Quentin Garel

Quentin Garel, né le à Paris, est un sculpteur français.

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Quentin Garel
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Biographie

Quentin Garel, fils du sculpteur Philippe Garel[1], est diplômé de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (1998) et a été résident de la Casa Velazquez 69e promotion (1998-1999)[2].

Sculpteur et dessinateur, ses œuvres souvent monumentales sont présentes dans de nombreux espaces publics. Elles ont pour thème principal les animaux et leurs squelettes.

Œuvres dans l’espace public

  • 2006 : Nanterre, Parc du chemin de l’île, (fonte de fer, six sculptures monumentales). Atelier Acanthe.
  • 2009 : Lille, Jardin des géants : L’Allée des têtes cracheuses (fonte de fer, fontaine constituée de 28 éléments)
  • Maîtrise d’œuvre , Agence Mutabilis, Atelier Acanthe paysagiste.
  • 2012 : Rouen, Cité des métiers : Arbranimal (bronze, hauteur 700 cm)
  • Maître d’œuvre : Artefact Architecture
  • 2013 : Courbevoie-La Défense, Crosse de fougère, Tour Carpe Diem (12 éléments en bronze, H 400 cm)
  • Maîtrise d’œuvre Mutabilis Paysage
  • 2014 : Mulhouse, Fontaine place de la paix (120 éléments en bronze) – Maîtrise d’œuvre Mutabilis Paysage
  • 2014 : Shunde Canton – Parc sino-français (Autruche, fonte de fer, 280 cm)
Collections publiques
  • 2003 : Saint-Cyprien, centre d’art (Trophée de veau, bois polychrome)
  • 2007 : Verona Galleria D’Arte Moderna e Contemporanea Palazzo Forti (Crane d’oiseau, bois)
  • 2011 : Saint-Pierre-de-Varengeville Centre d’art contemporain de la MATMUT (Masque de gorille III, bronze)
  • 2020 : Fonds départemental d'art contemporain de l'Essonne, Domaine de Chamarande (Tentacule II, bois, 2019)

Prix

  • 1995 : Paris, Académie des beaux-arts de Paris, prix de dessin
  • 1998-2000 : Résident de la Casa Velazquez, Madrid
  • 2001 : Monte Carlo, 23e Prix international d’art contemporain
  • 2002 : Paris, Salon d'art contemporain de Montrouge, prix de sculpture
  • 2002 : Paris, Fondation COFFIM, prix de sculpture
  • 2003 : Paris, Académie des beaux-arts, prix de dessin
  • 2004 : Paris, Salon de mai, prix de sculpture

Expositions (sélection)

  • 2002 : Paris, Galerie Vent d’ocre
  • 2004 :
    • Paris, Galerie Vent d’ocre
    • Paris, Galerie RL Beaubourg
  • 2005 : Bologne, Galleria Forni
  • 2006 : Paris, Galerie RL Beaubourg
  • 2007 : Palazzo Poggi, Bologne (Italie)
  • 2009 :
    • Épinal, La Lune en parachute
    • Rouen, Galerie Duchoze
    • Milan, Galleria Forni
  • 2010 : Bruxelles, Galerie Mazel
  • 2011 : Saint-Riquier, Musée départemental
  • 2012 :
    • Houston, Gremillion Gallery – Trophy
    • Paris, Galerie LJ
    • Bruxelles, Galerie Mazel
    • Rouen, Hôtel de Région Haute-Normandie,
    • Brescia, Galleria dell’Incisione, – Bestiario
  • 2013 :
    • Paris, Galerie LJ
    • New York ; Bertrand Delacroix Gallery Gueule de bois
  • 2014 : Rouen, Galerie Duchoze
  • 2015 :
  • 2016 : Paris, Muséum national d'histoire naturelle, Galerie de paléontologie,– Le Magicien d’os[4],[5],[6]
  • 2017 : En chair et en os, Galerie Got, Montréal[1]
  • 2019 : Saint-Pierre-de-Varengeville, Centre d'art contemporain de la Matmut
  • 2020 :
    • Anomal, Domaine de Chamarande (du 25 janvier au 29 mars 2021)
    • Masquarade, Galerie LJ, Paris (du 28 novembre 2020 au 27 février 2021)

Bibliographie

Ouvrages

Articles

  • Lydia Harambourg, « Quentin Garel : Bestiaire », La Gazette Drouot,
  • « Étonnants Créateurs : Quentin Garel, Beauté Animal », Palace Costes, no 41, 2012
  • Clémence Leboulanger, « L’Esprit loft chez un collectionneur », Elle Déco, 2011
  • Lydia Harambourg, « Quentin Garel, bestiaire en liberté », La Gazette de l’Hôtel Drouot,
  • François-Xavier Gomez, « L’Oasis pour faune lilloise de Quentin Garel », Libération,
  • Valérie Duponchelle, « Le Bestiaire de Quentin Garel », Le Figaroscope, 2009
  • Lydia Harambourg, « Quentin Garel », La Gazette de l’Hôtel Drouot, , p. 302
  • Christian Noorbergen, « Ces passeurs d’éternité sont nos repères d’âme », Artension Hors Série 2, 2007, p. 7
  • Daphné Le Sergent, « Philippe et Quentin Garel », Area Revue(s), 2007, p. 132-136
  • G. Oliver, « Creative Spark », Paris Voice, -
  • Lydia Harambourg, « Quentin Garel et l’Histoire naturelle », La Gazette de l’Hôtel Drouot,
  • Valérie Duponchelle, « Le Jardin des traces de Quentin Garel », Le Figaro, , p. 29
  • Jean-Michel Collet, « Garel, l’artiste à la tête de veau », L’Indépendant,
  • « Trophée… de poulet », Art actuel,
  • Olivier Céna, « Gueules de bois », Télérama, , p. 75

Notes et références

  1. « En chair et en os: des gueules de bois qui n'en sont pas ! », sur La Presse, (consulté le )
  2. https://www.casadevelazquez.org/en/artistic-creation/list-of-past-current-fellows/
  3. « Le Bestiaire de Quentin Garel », sur LeFigaro.fr, (consulté le )
  4. « Le magicien d'os - Sculptures de Quentin Garel », sur Muséum National d'Histoire Naturelle (consulté le )
  5. « Exposition: Quentin Garel, le «Magicien d'Os» », sur rfi.fr, (consulté le )
  6. « Le Magicien d'os - Sculptures de Quentin Garel », sur telerama.fr (consulté le )

Liens externes

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