Basville

Basville [bavil] est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Basville

Mairie de Basville.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Daniel Ferrier
2020-2026
Code postal 23260
Code commune 23017
Démographie
Gentilé Bavillois, Bavilloises
Population
municipale
164 hab. (2019 )
Densité 7,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 52′ 20″ nord, 2° 23′ 52″ est
Altitude Min. 675 m
Max. 826 m
Superficie 22,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auzances
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Basville
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Basville
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Basville
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Basville

    Géographie

    Commune à l'est du département de la Creuse, dans le canton de Crocq, limitrophe du département du Puy-de-Dôme (commune de Giat). Les principales activités y sont l'élevage et le bois (avec une scierie). Plusieurs rivières, la Tardes, le Chavanon et le Tix, traversent la commune[1]. La Tardes y prend d'ailleurs sa source.

    La commune fait partie du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

    Hameaux de la commune

    • Beaume
    • Dimpoux
    • Lachaud (village détruit, à côté de l'étang du même nom)
    • La Gorsse (hameau détruit de la paroisse de Saint-Alvard)
    • La Mazerette
    • La Mazière aux Picauds
    • La Prugne (village détruit)
    • Larfeuille
    • Laudeux-Couturier
    • Laudeux-Piatoux
    • Lavaudemergue (Lavaud de Mergue, dispose d'un souterrain inexploré)
    • La Vilatte
    • Le Chez (Le Chier en 1713)
    • Le Layrit
    • Le Moulin de Basville
    • Le Rondet (village détruit)
    • Les Chaumettes
    • Les Farges
    • Les Huillards
    • Pompignat
    • Pompignaguet
    • Pindogne
    • Pompignat
    • Saint-Alvard

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 002 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Felletin », sur la commune de Felletin, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 010,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 54 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Basville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,7 %), prairies (40,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Basville est attesté sous la forme Basvila en 1373, Bassavilla en 1392.

    Il s'agit d'une formation médiévale en -vil(l)a « domaine rural, village », précédée de l'adjectif féminin auvergnat bassa « basse » et de vila « village »[21] ou d'un nom de personne germanique comme c'est plus généralement le cas pour ce type de formation toponymique, ici peut-être Baso, d'où le sens global de « ferme de Baso »[22]. Remarque : Les formations anciennes en -ville (autrement -viale, -vielle, -fielle) sont rares dans le domaine de la langue d'oc, sauf autour de Toulouse.

    Le territoire de la commune

    La commune de Saint-Alvard est rattachée à Basville par ordonnance royale du [23]. La commune de La Villeneuve est détachée de la commune de Basville le en raison de sa « garnison »[24],[25] — elle dispose d'une brigade de gendarmerie et d'un relais de poste entre Angoulême et Lyon[26]. Le , un décret retire à La Villeneuve les hameaux des Huillards et de Pindogne, qui sont réunis à la commune de Basville[27].

    Histoire

    Moyen Âge et époque moderne

    Avant la Révolution, la paroisse de Basville faisait partie du Franc-Alleu et de l'élection de Combrailles[28]. De même, le prieuré appartenait à l'archiprêtré d'Herment et dépendait de l'abbaye des bénédictins de Saint-Alyre, à Clermont-Ferrand. Plusieurs noms de prieurs nous sont connus : Jean Bel (1278), Guillaume Mazier (1399), Jean Molle (1499), Nicolas Bruxe (1525), Antoine Bompard, moine de Saint-Alyre (1790). Parmi les vassaux du chapitre d'Herment, on signale le « mas de Prugne », dans la paroisse de Basville, possédé en 1350 par Hugues et Guillaume Roger, bourgeois d'Herment, et le « mas de la Gorsse », avec son étang et son moulin, dans la paroisse de Saint-Alvard, dont Pierre Roger est le seigneur en 1333, Pierre de Courtes en 1350[29].

    En 1357-1358, le revenu fiscal était, dans le prieuré de Basville, de 60 livres tournois, pour un revenu brut évalué au XVe siècle à 93 livres tournois[30]. Dans les années 1358-1368, le montant de la dîme s'élevait en moyenne, dans la paroisse de Saint-Alvard, à 70 setiers, contre 31 setiers pour la taille royale — en adoptant comme valeur du setier 15 sous, valeur moyenne pour la seconde moitié du XVe siècle[31]. Parmi les impôts seigneuriaux, on signale à la fin du Moyen Âge et au début de l'époque moderne, un droit de « nopces » à « Arfeuille » (Larfeuille). De même, les habitants des Huillards devaient aller faire cuire leur pain au four banal de La Villeneuve, dépendance de la baronnie de Crocq ; d'après le terrier de 1521, ils ont racheté ce droit — qui représente une charge assez lourde — en payant 1 setier de seigle par an, un « chiffre relativement élevé par rapport à leur redevance totale »[32].

    Lors de la fondation de la chapelle Sainte-Magdeleine de l'église d'Herment, en 1290, une rente fut assignée pour la desservir sur le village du Leyrit (Le Layrit)[33]. Une petite seigneurie, peut-être détachée d'Herment, y fut créée ; son revenu était évalué à 30 livres en 1551[34]. Propriété des marquis de Lestrange au XVIIe et au XVIIIe siècle[35],[36], elle fut vendue avant le 33 000 livres à Gaspard de Courtille[37].

    Époque contemporaine

    En 1789, Basville fait partie des possessions de la famille du marquis Léonard d'Ussel[38], baron de Châteauvert et de Crocq.

    Sous la Révolution, Basville prend le nom de Liberté-sur-Cher, à la suite du décret de la Convention nationale du 25 vendémiaire an II ()[39],[40] « relatif aux changements de noms de différentes communes »[41]. En 1801, elle a retrouvé son nom originel[42].

    À la fin du XIXe siècle, la société Chapal crée une usine spécialisée dans le traitement des peaux de lapin au lieu-dit Le Point du jour, dans la commune de Crocq ; les responsables de cette entreprise bâtissent des maisons bourgeoises dans le bourg de Basville, tandis que les ouvriers logent à Crocq[43],[44].

    Migrations

    La commune a participé au phénomène des maçons de la Creuse, comme en témoigne le cas de Pierre Meyrand, « maçon l'été et scieur de bois à l'occasion pendant l'hiver », qui parcourt le Périgord pendant six ans au XVIIIe siècle[45], ou celui de Jean Ramet, « forgeur » en 1836, « maître-maçon » en 1838, « entrepreneur » en 1843, et de Pierre Ramet, « maître-maçon », « entrepreneur de bâtiment » et « entrepreneur de travaux publics » en 1840, à Saint-Bonnet-le-Château[46].

    Enseignement

    En 1833, la loi Guizot organise l'enseignement primaire. Le , le conseil académique de Limoges décerne à l'instituteur de la commune de Basville, M. Dumazet, une « mention honorable » pour s'être distingué dans l'exercice de ses fonctions[47].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2014 Alain Pigeon[48] DVG[49]  
    mars 2014 En cours Daniel Ferrier[50]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    SE Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Basville comptait 39 feux en 1357, 131 en 1750, 140 en 1764[28].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].

    En 2019, la commune comptait 164 habitants[Note 7], en diminution de 3,53 % par rapport à 2013 (Creuse : −3,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7837811 0901 1029579651 1801 1961 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1441 0621 093744704707682719657
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    601666673566547517490446366
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    323306300274224195184181174
    2015 2019 - - - - - - -
    162164-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Vestiges antiques

    Carte postale de l'église vers 1920.
    • Le dolmen d'Urbe, dans le bois d'Urbe, à mi-chemin entre le village de Laval (commune de Crocq), et le hameau de Dimpoux, dans la commune de Basville. Bien que la commune de Crocq le considère quelquefois comme faisant partie de son patrimoine, il est en fait situé dans la commune de Basville, et plus particulièrement sur le territoire de l'ancienne commune de Saint-Alvard. Ce dolmen était communément désigné dans le pays sous le nom de « la Pierre levée ». Le premier à l'avoir décrit, Jean-François Barailon l'a présenté dans ses Recherches sur plusieurs monuments celtiques et romains (1806, p. 46) comme le tombeau d'un général gaulois. De forme ovalaire, il est formé d'une table en granulite de forme hexagonale de 3 mètres de long sur 2,40 mètres de large et repose sur 7 supports plus ou moins déplacés de 1,15 à 1,25 mètre de hauteur sur 0,5 à 1 mètre de largeur, la chambre, plus basse que le sol environnant, étant de 1,25 mètre de hauteur[55],[56]. Les jeunes filles qui voulaient se marier dans l'année se jetaient du haut dolmen pour être sûres d'en trouver un[57].
    • Un four de potier gallo-romain à La Vilatte[58].
    • Pierre gravée des Quatre Evangélistes
      Une pierre en granit sculpté dite Tétramorphe est située au croisement de deux chemins à la sortie du bourg. D'une hauteur d'environ 70 cm, elle figure une croix autour de laquelle sont représentés sous leur forme allégorique les quatre évangélistes, dans un style du haut Moyen-âge.
    • Pierre gravée Basville
      Une autre pierre gravée en granit, d'une hauteur d'environ 80 cm est située au bord d'un chemin forestier. Cette pierre représente une croix sur toute sa hauteur ainsi que deux formes taillées en creux: un carré situé au-dessus de la croix, dont les deux côtés verticaux sont marqués d'un trait double et une forme de goutte surmontée elle-même d'une petite croix, à gauche de la croix principale. De facture moins détaillée que la précédente, cette pierre pourrait être aussi ancienne. Une légende raconte qu'un homme s'était arrêté pour boire de l'eau. L'eau, trop froide, l'aurait tuée. C'est en souvenir que la pierre aurait été installée à cet emplacement. Lors de travaux de consolidation, le poids de cette pierre a été estimé à plus d'une tonne.

    Édifices religieux

    L'église Sainte-Anne.
    • Église romane de Saint-Alvard, donnée en 1249 au chapitre d'Herment, qui en a nommé le curé jusqu'en 1789. La paroisse de Saint-Alvard a été réunie à celle de Basville le .
    • Église Saint-Allyre-Sainte-Anne de Basville, datant du XIIe siècle et remaniée au XVe siècle, dans le bourg. On connaît plusieurs de ses curés : Pierre du Chier en 1625, Jacques Labas en 1641, Gorsse en 1687, Chinchaux en 1710. En 1641, il y avait une communauté de cinq prêtres. Deux tabernacles ont fait l'objet de descriptions[59]. La Façade et clocher ont été inscrits aux monuments historiques par arrêté du [60] . Cette église a la particularité d'avoir son chœur orné d'une mosaïque de Nevers réalisée aux environs de 1910, don de Henri et Daisy Chapal. Elle abrite également un baptistère monolithe. De fouilles archéologiques entreprises au début des années 2000 ont révélé, de chaque côté de l'église, des tombes constituées de sarcophages mérovingiens (actuellement enfouis).

    Édifices et monuments civils

    • Jean-François Barailon signale une pyramide de quatre mètres de haut « parfaitement taillée » au-dessus de la source de la Tardes, au hameau de Lavaudemergue[61].
    • Le château de Basville[62], ancienne construction largement remaniée au XIXe siécle par les propriétaires de la société Chapal.
    • Le château du Layrit[63].
    • Plusieurs moulins à eau.
    • Un souterrain-refuge est signalé au hameau de Lavaudemergue[64].
    • Le monument aux morts, comprenant 22 noms de soldats tués durant la Première Guerre mondiale[65].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Notes

      Références

      1. Village de Basville sur Annuaire-maire.fr
      2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      8. « Station Météo-France Felletin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      9. « Orthodromie entre Basville et Felletin », sur fr.distance.to (consulté le ).
      10. « Station Météo-France Felletin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      11. « Orthodromie entre Basville et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
      12. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      21. Ernest Nègre, Toponymie Generale de la France, Librairie Droz, 1990, p. 1432 (ISBN 2600028846).
      22. Marcel Villoutreix, Noms de lieux du Limousin, Christine Bonneton, 1995, 231 pages, p. 64-65 (ISBN 2862531650).
      23. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet, Claude Motte, Creuse, vol. 23 de Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, CNRS Éditions, 2000, 865 pages, p. 249 (ISBN 2271057612).
      24. Christophe Jamain, Le Département de la Creuse: ses origines et sa pérennité, Presses universitaires de Limoges, 2000, 254 pages, p. 188 (ISBN 284287160X).
      25. Bulletin des lois de l'Empire français, vol. 29, Imprimerie nationale, (lire en ligne), « Décret impérial n°15 019 du  », p. 407.
      26. P.-M. Barbichon, Dictionnaire complet de tous les lieux de la France et de ses colonies : Ouvrage entièrement neuf, vol. 2, Paris, Tétot frères, (lire en ligne), p. 1048.
      27. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet (dir.) et Claude Motte (dir.), Paroisses et communes de France, vol. Creuse, CNRS Éditions, , 865 p..
      28. Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, vol. 2, Desaint et Saillant, (lire en ligne), p. 398.
      29. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, Clermont-Ferrand, Charles Estienne, (lire en ligne), p. 90.
      30. Pierre Charbonnier, « L'impasse fiscale à la fin du Moyen Âge. Quelques exemples », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, vol. 28, , p. 185 (l'article va de la p. 173 à la p. 186) (lire en ligne).
      31. Pierre Charbonnier, Michel Aubrun Aubrun (dir.), Gabriel Audisio Audisio (dir.), Bernard Dompnier (dir.) et André Gueslin (dir.), Entre idéal et réalité : actes du colloque international finances et religion du Moyen Âge à l'époque contemporaine, Université de Clermont-Ferrand II, Presses universitaires Blaise Pascal, , 419 p. (lire en ligne), « Les prélèvements ecclésiastiques à la fin du XVe siècle », p. 126-127.
      32. Pierre Charbonnier, Une autre France : la seigneurie rurale en Basse Auvergne, du XIVe au XVIe siècle, Institut d'études du Massif central, , 1295 p., partie 2, p. 690 et 699.
      33. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, Clermont-Ferrand, Estienne, (lire en ligne), p. 63.
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