Saint-André-de-Cubzac
Saint-André-de-Cubzac (en gascon Sant Andrieu de Cubzat) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-André.
Saint-André-de-Cubzac | |||||
Bâtiment principal de la mairie. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Blaye | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Cubzaguais (siège) |
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Maire Mandat |
Célia Monseigne 2020-2026 |
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Code postal | 33240 | ||||
Code commune | 33366 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cubzaguais | ||||
Population municipale |
12 372 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 534 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 59′ 44″ nord, 0° 26′ 41″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 73 m |
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Superficie | 23,15 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Gironde (bureau centralisateur) |
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Législatives | Onzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saintandredecubzac.fr | ||||
Géographie
La commune de Saint-André-de-Cubzac, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine. Elle était auparavant la commune-centre de l'unité urbaine de Saint-André-de-Cubzac absorbée par celle de Bordeaux selon la délimitation de 2020.
Localisation et accès
Saint-André-de-Cubzac est située sur la rive droite de la Dordogne, lieu renommé pour son carrefour routier important et les ponts (le pont routier de Cubzac, le pont ferroviaire de Cubzac et le pont autoroutier de Cubzac) qui franchissent la Dordogne et qui sont les seuls passages routier et ferroviaire entre l'estuaire de la Gironde et Libourne. Ces ponts sont toutefois plus au sud, dans la commune voisine de Cubzac-les-Ponts.
Située au nord de Bordeaux, Saint-André-de-Cubzac est le carrefour entre la RN 10 d'Hendaye à Paris entre Bordeaux et Angoulême et l'ancienne RN 137 de Saint-André-de-Cubzac à Saint-Malo, aujourd'hui route départementale, longe l'autoroute A 10 qui va vers Paris et se dirige vers Saintes. Autrefois rond-point entre la RN 10 et la RN 137, le carrefour entre l'A10 et la RN 10 est maintenant une jonction autoroutière.
La route départementale 670 part du centre-ville et de ce carrefour pour aller vers l'est à Libourne.
La route départementale 669 part du centre-ville et longe la rive droite de la Dordogne pour aller vers Bourg puis Blaye par l'estuaire. C'est le début de la Route touristique de la corniche.
Communes limitrophes
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Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-André-de-Cubzac[3],[4]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[5].
ZNIEFF
Saint-André-de-Cubzac fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[6],[7], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[8].
Toponymie
Le nom de la commune est Sant Andrieu de Cubzat, parfois orthographié Cubzac mais prononcé avec un -t final[9] dans le parler gascon du Cubzaguais.
Histoire
La commune compte quelques vestiges préhistoriques et protohistoriques et plusieurs villas gallo-romaines qui témoignent de l’ancrage d’un habitat ancien qui s’est fixé dans cette zone dès la période antique[10].
La période médiévale est surtout marquée par l’importance notable de la forteresse royale de Cubzac, construite en 1249 par Simon V de Montfort sur les bords de la Dordogne[11]. Son plan en bastide prévoyait un fonctionnement qui reposait principalement sur l’auto-suffisance et l’autarcie, essentiel pour une place forte. Cependant, la proche petite ville de Saint-André avait été dotée par l’abbaye de la Sauve, dès la fin du XIIe siècle, d’un prieuré. Il était le centre d'une mise en valeur des sols, l'habitat était déjà conçu comme une petite sauveté, et s'organisait avec des rues tracées à partir des deux premiers axes antiques, le cardo (axe nord-sud) et le decumanus (axe est-ouest)[12]. C’est au croisement même de ces deux voies qu’avait été érigée la première église Saint-André, agrandie depuis, et un peu plus haut dans le bourg une autre, plus modeste, l’église Saint-Étienne. Saint-André a toujours fondé son développement sur l’ouverture à l’économie locale et au commerce : dotée d’un marché important dès le XIIIe siècle, la ville s’ancrait fermement dans les échanges sur toute la rive droite de la Dordogne, voire avec l’Entre-deux-Mers. Elle apparaît comme un carrefour commercial dès la fin du XIIIe siècle et, à partir de là, elle ne cessera plus de prospérer, notamment avec le commerce de ses vins.
En 1341, Édouard III d’Angleterre érigea la terre du Cubzaguais en châtellenie et la donna à Bérard III d’Albret, en raison de services rendus[13]. Un peu plus d’un siècle plus tard, après la victoire de Castillon en 1453, les places anglaises revenaient à la France et Cubzac –dont la vocation à l’origine était principalement militaire– n’avait plus véritablement de raison d’exister. À la suite de ce déclin, le siège de la châtellenie se déplaçait du château de Cubzac à la maison noble du Bouilh, qui donnait à la région une impulsion nouvelle, à dominante clairement économique[14]. Elle devint si prospère que le puissant voisin, le marquis de Fronsac, chercha plus tard à l’acquérir, en vain.
Les guerres de religion ont sévi dans cette zone. Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Montalon[15].
Les archives départementales de la Gironde, notamment les terriers, présentent certains plans, parcellaires et croquis divers de lieux-dits, d’habitats et de routes du territoire de ce qui deviendra l’actuel Saint-André-de-Cubzac. Des plans originaux, inconnus jusqu'alors, levés par le célèbre et méticuleux géographe Claude Masse et colorés à la main, ont été découverts il y a quelques années[16] ; ils se sont avérés être les plus fidèles et les plus anciens à ce jour et ils apportent beaucoup. Leur précision permet d'observer l’emplacement de monuments aujourd’hui disparus en partie (cloître des Cordeliers) ou totalement (église Saint-Étienne, anciens cimetières), et prouve que le clocher carré de l’église, en 1723, portait déjà une horloge, ce qui était rare au début du XVIIIe siècle. Ces mêmes plans, très détaillés, permettent entre autres de comprendre les routes, les accès à la Dordogne, l’ancienne bastide de Cubzac et donnent une bonne indication de la mise en valeur du territoire. Pour la première fois il est possible d'examiner un relevé précis -et remarquable par sa rareté- de ce qu’était en 1723 l'ancienne maison forte du Bouilh (dont on sait qu'elle se trouvait sur une maison forte érigée dès 1331), ses jardins et ses dépendances agricoles avant qu’elle ne soit en très grande partie rasée vers 1780 et que les grands travaux de 1785-1790 n’en fassent l’édifice (château du Bouilh) que l’on connaît aujourd’hui[17]. Les plans en couleur les plus importants, en raison de leur intérêt, ont été repris et publiés dans un ouvrage consacré à l'étude d'ensemble de Cubzac et de sa région[18].
Un certain nombre d'érudits locaux et d'historiens se sont penchés, depuis plusieurs années déjà, sur l’histoire plus récente de Saint-André-de-Cubzac[19], y compris par l’examen des cartes postales anciennes qui témoignent, dans le début du XXe siècle, d’une ville en plein essor et en activité. Le cœur de la ville était alors symbolisé par une magnifique halle de pierre, construite vers 1780 par Jean de La Tour Gouvernet, lieutenant-général de la région, halle malheureusement démolie depuis. L'ancien petit port de Plagne, qui a connu un certain succès grâce à la pêche et au transport de marchandises a subi de plein fouet la concurrence des moyens de transports modernes. Il connaît depuis quelques années un certain renouveau en raison, entre autres, de la navigation de plaisance.
Depuis quelques années, Saint-André-de-Cubzac, qui avait fréquemment eu peine à trouver sa voie entre ses deux grandes « rivales », Bourg à l’ouest et Libourne à l’est[20], ne semble qu'avec difficulté être parvenue à s’adapter à la période contemporaine dominée par une société de consommation et d’échanges, qui ne cesse de monter en puissance. Son centre historique est traversé par la rue Nationale qui a toujours constitué une sorte de poumon économique, où s’étaient fixés, parfois depuis longtemps, des commerces de proximité. Depuis l’étirement de la ville plus au nord, en direction de la Garosse, cette rue principale (cardo), dans sa partie basse et dans le centre de la vieille ville, a été transformée en voie à sens unique dotée d’une piste cyclable presque aussi large que la chaussée. En quelques années il semble que les nombreux commerces de proximité qui s’y trouvaient se déplacent ou disparaissent des anciens axes routiers, dont il convient de reconnaître qu'ils sont peu pratiques à la circulation automobile contemporaine alors que se créent, loin du cœur historique de la ville, des zones commerciales.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Cubzaguais[26].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[27],[Note 2]
En 2019, la commune comptait 12 372 habitants[Note 3], en augmentation de 17,88 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 831 hommes pour 6 220 femmes, soit un taux de 51,61 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,06 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
La commune compte parmi ses associations le Racing Club Cubzaguais[31], club de rugby à XV dont Heini Adams a notamment été le manageur sportif entre 2016 et 2018 en division honneur[32].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le site de Montalon abrite les restes de trois moulins, dont l'un est transformé en petit observatoire. On peut par ailleurs y trouver la borne du « 45e parallèle » marquant le passage du 45e parallèle nord.
- Église Saint-André-du-Nom-de-Dieu du XIIe siècle et du XIIIe siècle, inscrite au titre des monuments historique en 1925[33].
- Vierge de Pitié, groupe sculpté de l'intérieur de l'église Saint-André classé monument historique en 1971[34].
- Château du Bouilh, construit vers 1786-1787 par l'architecte Victor Louis pour le compte de Jean-Frédéric de La Tour du Pin Gouvernet, classé monument historique en 1943[35].
- Le phare du port de Plagne, à proximité de Saint-André-de-Cubzac.
- Le port de Plagne ; ancien haut lieu de la pêche à l'esturgeon.
- Le platane de Robillard, tricentenaire.
- Le château Robillard est un castel du XVIe siècle ; durant l'été, des spectacles y sont régulièrement donnés[36].
- L'église Saint-André-du-Nom-de-Dieu.
- Le port de Plagne.
- Château Robillard.
- Moulins du site de Montalon.
- Croix sur la place Charles de Gaulle.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Frédéric de La Tour du Pin Gouvernet (1727-1794), ministre de la Guerre, seigneur du Cubzaguais.
- Henri Hubert Delisle (1811-1881), gouverneur de l'île de La Réunion a été maire de Saint-André-de-Cubzac puis député et enfin sénateur.
- Jean Honoré Olibet (1818-1891), fondateur des usines de biscuits Olibet.
- Aristide Plumeau (1824-1904), médecin, adjoint au maire à Bordeaux, conseiller général de la Gironde, propriétaire viticulteur.
- Jean Vigé (1842-1915), cafetier et animateur renommé en expression gasconne, il fut également chroniqueur, connu entre 1909 et 1914 pour sa chronique Lou Peysant daou Champ de Feyre dans le journal local Le Cubzaguais.
- Jean-Marie de Lanessan (1843-1919), ministre de la Marine, gouverneur général de l'Indochine française.
- François-Raoul Larche (1860-1912), sculpteur de l'Art nouveau.
- Alexandre Nicolaï (1864-1952), écrivain, historien, président de la Société archéologique de Bordeaux, décédé au château Robillard.
- Henri Bellivier (1890-1980), champion cycliste.
- Joseph Allain (1891-1959), poète gascon, félibre[37], ce vigneron s'inscrit dans la tradition des poètes-paysans ou artisans chère au Félibrige. Poète agreste et bucolique, son œuvre, limitée à un cahier de pièces manuscrites, chante les charmes de la nature dans le parler gascon très caractéristique du pays cubzaguais
- Pierre Traverse (1892-1979), sculpteur, né dans la commune.
- André Dubourdieu (1901-1971), pilote aviateur de l’Aéropostale.
- Pierre-Antoine Cousteau, né le 18 mars 1906, à Saint-André-de-Cubzac et mort le 17 décembre 1958 à Paris, est un journaliste français. Collaborationniste convaincu pendant l'occupation allemande, il est l'une des plumes du journal Je suis partout. Condamné à la libération, il reprend ensuite sa carrière et travaille dans des journaux comme Rivarol. Il est le frère aîné de Jacques-Yves Cousteau.
- Jacques-Yves Cousteau (1910-1997), est né au 83, rue Nationale à Saint-André-de-Cubzac le 11 juin 1910, au-dessus de la pharmacie de son grand-père, Ronan Duranthon. Il est issu d'une ancienne famille du Cubzaguais. Il est enterré au cimetière communal.
- György Kurtág (1926), compositeur hongrois, y réside depuis les années 1990[38]
- Jacques Maugein (1934), homme politique, maire de Saint-André-de-Cubzac de 1977 à 2008, conseiller général et ancien député de la Gironde.
- Marc Marcillac (1952), auteur et réalisateur de cinéma.
- Emile Philippe MAGAUDOUX, nom d’artiste Philippe MOHLITZ, né à Saint-André de Cubzac le 7 mars 1941, mort le 14 mars 2019 à Bordeaux. Graveur français de renommée internationale, plusieurs fois primé et reconnu par des expositions et des publications.
Héraldique
Blason | Parti, au premier d'azur à la tour d'argent maçonnée de sable, au chef de gueules chargé de trois heaumes aussi d'argent tarés de profil, au second d'or au dauphin contourné d'azur peautré et oreillé de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Daniel Petit, Saint André de Cubzac et Cubzac les Ponts, 1954.
- Gérard et Claude Bardeau, Saint André en Cubzaguès, nóste péïs, 1980.
- Pascal Reigniez, Une carte de 1723 de la région nord de la Guyenne comportant les plans des villes de Saint-André-de-Cubzac, Cubzac, Lormont, Libourne et de la place de Fronsac, Paris, Lepaintre, 1992, 57 pages + cartes + plans p. (ISBN 2-9506789-0-4)
- Office de Tourisme du Cubzaguais, Dis-moi, c'était comment le Cubzaguais il y a cent ans ?, 2000.
- Claude Bardeau, Le Cubzaguais au XIXe et XXe siècles sous la coupe de quelques grandes familles, 2007.
- Pascal Reigniez, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon - Ethno-histoire d’un habitat en basse vallée de la Dordogne, Paris, Les Indes Savantes, décembre 2009 (seule éd. reconnue, l'édition de mars 2009, non corrigée, est passée au pilon), 406 p., cartes et illustrations (présentation en ligne).
- Christophe Meynard, Saint-André de Cubzac, éd. Alan Sutton, 2010.
- Christophe Meynard, Phred, Le Cubzaguais, un siècle en 100 photos, éd. ARHAL, 2015.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Résultats du recensement de la population de Saint-André-de-Cubzac sur le site de l'INSEE, consulté le 17 novembre 2011.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-André-de-Cubzac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Saint-André-de-Cubzac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes
- Élue maire par le conseil municipal, en octobre 2011, à la suite du décès de Laurent Ricci, la liste de Célia Monseigne a remporté les élections de mars 2014 et Célia Monseigne a été élue maire ; à la suite d'une réclamation, le Conseil d'État a annulé, le 24 février 2015, ce dernier scrutin municipal et les électeurs ont été appelés aux urnes le 12 avril 2015 ; Célia Monseigne a remporté ce scrutin.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Saint-André-de-Cubzac sur Géoportail, consulté le 20 mai 2015.
- Saint-André-de-Cubzac sur Géoportail, consulté le 20 mai 2015.
- - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Espèces, INPN, consulté le .
- « Saint-André-de-Cubzac / Sant Andrieu de Cubzac - Bourgeais, Cubzaguais, Fronsadais, dans le triangle gascon - Gasconha.com - Noms e Lòcs », sur www.gasconha.com (consulté le )
- Boudet, Richard, L'âge du fer récent dans la partie méridionale de l'estuaire girondin, du Ve au Ier siècle avant notre ère, Périgueux, Vésuna, , 254 p.-222 pl. : ill., cartes
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon - Ethno-histoire d’un habitat en basse vallée de la Dordogne, Paris, Les Indes Savantes, décembre 2009 (l'édition de mars 2009, non corrigée, a été pilonnée), 406 p. (ISBN 978-2-84654-186-2, lire en ligne)
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), p. 150 et suiv ; 310 et suiv.
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon… (éd. déc. 2009), p. 114
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Reigniez Pascal, Une carte de 1723 de la région nord de la Guyenne comportant les plans des villes de Saint-André-de-Cubzac, Cubzac, Lormont, Libourne et de la place de Fronsac, Paris, Lepaintre, , 57 pages + cartes + plans (ISBN 2-9506789-0-4)
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), Planche XVII concernant l'ancienne maison forte du Bouilh et ses dépendances.
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), planches couleur V, VI, IX
- Voir bibliographie
- Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), p. 161 à 170
- Laurent Ricci est décédé, Sud Ouest.fr du 7 octobre 2011.
- Célia Monseigne devient officiellement Mme le Maire,Sud Ouest.fr du 19 octobre 2011.
- Saint-André-de-Cubzac n’a plus de Conseil municipal, Sud Ouest.fr du 24 février 2015.
- Les résultats de l'élection municipale du 12 avril 2015 sur le site de la mairie, consulté le 20 mai 2015.
- Annuaire des villes jumelées
- Nom des habitants de Saint-André-de-Cubzac sur habitants.fr, consulté le 17 novembre 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-André-de-Cubzac (33366) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
- « RC Cubzaguais », sur Fédération Française de Rugby (consulté le )
- Nicolas Gosselin, « Heini Adams à Biarritz, c'est confirmé : "Il part de Saint-André-de-Cubzac en laissant son empreinte" », sur actu.fr, (consulté le )
- « Inscription de l'église », notice no PA00083712, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 novembre 2011.
- « Classement du groupe sculpté », notice no PM33000660, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 17 novembre 2011.
- « Classement du château », notice no PA00083711, base Mérimée, ministère français de la Culture et « Images », base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 17 novembre 2011.
- Christophe Meynard, Les châteaux du Bordelais, Saint-Avertin, éditions Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-8138-0788-5), p. 31.
- (oc) David Escarpit, « Lo Lugarn-Lou Lugar, no 101 », sur www.cieldoc.com, (consulté le ), p. 11[PDF]
- György Kurtág sur forward.com.
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