René Puissesseau
René Puissesseau est un journaliste, grand reporter français de l’ORTF, né le dans le 14e arrondissement de Paris[1] et décédé le .
Naissance | |
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Décès |
(à 50 ans) Siem Reap |
Nom de naissance |
Georges René Puissesseau |
Nationalité | |
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Distinction |
Biographie
René Puissesseau dirige longtemps le service politique de France-Soir.
En 1957, il reçoit le prix Albert-Londres pour ses reportages réunis sous le titre Quelqu'un mourra ce soir aux Caraïbes.
Il participe ensuite au célèbre magazine télévisé Cinq colonnes à la une.
Il disparaît à 50 ans, au Cambodge à Siem Reap dans l'exercice de ses fonctions, tout comme Raymond Meyer (26 ans), cameraman. Alain Clément, le preneur de son, est le seul membre du trio à ne pas être victime des balles tirées à leur sortie du temple d'Angkor Vat.
Mémoire et postérité
Le nom de René Puissesseau est inscrit sur le Mémorial des reporters de Bayeux[2], ainsi que sur le monument à la mémoire des trente-sept correspondants et journalistes tués ou portés disparus pendant la guerre du Cambodge entre 1970 et 1975, élevé à Phnom Penh en 2013[3].
Articles connexes
Journalistes, photographes et correspondants de guerre portés disparus ou tués en Indochine pendant la guerre du Viêt Nam.
Références
- Archives en ligne de Paris 7e, année 1973, acte de décès no 316, cote 7D 279, vue 29/31
- « La mairie de Bayeux et Reporters sans frontières inaugurent le mémorial des reporters | Reporters sans frontières », sur RSF, (consulté le )
- (en) AFP, « Memorial for Cambodia war journalists opened », sur Arab News, (consulté le )
Liens externes
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