Saint-Hilaire-la-Treille
Saint-Hilaire-la-Treille (Sent Ilaire en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, dans la région historique de la Basse Marche, dans la région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont les Treilhilairois.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Hilaire.
Saint-Hilaire-la-Treille | |||||
L'église au centre du bourg. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Bellac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haut-Limousin en Marche | ||||
Maire Mandat |
Odile Berger 2020-2026 |
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Code postal | 87190 | ||||
Code commune | 87149 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
374 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 15′ 07″ nord, 1° 19′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 256 m Max. 348 m |
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Superficie | 29,14 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteauponsac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
Hameaux et lieux-dits
- Beauvais
- Bord (et son Moulin)
- Champagnac (dit parfois « le grand »)
- La Chapelle
- Chez Pré
- Chez Travais
- Débaillade
- l'Étang
- Foulventour[Note 1]
- Laffait
- la Gane
- Gouaineix
- Grassevaud
- Moulin Siquet[Note 2]
- Masbonnaud
- Mazat (chez)
- Peu du Coudert[Note 3]
- le Peu Villairoux
- Peutru
- Plonnaud
- Ruthier
- Maisonsauzy
- la Terrade
- Treillard (Moulin de chez)
- Chez Travais
Géologie et relief
Un gros amas de rochers granitiques est situé dans le bourg et incorporé à lui, à proximité de l'école.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Magnac-Laval », sur la commune de Magnac-Laval, mise en service en 1995[10] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[11],[Note 7], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 892,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 8], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 45 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,4 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Saint-Hilaire-la-Treille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,5 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), forêts (9,4 %), terres arables (8,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Histoire
Les Templiers et les Hospitaliers
La commanderie de Foulventour est l'une des cinq commanderies templières dépendantes de la commanderie de Paulhac (Creuse), commanderie principale, ou "maison" de Paulhac qui apparaît dans les textes en 1248[25].
Son moulin banal était situé sur la Brame à Dompierre-les-Églises, sur la rive gauche[26].
La chapelle de la commanderie est citée dans un compromis entre l'évêque de Limoges et le maître de la province templière du Limousin daté de 1282[27]
Un sergent du Temple poitevin « Frater Aymericus de Primi serviens », dit avoir été reçu, en 1290, en la chapelle de la maison du Temple de « Font Lezentort », au diocèse de Limoges, par le sergent précepteur de Paulhac Jean de la Chaussade, en présence de frère Aymeri de Malvaleix.
Ne serait-ce pas Foulventour, localité peu éloignée de la maison du Temple de la Bussière-Rapy[28] ?
À la suite de la dévolution des biens de l'ordre du Temple, Foulventour devient un membre de la commanderie de Morterolles au sein du grand prieuré d'Auvergne. Ce membre comprenait une église paroissiale sous le vocable de saint Georges avec métairie, grange, une chênaie dite de Morterolles, des dîmes et rentes féodales ainsi que les moulins de « Serran et de Grassavau »[29].
Temps modernes
En 1738, les villages de la paroisse devant diverses redevances (rentes, dîmes et autres droits) au prieuré des Bronzeaux[23] sont les suivants : la Terrade, Ruthier, Plonneaud, le Grand Champagnac, l’Ecluse, la Rebière.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2019, la commune comptait 374 habitants[Note 10], en diminution de 4,59 % par rapport à 2013 (Haute-Vienne : −0,93 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Lieux et monuments
Moulin Treillard ou de Chez Trillard
Situé sur la rive droite, il existait en 1750. C'était un moulin à grains 6,5 qui donnait quintaux/jour, 6300 qx, jusqu’en 1962. Le dernier meunier connu est M. Pailler.
Moulin Liquet devenu ensuite le Moulin Siquet
Chute : 4,27 m, 283 l/s, 11 cv.
Moulin à grains transformé en moulin à huile en 1921, dernier meunier : M. Leblanc.
À nouveau transformé en cidrerie et scierie de grumes, jusqu’en 1972, appartenant à M. Alamôme, dit Chopine.
Personnalités liées à la commune
Jacques Bertrand
Sur une tombe du cimetière communal figure l’inscription suivante : "Terrain à perpétuité de Jacques BERTRAND, de son vivant propriétaire à la ROUSSELLERIE, commune de SAINT-LEGER-MAGNAZEIX. Il fut le plus grand destructeur de loups : en 5 années, il en a pris 27, tous présentés à la mairie de sa commune."
Albert Bouzat
Très brillant chimiste, né à Saint Hilaire la Treille le , décédé à Rennes le . Il était arrivé à Rennes en 1903 comme maître de conférence à la faculté des sciences. Titulaire de la chaire de chimie à partir de 1909, il deviendra doyen de la faculté en 1935, jusqu'à sa retraite en 1940.
Sortant de l'École normale supérieure, il obtient l'agrégation en 1895. En 1899, il est préparateur de Marcelin Berthelot, professeur au Collège de France, qui guide ses premiers travaux[34].
Ses travaux portent d'abord sur les composés cuproamnoniques et la comparaison des systèmes invariants qui sont les sujets de ses deux thèses. En 1924, il précise le point d'ébullition du Brome (58,8 °C) qui demeurait vague depuis sa découverte. En 1930, il étudie les hydrates de gaz. Il met aussi au point une méthode de dessalement de l'eau de mer[35].
En 1921 il devient le premier directeur de « l’Institut de chimie » ancêtre de l’actuelle école de chimie de Rennes (ENSCR). Auteur de deux ouvrages de chimie : Chimie générale (1936) et L'Énergie atomique (1940) ils sont traduits en plusieurs langues et toujours disponibles dans la collection Que sais-je[34] ?
Contes et Légendes[36]
Le seigneur de Grassevaud
– Mon petit, sais-tu pourquoi Pierre Bléraud, propriétaire du château de Grassevaud signait «Les hirondelles portent malheur » ?
– Non, grand-père. Raconte !
– C’est une bien triste histoire. En ce temps-là, les seigneurs étaient les maîtres. Pierre Bléraud, seigneur de Grassevaud, tuait les hirondelles.
- Un jour, en tirant, il a tué son fils. Fou de douleur, il prit l’habitude de signer «Les hirondelles portent malheur ».
Les Périments
Aux limites des communes d’Arnac-la-Poste et de Saint-Hilaire-la -reille, les hommes ont toujours redouté les Périments. Les marécages et les tourbières humides constituent les Périments. La crainte est apparue à la suite de la disparition en ces lieux d’un paysan avec sa charrette et ses bœufs. Lors des veillées, ce récit était toujours rappelé aux enfants afin de les appeler à la prudence et d’éviter d’autres catastrophes.
À propos de Jacques Bertrand
Jacques BERTRAND ! Oh la la.. quel grand tueur de loups ! Sais-tu comment il faisait ? Eh bien, quand le loup arrivait la gueule grande ouverte, il se mettait bien en face et il lui enfonçait son bras dans la gueule si profond, qu’il lui attrapait la queue et le retournait comme une chaussette !
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Ancienne paroisse puis commune réunie à celle de Dompierre en 1794[2] sur la limite de laquelle il se situe puis rattachée à Saint-Hilaire-la-Treille en 1800[3]. Ce fut d'abord une commanderie de l'ordre du Temple puis une paroisse de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sous le vocable de Saint-Georges qui dépendait de la commanderie de Morterolles.
- Devenu depuis Moulin Siquet.
- Disparu depuis selon le recensement de l'Insee de 1965.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sur Géoportail
- « Ancienne commune de FOLVENTOUR », sur agl87.org (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Magnac-Laval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Hilaire-la-Treille et Magnac-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Magnac-Laval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Hilaire-la-Treille et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- http://grandmont.pagesperso-orange.fr/Bronzeaux_les.htm
- « Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin », sur Gallica, (consulté le ).
- « Connaître les sites templiers du Sud-Ouest », sur calameo.com (consulté le ).
- http://gartempe.fauvet.pagesperso-orange.fr/Brame/La_Brame_fichiers/frame.htm
- Jean-Marie Allard, « L'accord de 1282 entre l'évêque de Limoges et le précepteur du Temple en Limousin », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, vol. 129, , p. 24 (présentation en ligne)« Cappella de Foulaventor ».
- http://www.templiers.net/departements/index.php?page=87
- Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 117 (H. 137).
- Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- http://www.espace-sciences.org/explorer/scientifiques-dans-la-ville/albert-bouzat-brillantissime-chimiste
- http://partages.univ-rennes1.fr/files/partages/Services/Centraux/SPC/InfogluePublic/Histoire-chimie-UR1.pdf
- http://monographie-st-sulpice-les-feuilles.fr/contes-legendes/#loups
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site Internet Tourisme de l'intercommunalité Brame Benaize
- Saint-Hilaire-la-Treille sur le site de l'Institut géographique national
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