Sicral 1
Sicral 1 est un satellite de télécommunications militaires italien construit par Alenia Spazio.
Satellite de télécommunications militaires
| Organisation |
 Ministère italien de la Défense |
|---|---|
| Constructeur | Alenia Spazio |
| Programme | Sicral |
| Domaine | Satellite de télécommunications militaires |
| Statut | Hors service |
| Autres noms | Sicral 1A |
| Base de lancement | centre spatial guyanais |
| Lancement | 7 février 2001 à 23 h 05 UTC |
| Lanceur | Ariane-44L H10-3 |
| Durée | 10 ans (mission primaire) |
| Identifiant COSPAR | 2001-005A |
| Masse au lancement | 2 596 kg |
|---|---|
| Masse instruments | 250 kg |
| Plateforme | GeoBus (Italsat-3000) |
| Contrôle d'attitude | Stabilisé sur 3 axes |
| Source d'énergie | Panneaux solaires |
| Puissance électrique | 3 280 watts |
| Orbite | Orbite géostationnaire |
|---|---|
| Longitude | 16,2° Est |
| Répéteurs (3) | Bande Ultra haute fréquence |
|---|---|
| Répéteurs (5) | Bande Supra-haute fréquence |
| Répéteurs (1) | Bande Extrêmement haute fréquence / bande Ka |
Caractéristiques
Premier satellite militaire italien, il est positionné en orbite géostationnaire à 16,2° E de longitude et est exploité par le ministère italien de la Défense.
Le satellite est conçu sur la plate-forme GeoBus (Italsat-3000) et son espérance de vie est de 10 ans[1],[2]. Le premier système national italien de télécommunications militaires par satellite est mis au point par le consortium SITAB, composé de Alenia Spazio, société Finmeccanica (70 %), Fiat Avio (20 %) et Telespazio (10 %).
Il est l'un des trois systèmes remplaçant les satellites OTAN déployés entre 1970 et 2010.
Lancement
Le satellite est lancé avec succès le à 23 h 05 TU, par un lanceur Ariane-44L H10-3 depuis le Centre spatial guyanais, avec le satellite Skynet 4F. Sa masse au lancement est de 2 596 kg[1],[2].
Notes et références
- (en) « SICRAL 1, 1B », sur Gunter's Space Page (consulté le )
- (en) « SICRAL 1A », SatBeams - Satellite Details (consulté le )
- (pt) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en portugais intitulé « SICRAL 1 » (voir la liste des auteurs).
Voir aussi
Articles connexes
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