mais aussi dans le corps.

À l’époque, une forme de péristaltisme était associé à la relaxation, notamment grâce aux travaux de Walter Bradford Cannon, qui inventa la notion d’homéostasie. Gerda Boyesen remarqua qu’elle pouvait manier ce phénomène dans ses sessions, et qu’elle avait plus de résultats quand il se produisait. Elle l’appela le psycho-péristaltisme. Aadel Bülow-Hansen avait déjà dit «quand il y a des bruits péristaltiques, c’est bon» (1). Elle commence alors à utiliser un stéthoscope pour amplifier les sons du ventre et cherche les clés pour ouvrir le psycho-péristaltisme. Elle lit des articles scientifiques, notamment, un article du Professeur Setekleiv, qui effectue des recherches sur l’intestin et sa fonction. Il a découvert une sorte de péristaltisme inconnu et non provoqué par le bol alimentaire, qui est activé par la pression fluidique à l’intérieur des parois intestinales. Elle comprend alors l’ampleur et l’importance du psycho-péristaltisme : c’est la voie douce de la décharge végétative, la capacité d’autorégulation émotionnelle du corps. Dix ans plus tard un médecin français lui dira que les Japonais ont découvert que la charge électrique dans les parois intestinales est infiniment supérieure à celle des hémisphères cérébraux. Actuellement des recherches scientifiques américaines, notamment celle du Dr Gershon sur le système nerveux entérique, montrent que l’innervation des intestins est si importante qu’il qualifie ce réseau de deuxième cerveau. Il montre ainsi que l’activité péristaltique est associée de façon privilégiée à l’activité du système nerveux autonome.

Gerda Boyesen arrive donc à un point-clé. Elle voit que d’un côté si on travaille sur l’histoire ancienne par la parole, ça change la psychologie de la personne, et de l’autre que si on travaille sur le tonus musculaire, les fluides, les décharges végétatives, le psycho-péristaltisme, ça change la psychologie de la personne. Elle commence alors une synthèse qui associe Sigmund Freud et Carl Gustav Jung, Otto Fenichel et Wilhelm Reich, Ola Raknes et Trygve Braatøy, Aadel Bülow-Hansen et John Olesen. Ces modèles lui permettent de cadrer ses propres découvertes, comme le massage des membranes et son travail sur le psychopéristaltisme.

La phase londonienne

En , Gerda Boyesen déménage à Londres. « Lorsque je travaillais en Norvège, mes deux champs d’activités étaient encore séparés : la psychothérapie était orientée vers la psychanalyse et les massages étaient physio-thérapeutiques. C’est à Londres que tout s’unifia.» (1) Elle y poursuit son travail clinique et donne une série de conférences sur son approche qui suscite un intérêt dans le monde de la psychothérapie. Ses enfants, Ebba, Mona-Lisa et Paul Boyesen, témoins privilégiés du travail de leur mère, commencent à prendre une part plus active dans la formulation et le développement de ce qui est en train de devenir la Psychologie Biodynamique. Ils commencent à travailler comme thérapeutes, ils deviendront formateurs, et chacun développera ensuite son propre travail psycho-corporel. Ebba Boyesen élaborera la Psycho-Orgastie, Mona-Lisa Boyesen la Biorelease ou Bio-intégration et Paul Boyesen, d’abord le Primary Impulse Training (PIT), puis l’Analyse Psycho-Organique.

L’appellation «Psychologie Biodynamique» est apparue sous la plume de Mona-Lisa Boyesen entre 1970 et 1972, période durant laquelle Gerda Boyesen formule explicitement la théorie de la Psychologie Biodynamique. Ce nom a ensuite été choisi pour désigner l’ensemble des développements effectués par la famille Boyesen. Gerda Boyesen conservera l’appellation de « Technique Gerda Boyesen » pour son travail.

Gerda Boyesen bénéficie alors du soutien direct de Ronald Laing et David Cooper (fondateurs de l’anti-psychiatrie), de David Boadella (fondateur du journal « Energy and Character » et futur fondateur de la Biosynthèse). Jay Stattman (fondateur de la Unitive Psychology) collabora plusieurs années avec Mona-Lisa et Gerda Boyesen. Elle était en contact avec de nombreuses personnalités du monde de la thérapie psycho-corporelle, comme John Pierrakos (cofondateur de la Bioénergie et fondateur du Core Energetic), Eva Reich (fille de W. Reich) et Malcom Brown (Organismic Psychotherapy).…

À partir de 1971, elle commence à donner de courtes formations de massages, et anime des week-ends de psychothérapie à Londres. Elle enseigne bientôt sa méthode dans le reste de l’Europe et aux États-Unis. La Psychologie Biodynamique arrive en France en 1973. En 1975, elle met en place une formation structurée sur 4 ans. Cette même année, elle créé au sud de Londres le «Gerda Boyesen Centre» qui deviendra un carrefour pour la thérapie corporelle de l’époque, affluent du monde entier des étudiants venant se former à la Psychologie Biodynamique ; de nombreuses écoles se créent alors dans le monde : en Hollande, Allemagne, France, Suisse, Autriche, Danemark, Australie, Brésil, Israël… Elle poursuivra son travail jusqu’à sa mort. Gerda Boyesen décède en à Londres. De nombreux étudiants devenus formateurs continuent d’enseigner la Psychologie Biodynamique.

Les principes de base de la Psychologie Biodynamique

Ces principes et outils sont exposés dans trois ouvrages[3],[4],[5]

Le noyau sain ou personnalité primaire

La Psychologie Biodynamique part du principe que toute personne est dotée d’un noyau sain. Elle le définit comme étant la partie profondément vivante en chacun et qui n’est jamais autodestructrice (à l’opposé du concept de Thanatos chez Sigmund Freud). C’est la personnalité de base, dotée d’une disposition amicale envers elle-même et le monde, capable de plasticité face aux événements de la vie, de souplesse et de fermeté, de créativité et de protection. Le noyau sain est doté d’une capacité d’auto-régulation et permet d’accéder à une forme de bien-être indépendant. La personnalité primaire est l’expression du noyau sain dans le monde, elle est la manifestation du potentiel profond de chacun.

La capacité d’auto-régulation et le Psychopéristaltisme

Dans son interaction avec le monde, le noyau sain est vu comme doté d’une capacité à maintenir son intégrité face à chaque nouvelle situation (principe d’homéostasie), et à intégrer toute nouvelle expérience afin d'actualiser son potentiel (principe de croissance). Pour cela il dispose de systèmes d’auto-régulation physiologique (ex : régulation de la température du corps…) et psychique (ex : rêves…). Pour Gerda Boyesen, le psychopéristaltisme est un système d’auto-régulation de l’organisme qui joue un rôle crucial dans la régulation des émotions. Il est activé par les mouvements fluidiques dans les parois intestinales. De nombreuses recherches montrent que les émotions s’associent à la dynamique des fluides dans l’organisme (larmes, décharges végétatives). Les substances véhiculées par les fluides peuvent se transformer en résidus métaboliques si l’émotion est bloquée. Le psychopéristaltisme résulte d'une remise en route de mouvements fluidiques (par le massage ou autre technique thérapeutique) et permet, entre autres, l’élimination de ces résidus. On dit alors que le corps digère les émotions bloquées. Il s’ensuit généralement un meilleur état d'être pour la personne. Le psychopéristaltisme produit des sons écoutés à l’aide d’un stéthoscope. En thérapie, le psychopéristaltisme apparaît au-delà de toute méthode quand un problème trouve une solution satisfaisante et qu’il peut donc être régulé par l’organisme.

Le bien-être indépendant

Il est pensé que lorsqu’une personne agit depuis sa personnalité primaire, elle expérimente des sensations internes cohérentes et satisfaisantes. Elle peut développer une intimité avec elle-même, sans crainte de la solitude, qui lui permet d’avoir une autonomie face aux demandes ou aux refus de l’entourage. Ce bien-être indépendant est une clé vers l’individuation, vers la capacité à faire des choix profonds en accord avec sa vraie nature.

La personnalité secondaire

Les travaux sur le développement de l’enfant (Jean-Pierre Relier, Daniel Stern, Luciano Rispoli, Edward Tronick ou Costa) montrent que les expériences négatives non intégrées de l’enfance ont des répercussions fondamentales sur l’adulte tant au niveau de sa santé, de sa capacité relationnelle que de son bien-être personnel. Pour se protéger contre une situation chroniquement inadaptée ou traumatisante, l’enfant crée un système de défense (structure caractérielle) qui s’inscrit aux niveaux physiologique et psychologique. La Psychologie biodynamique reprend la notion reichienne de personnalité secondaire qui est le résultat d’un compromis effectué par la personnalité primaire dans un effort d’intégration des incohérences environnantes. La personnalité secondaire est formée de blocages et de systèmes figés : fixations mentales, émotions bloquées, cuirasses physiques. Elle cherche à répondre aux demandes environnantes et perd le contact avec le noyau sain.

La somatisation ou incorporation de la névrose et les cuirasses

La somatisation est la prise en charge par le corps d’un problème pour lequel la personne n’a pas de solution consciente satisfaisante. En Psychologie Biodynamique on parle alors de névrose incorporée. Partagée entre plusieurs nécessités paradoxales (par ex : morale et instinctuelle), la personne se trouve bloquée dans une situation dont elle ne trouve pas l’issue. Pour se débarrasser de la prolongation de cette souffrance psychique, le corps inhibe la sensation et l’organisme somatise, quitte à sacrifier certaines parties moins essentielles. Cette adaptation va surcharger certaines fonctions ou parties du corps et en affaiblir d’autres, apportant divers troubles physiologiques. Les cuirasses, musculaires (Wilhelm Reich) ou tissulaires (Gerda Boyesen), sont le résultat de cette somatisation. Le tonus et la teneur chimique des muscles et des tissus sont modifiés, il en résulte un dysfonctionnement de ces derniers.

Les outils de la Psychologie Biodynamique

L’attitude biodynamique

Le psychothérapeute biodynamicien est formé à avoir une écoute attentive et patiente de la personnalité primaire, cherchant au maximum à passer sous les résistances de la personne pour contacter le noyau sain. Cela part du principe que la personnalité primaire sait, mieux que quiconque et avec une intelligence plus fine que celle du thérapeute, ce dont elle a besoin. Ce n’est que lorsque le système de défense fait opposition à cette communication, qu’une attention thérapeutique est déployée envers celui-ci. Il ne s’agit donc pas de fouiller systématiquement le passé traumatique de la personne, mais de traverser les traumas qui se présentent sur le chemin vers la réhabilitation du noyau sain, qui re-déploiera sa capacité d’autorégulation et de bien-être autonome.

La parole enracinée

Lors des échanges verbaux nécessaires à toutes les formes de psychothérapie, le thérapeute va être vigilant à ce que le patient ressente ce dont il est en train de parler plutôt que d’être dans une spéculation mentale de ce qui se passe. Cela lui permet d’être en contact avec ses sensations corporelles et de ne pas se couper émotionnellement du processus en cours. Cela part du principe que le corps, moins conditionné que le surmoi, est plus en accord avec le noyau sain.

Les massages Biodynamiques

Les massages Biodynamiques permettent un travail direct et précis sur la névrose incorporée afin de littéralement nettoyer le corps des informations qui y sont encapsulées. Ils permettent une remise en route des capacités autonomes du corps à l’autorégulation. Ils s’effectuent sur tous les niveaux du corps (membranes, muscles, os, viscères…) et peuvent être pratiqués avec différentes intentions selon que le besoin est de dissoudre une tension, de redonner substance à une zone hypotonique, de soutenir un membre fatigué, de stimuler un éveil de vitalité... Le praticien utilise généralement un stéthoscope afin d’écouter le psycho-péristaltisme.

La végétothérapie Biodynamique

La végétothérapie, mise au point par Wilhelm Reich et adaptée par Gerda Boyesen, est une attitude thérapeutique qui consiste à laisser venir, amplifier et accompagner les petits mouvements ou sensations non contrôlées dans le corps de la personne. Il est question d’accueillir les manifestations involontaires sans jugement, de repérer et soutenir les messages du corps, de manière que celui-ci puisse s’exprimer sans l’entrave des niveaux plus conditionnés de la personne. Quand une sensation apparaît, on encourage son expression, afin de retrouver l’émotion et la mémoire des situations liées à cette sensation. La végétothérapie permet de retrouver des processus non aboutis et bloqués dans le corps et de leur offrir la possibilité d’une résolution adéquate.

Les rêves éveillés

Les rêves éveillés permettent d’avoir accès à des informations non conscientes par le biais de symboles, d’images, de sensations et de proposer des solutions éventuelles. Ils travaillent sur les archétypes, tels que décrits par Carl Gustav Jung. Le thérapeute propose un rêve, sur un thème approprié au besoin de la personne, et en fonction des réactions de cette dernière, il module le rêve pour permettre au contenu non conscient et à l’intelligence à l’œuvre de se révéler. Des solutions alternatives peuvent être proposées.

Le travail avec la voix et le mouvement

Le travail avec la voix et/ou le mouvement permet de mettre en résonance ou en mouvement des parties du corps. Il permet un éveil et une mobilisation corporels, amène à une conscience de la respiration et offre la possibilité d’un travail précis sur une zone activée par le processus thérapeutique.

Le travail de mise en situation et de constellation

Ce travail permet de revisiter des situations connues ou probables afin d’en extraire les informations non conscientes et d’en chercher la résolution. En séance individuelle, le patient placera dans la pièce les personnes ou éléments faisant partie de la dynamique à travailler. Il pourra alors faire dialoguer ces différents pôles, ce qui fera émerger la tension sous-jacente, lui permettra de sentir ce que ça lui fait et de mettre en route une direction vers où il veut aller avec cette situation.

Les critiques

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Les publications sur l'intérêt thérapeutique de cette technique se limitent encore à des conférences, et à des revues et mémoires auto-édités. Ces publications qualitatives portent sur des résultats de terrain sur les modèles qui ont été développés ou sur les découvertes et principes fondateurs de la discipline.

Ainsi, il n’a pas encore été publié d’études quantitatives et systématiques des effets de la technique sur des séries de patients. De plus les fondateurs de la discipline n’étant pas des académiques, les auteurs n’ont pas encore cherché à publier dans des revues scientifiques établies. Cette carence de documentation scientifique de la discipline est la conséquence du développement initialement empirique de celle-ci et de sa transmission initialement orale et expérientielle, notamment par Gerda Boyesen.

Notes et références

  1. Heller, Michel, « Fenichel (Vienne 1897 – Los Angeles 1946) : l’oncle secret des psychothérapies corporelles. », Psychothérapies, 1, 34 : 23-32., (URL : http://www.cairn.info/revue-psychotherapies-2014-1-page-23.htm)
  2. Boyesen G. Entre Psyché et Soma – Paris : Editions Payot
  3. La psychologie biodynamique : Une thérapie qui donne la parole au corps – François Lewin, avec Miriam Gablier. Editions Le courrier du livre
  4. Entre Psyché et Soma – Gerda Boyesen. Editions Payot
  5. Réveiller l'âme dans le corps (Le Drainage profond biodynamique, une méthode de thérapie psycho-corporelle) - Alberto D'Enjoy et le Groupe de Recherche sur la Conscience Neurovégétative. Les Éditions Biodynamiques de l'APPB

Voir aussi

Bibliographie

  • Entre Psyché et Soma – Gerda Boyesen. Editions Payot
  • La psychologie biodynamique : Une thérapie qui donne la parole au corps – François Lewin, avec Miriam Gablier. Editions Le courrier du livre
  • Psychothérapies corporelles : fondements et méthodes – Michel Coster Heller. Éditions De Boeck
  • Réveiller l'âme dans le corps (Le Drainage profond biodynamique, une méthode de thérapie psycho-corporelle) - Alberto D'Enjoy et le Groupe de Recherche sur la Conscience Neurovégétative. Les Éditions Biodynamiques de l'APPB
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