René de Cramer
Bruno-René de Cramer, dit René de Cramer, né le 27 décembre 1876 à Aalter et mort le 22 novembre 1951 à Gand, est un artiste peintre, illustrateur et graveur belge. Formé à l’école Saint-Luc de Gand dont il devient plus tard l’un des professeurs, il est surtout connu pour ses œuvres d’art sacré chrétien et celles célébrant sa ville de Gand [1],[2],[3],[4],[5].
Naissance | |
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Décès |
(à 74 ans) Gand |
Autres noms |
René de Cramer R. de Cramer René de Craemer |
Nationalité |
belge |
Activités |
Artiste Peintre Illustrateur Graveur |
Autres activités |
Professeur de dessin et d'arts décoratifs Membre de la guilde de St Georges de Gand |
Artiste à l'esprit ouvert, sa production témoigne d’un éclectisme de styles, de formes et de supports[5].
Son succès l’amène à travailler pour des clients en Belgique, en France ou encore au Luxembourg. Son souvenir reste associé à la ville de Gand pour laquelle il a travaillé à de nombreuses reprises notamment à l’occasion de l’Exposition universelle de 1913[4],[5].
Biographie
Jeunesse et formation
Bruno-René de Cramer naît le 27 décembre 1876 à Aalter dans une famille catholique. Son père est menuisier-ébéniste. Dans sa jeunesse, il emménage à Gand où il est scolarisé à l’institut Saint Amand dirigé par les frères des écoles chrétiennes. Il intègre ensuite l’école Saint-Luc de cette même ville où il reçoit une formation artistique[5].
Les écoles Saint-Luc viennent alors d’être fondées par Jean-Baptiste Béthune. Elles ont pour objectif de constituer un réseau d’écoles catholiques formant des artistes et artisans devant travailler au renouveau artistique et religieux de la société à travers le style néogothique[5].
Dans cette école de Gand, où il est l’élève du frère Mathias[4], il apprend le dessin, la peinture, le modelage, la sculpture, le travail du cuivre mais aussi l’histoire de l’art et l’évolution des styles décoratifs[5]. Il se distingue en remportant plusieurs prix (premier prix en septième année de peinture et prix de la Guilde de Saint Luc et de Saint Joseph en 1898, grand prix en 1899 avec Achille Ladon)[4].
Au cours de ses études, il s’intéresse au mouvement Art Nouveau et au préraphaélisme par le biais, entre autres, du magazine anglais The Studio. Cela a une influence considérable sur ses œuvres ultérieures[4],[5].
Activité d’artiste peintre et entourage artistique
Rapidement, il entame une carrière d’artiste peintre décorateur notamment pour les églises et fréquente des artistes belges importants : des architectes comme Valentin Vaerwijck ou Louis Cloquet, des sculpteurs comme Alois DeBeule, Domien Ingels, Geo Verbanck ou encore Oscar Sinia[5].
C’est d’ailleurs son ami Valentin Vaerwijck qui, en 1900, fournit les plans d’une maison qu’il construit à Gand au 40 boulevard Saint-Liévin (actuellement no 136)[5],[6].
En collaboration avec Frans Coppejans, il réalise des fresques pour l’église de Huysse en 1906[4],[5], pour la basilique du Saint-Sang à Bruges en 1907[4],[5] et pour la chapelle des dames du Sacré-Cœur à Oostende (date inconnue)[4].
- Basilique du Saint Sang de Bruges, La Trinité, fresque au-dessus du maître autel
- Basilique du Saint Sang de Bruges, l'Adoration de l'Agneau
Gand et son Exposition Universelle de 1913
René de Cramer manifeste un attachement particulier pour la ville de Gand et son patrimoine.
De 1904 à 1912, avec Frans Coppejans, son ami et collaborateur, ainsi que les frères de ce dernier, il participe à la renaissance de la Guilde Gantoise de Saint Georges (Sint Joris Gilde Gent), ancienne guilde d’arbalétriers[5].
- De Cramer, deuxième personnage assis en partant de droite avec les membres refondateurs de la Guilde
- De Cramer, présent lors de l'élection du Roi de la guilde en 1914.
Il est professeur de dessin à l'Université de Gand (Rijksuniversiteit Gent) dès 1908 et il le restera jusqu’en 1941. Il enseigne également pour un temps à l'école technique pour filles de la Tweebruggenstraat. Toutes ces activités se font en parallèle de ses activités d’artiste peintre.
À l’occasion de l’Exposition Universelle de Gand en 1913, et à la demande de son ami Valentin Vaerwijck, il réalise toutes les décorations du village appelé la "Vieille Flandre". Ses créations sont ensuite rassemblées et publiées dans un livre Drapeaux et Bannière, souvenir de la "Vieille Flandre" publié la même année[4],[5]. Il crée également pour cette exposition universelle les affiches associées à la "Vieille Flandre" et à "L’Art Ancien dans les Flandres"[4],[5],[7],[8],[9].
- Affiche de l'Exposition Universelle de 1913 - Exposition Art Ancien dans les Flandres
- Affiche de l'Exposition Universelle de 1913 - Exposition Vieille Flandre
Pendant la Première Guerre mondiale, il dessine la monnaie de nécessité en carton de la ville de Gand. Cette dernière est utilisée durant 4 années[5].
Enfin, en 1920, il devient professeur d’arts décoratifs à l’école Saint-Luc de cette même ville[4],[5].
Les années 1920 : maturité et apogée de son art
Cette même année 1920, à l’âge de 44 ans, il se marie avec Helena Seys. Ensemble ils ont deux fils, Paul, né en 1921, et Charles, né en 1925[5].
La décennie qui s’ouvre marque véritablement l’apogée de son art et de sa renommée et il reçoit des commandes dépassant les frontières de Gand, sa ville bien-aimée, et de son pays.
En 1921, il fournit les très nombreuses illustrations du missel de Dom Gaspar Lefebvre, moine bénédictin et célèbre liturgiste[4],[5]. Ce "Missel Quotidien et Vespéral" peut être considéré comme un des livres les plus importants de la vie de l’Église catholique dans la première moitié du XXème siècle, de par son succès fulgurant, durable (plus de 80 éditions) et international (anglais, espagnol, polonais, italien, portugais). Il donne donc à De Cramer une grande visibilité. Dans les années qui suivent, il continue de collaborer avec Gaspar Lefebvre et à illustrer des ouvrages ou des documents liés à l’œuvre du moine bénédictin : "L’Apostolat liturgique".
- Missel Quotidien et Vespéral par Dom Gaspar Lefebvre, 1921, 1re édition
- Missel de Gaspar Lefebvre - Page de garde couleur
- Missel de Gaspar Lefebvre - Page de titre
- Missel de Gaspar Lefebvre - Page 163
- Missel de Gaspar Lefebvre - Illustration de l'Annonciation
- Missel de Gaspar Lefebvre - Illustration de la Pentecôte
- Missel de Gaspar Lefebvre - Illustration du 1er dimanche de l'avent
En 1923, il publie dans le livre « Gand Monumental et Historique » cents illustrations sur les monuments de la ville de Gand commentées par Victor Fris[4],[5].
En 1924, il décore l’église abbatiale de l’abbaye de Clervaux (Luxembourg)[4],[5]. Malheureusement, les fresques sont détruites en 1941 par les nazis qui transforme l’église en centre des jeunesses hitlériennes et s’acharne avec violence sur les images qu’elle contient[5].
- Abbatiale de Clervaux - Sanctuaire avec peintures murales représentant les puissances angéliques - détruites en 1941
- Abbatiale de Clervaux - Autel de Saint Maur et peintures murales - détruites en 1941
- Abbaye de Clervaux - Autel de Saint Anschaire et peintures murales - détruites en 1941
En 1926, il dessine les cartons des mosaïques de la crypte de la nouvelle basilique Sainte-Thérèse à Lisieux en Normandie[4],[5]. La magnifique composition surplombant l’autel et exaltant la sainte, à mi-chemin entre l’art nouveau et l’art déco, présente un ange avec une coupe de cheveux étonnamment moderne !
- Basilique de Lisieux, mosaïque, l'apothéose de Thérèse
- Basilique de Lisieux, mosaïque, la Trinité
- Basilique de Lisieux, mosaïque, St Jean et St Marc
- Basilique de Lisieux, mosaïque, les béatitudes
- Basilique de Lisieux, mosaïque, les béatitudes
Les années 1930 à 1951 : problèmes de santé et baisse d'activité
Dès le début des années 1930, il semble qu’il rencontre des problèmes de santé et ne souhaite plus entreprendre de grands chantiers. Ainsi, d’après Albert De Graeve, il "ignore une commande importante"[5] pour la basilique de Lisieux, ce qui explique que son travail se limite à la crypte.
Il quitte son poste d’enseignant à Saint-Luc en 1930 mais il continue d’autres activités d’enseignement et ses activités d’illustrateurs comme l’atteste la création d’une affiche commémorative pour le Triduum de messes à Lourdes à l’occasion du jubilé de la rédemption en 1935.
En 1937, il fournit le chemin de croix de l’église Saint-Paul à Gand.
En 1938, il est officiellement doyen (c'est-à-dire directeur) des guildes de St Luc et St Joseph[4]. Il s'agit d'une des six guildes regroupant les anciens élèves des écoles Saint-Luc[10].
En 1941, il quitte son poste à l’université de Gand.
Il s’éteint à Gand le 22 novembre 1951[4],[5]. Un hommage lui est rendu à l’école Saint-Luc de Gand et le discours prononcé est retranscrit dans le journal de l’école[5].
Œuvres
Artiste éclectique, aimant s’ouvrir de nouveaux horizons, ses œuvres sont tour à tour néogothiques, préraphaélites, art nouveau, symbolistes, orientalistes et enfin art déco… Il peint des tableaux et des fresques, conçoit des mosaïques, dessine des affiches touristiques ou commémoratives ainsi qu’un grand nombre d’illustrations. Il réalise des triptyques et des retables, des monuments aux morts, des vitraux[4],[5]...
Plusieurs de ses travaux sont des collaborations avec ses amis artistes comme Frans Coppejans ou Oscar Sinia,
Ses œuvres religieuses manifestent une spiritualité profonde, une très bonne culture théologique et une grande connaissance de l’art chrétien au travers des siècles. Elles témoignent également souvent d’un souci didactique. Les couleurs sont lumineuses et plutôt douces. Les personnages, s’ils ne sont pas emportés par un mouvement vigoureux, sont emplis de sérénité et de contemplation.
Malheureusement, beaucoup de ses œuvres ont disparu en raison des vicissitudes de l’histoire : guerres mondiales, changement des goûts, réforme liturgique post Vatican II, réaffectation de bâtiments…
Ci-dessous, une liste non exhaustive d’œuvres triées par genre.
Décorations d’églises et de chapelles
- Église de Huyse (1906) – peintures murales – en collaboration avec Frans Coppejans[4],[5]
- Basilique du Saint-Sang, Bruges (1907) – peintures murales – en collaboration avec Frans Coppejans[4],[5]
- Chapelle des Dames du Sacré-Cœur à Ostende – peintures murales – en collaboration avec Frans Coppejans[4]
- Chapelle des Sœurs de la Présentation à Ledeberg – peintures murales[4],[5]
- Église de Jemappes – peintures murales[4] et chaire de vérité[11]
- Église Notre-Dame de l'Assomption à Wépion - peintures murales[12]
- Chapelle du Carmel de Virton – peintures murales[4]
- Chapelle des Frères de la Charité de Zwijnaarde – peintures murales[4]
- Chapelle des Salésiens de Tournai (vers 1922) – peintures murales[4]
- Chapelle du Sanatorium de Quaremont – peintures murales[4]
- Chapelle de l’école Saint-Luc de Gand – peintures murales[4],[13]
- Chapelle de l'hôpital psychiatrique de Bruges – peintures murales[4],[5]
- Chapelle du Chateau du Chevalier de Gellinck d'Elzeghem à Sint-Denijs-Westrem, actuellement Clinique Neuropsychiatrique Sint-Camillus – peintures murales[4],[5]
- Église abbatiale de Clervaux à Luxembourg (1924) - peintures murales - détruites en 1941 par les nazis[4],[5]
- Église de Celles – peintures murales[4],[14],[15],[16],[17] et tableaux[18],[19]
- Crypte de la Basilique Sainte Thérèse de Lisieux (1926) - Mosaïques[4],[5]
- Chapelle de l'école Saint Luc de Gand - Peinture murale
- Chapelle du Carmel de Virton - Peinture murale "La Vierge du Rosaire"
Triptyques, retables, vitraux
- Tableau "Le Sacrement" représentant la Vierge remettant le rosaire à Saint Dominique (vers 1905-1910 ?) – adjugé lors d’une vente aux enchères en 2018
- Tableau du Couronnement de la Vierge acheté par l’école St-Luc de Gand (1923)[4]
- Peintures pour le retable de l'autel de Notre Dame de Tuine dans la cathédrale Saint-Martin d'Ypres (1936)[20]
- Tableau "le Baptême du Christ" dans l'église Saint-Eloi de Vosselare (après 1940)[21]
- La Vierge remet le rosaire à Saint Dominique
- Retable de l'autel de Notre-Dame de Tuine
Chemins de croix
- Église Notre-Dame Saint-Pierre de Gand (1915-1917)[5],[22]. Ce chemin de croix est édité en cartes postales par la suite
- Église Saint-Remi de Bienne-lez-Happart - en laiton gravé - (1934)[23]
- Église Saint-Paul à Gand (1937)[5],[24]
- Sint-Bavo institut[5]
- Église Saint-Corneille d'Aalter[25],[26] (1923-1925) - probablement en collaboration avec Frans Coppejans[27]. Chemin de croix peint sur cuivre
- Chemin de croix (station IX) en l'église Notre-Dame Saint-Pierre de Gand
- Emballage du lot de cartes postales à l'effigie des stations du chemin de croix de l'église Notre-Dame Saint-Pierre de Gand
Monuments aux morts
- Église Notre-Dame Saint-Pierre de Gand - dessin de R. de Cramer (en collaboration avec Oscar Sinia)[4],[28]
- Cathédrale Saint-Bavon de Gand - dessin de R. de Cramer (en collaboration avec I.Blancquaert)[4]
- École Saint-Luc de Gand[4]
- Église Saint-Corneille d'Aalter[29],[25],[30] - dessin de R. de Cramer (collaboration avec Oscar Sinia et De Clercq-Nevejans). Inauguré le 11 juillet 1920, le monument aux morts est situé devant l'église et possède deux faces sculptées.
Illustrations de livres
- Drapeaux et Bannières, souvenir de la "Vieille Flandre", 1913[4],[5].
- Gand Monumental et Historique, Victor Fris, 1923[4],[5].
- Souvenir commémoratif du Tricentenaire de la Chef-Confrérie Royale et Chevalière de St Michel, 1613-1913, 1913[4],[5].
- Le Missel Quotidien et Vespéral de Dom Gaspar Lefebvre (de la première édition de 1920 jusqu'en 1951) ainsi que ses dérivés (divers missels thématiques de Gaspar Lefebvre) et ouvrages de l’Apostolat Liturgique de l’abbaye Saint André de Bruges.[4],[5]
Autres
- Conception de la monnaie de nécessité de la ville de Gand pendant la Première Guerre mondiale (monnaie en carton)[5].
- Sculptures des lions dans les niches de réverbération du beffroi de Gand (réalisées par Oscar Sinnia)[5]
- Projet de dentelles et de broderies, offert par l'école de dentelle de Zele aux reines Elizabeth et Astrid[5].
- Dentelle de Zele - "Voile de Reine - La culture du houblon"
- Dentelle de Zele - "Voile de Reine - L'élevage"
- Dentelle de Zele - "Voile de Reine - La dentellière"
- Dentelle de Zele - "Voile de Reine - La pêche"
- Dentelle de Zele - "Belle nappe de table"
Notes et références
- (nl) « De Cramer, René », sur inventaris.onroerenderfgoed.be (consulté le )
- (en) « Discover engraver (printmaker), painter, draftsman René de Cramer », sur rkd.nl (consulté le )
- (nl-BE) « Bruno René De Cramer », sur Meetjeslandse Meesters (consulté le )
- (nl) Jan De Maeyer, De Sint-Lucasscholen en de neogotiek, 1962-1914, Louvain, Leuven University Press, , 448 p. (ISBN 978-90-6186-267-3 et 90-6186-267-1, OCLC 1048152887, lire en ligne), p. 368-369
- (nl) Albert de Graeve, « Bruno René De Cramer – ik vertel het jullie liever zelf... », Ghendtsche Tydinghen, (lire en ligne [PDF])
- Maurice de Behogne, Annuaire des beaux-arts de Belgique, (lire en ligne)
- « Chronique du mois », Bulletin des métiers d'art : revue mensuelle d'architecture et d'arts décoratifs, , p. 94-95 (lire en ligne [PDF])
- « Exposition universelle 1913. Vieille Flandre », sur www.europeana.eu (consulté le )
- « Gent Oud Vlaendren! Wereldtentoonstelling 1913 », sur www.europeana.eu (consulté le )
- Pierre Verhaegen, « Les anciens élèves des écoles St-Luc à l'exposition de Gand », Bulletin des métiers d'art : revue mensuelle d'architecture et d'arts décoratifs, nos 11-12, , p. 334 (lire en ligne [PDF])
- (en-US) « Balat object: 10055799 », sur BALaT KIK-IRPA (consulté le )
- (en-US) « Balat object: 10030584 », sur BALaT KIK-IRPA (consulté le )
- Pierre Verhaegen, « Les anciens élèves des écoles St-Luc à l'exposition de Gand », Bulletin des métiers d'art : revue mensuelle d'architecture et d'arts décoratifs, nos 11-12, , p. 346-347 (lire en ligne [PDF])
- (en-US) « l'Assomption », sur BALaT KIK-IRPA (consulté le )
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- (nl) Peter Laroy, Aalter in oude kranten: 't Getrouwe Maldeghem, 1919-1944, Academia Press, (ISBN 978-90-382-1495-5, lire en ligne), p. 39
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- (nl) « Parochiekerk Sint-Cornelius », sur inventaris.onroerenderfgoed.be (consulté le )
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- (en) « War Memorial Aalter - Aalter - TracesOfWar.com », sur www.tracesofwar.com (consulté le )
- (nl) « Monument Eerste Wereldoorlog Aalter » (consulté le )
Voir aussi
Généralités
- (nl) Jan De Maeyer, De Sint-Lucasscholen en de neogotiek, 1862-1914, Louvain, Universitaire Pers Leuven, coll. « KADOC-Studies 5 », , 448 p. (ISBN 9789061862673, lire en ligne), p. 368-369
- (nl) Albert de Graeve, « Bruno René De Cramer – ik vertel het jullie liever zelf... », Ghendtsche Tydinghen, (lire en ligne [PDF])
- Collectif, Dictionnaire des Peintres belges du XIVe siècle à nos jours, Bruxelles, La Renaissance du livre, (ISBN 2-8041-2012-0, lire en ligne)
Sur le rôle de René de Cramer dans l'exposition universelle de Gand en 1913
- A.Golenvaux, « A l'exposition de Gand », Bulletin des métiers d'art : revue mensuelle d'architecture et d'arts décoratifs, , p. 1-2 (lire en ligne [PDF])
- « Chronique du mois », Bulletin des métiers d'art : revue mensuelle d'architecture et d'arts décoratifs, , p. 94-95 (lire en ligne [PDF])
- Pierre Verhaegen, « Les anciens élèves des écoles St-Luc à l'exposition de Gand », Bulletin des métiers d'art : revue mensuelle d'architecture et d'arts décoratifs, nos 11-12, (lire en ligne [PDF])
Articles connexes
Liens externes
- Guilde de Saint Georges de Gand (Sint-Jorisgilde van Gent) : https://www.sintjorisgilde.be/
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