Rue du Chat-qui-Danse
La rue du Chat-qui-Danse est une rue de Saint-Malo située derrière les remparts.
Ne doit pas être confondu avec Rue du Chat-qui-Pêche.
Rue du Chat-qui-Danse | |
![]() L'hôtel de la Bertaudière, maison natale de Robert Surcouf, rue du Chat-qui-Danse | |
Situation | |
---|---|
Coordonnées | 48° 39′ 02″ nord, 2° 01′ 38″ ouest |
Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Ville | Saint-Malo |
Quartier(s) | intra-muros |
Morphologie | |
Type | rue |
|
|
Origine du nom
Elle doit son nom à un raid naval des Anglais en 1693. Les Anglais, après avoir bombardé la ville, ont construit une « machine infernale », un navire rempli d'explosifs projeté contre les remparts de Saint-Malo pour détruire la ville ; s'échouant sur les rochers avant de pouvoir l'atteindre, le navire explose en ne tuant qu'un chat. Pour railler les Anglais, les Malouins nommèrent ainsi cette rue donnant sur les remparts la « rue du Chat-qui-Danse »[1].
Histoire
Le corsaire Robert Surcouf est né en 1773 dans l'hôtel de la Bertaudière au numéro 2 de la rue du Chat-qui-Danse.
Notes et références
- P. Lemarié, « Au coin de la rue : la rue du chat qui danse », sur Les Secrets de Saint-Malo, (consulté le )
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.