Sidi M'Hamed Ben Ali

Sidi M’Hamed Ben Ali est le chef-lieu de commune et de daïra dans la wilaya de Relizane en Algérie.

Pour les articles homonymes, voir Ben Ali (homonymie).

Sidi M'Hamed Ben Ali
Noms
Nom arabe سيدي امحمد بن علي
Nom amazigh ⵙⵉⴷⵉ ⵎⵃⴰⵎⴻⴷ ⴱⴻⵏ ⵄⵍⵉ
Administration
Pays Algérie
Wilaya Relizane
Daïra Sidi M'Hamed Ben Ali
Code postal 48003
Code ONS 4808
Démographie
Gentilé Renaultois
Population 20 096 hab. (2008[1])
Densité 254 hab./km2
Géographie
Coordonnées 36° 08′ 41″ nord, 0° 50′ 35″ est
Altitude 496 m
Min. 350 m
Max. 500 m
Superficie 79,15 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Sidi M'Hamed Ben Ali
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Sidi M'Hamed Ben Ali
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
Sidi M'Hamed Ben Ali

    Pendant la colonisation française, elle s'appelait Renault, en mémoire du général Pierre Hippolyte Publius Renault[2] . Elle est située dans la région montagneuse du Haut Dahra et est considérée comme la capitale de sa partie orientale[3] .

    Démographie

    La commune comptait 20 096 habitants en 2008[1], pour une superficie de 80.00 km² , la population est passée de 17,072 habitants en 1988 à 20 096 habitants en 2008 , avec un changement démographique annuel de 1,7% . La Daira de Sidi M'hamed Ben Ali avec ses trois communes compte 67 995 habitants pour une superficie de 609,24 km² . C'est la 4ème Daira la plus peuplée au niveau de La Wilaya de Relizane[4].

    Population actuelle

    Les habitants de Sidi M'hamed Ben Ali sont les Renaultois .

    Comme dans tout le dahra la quasi-totalité des Renaultois sont issus de la grande tribu berbère zenète " Maghraoua ", avec la présence notable de quelques familles cherifiennes , kouloughlis et Kabyles. Sachant que l'invasion hillalite n'a quasiment pas touché ce coin du Dahra nommé anciennement Bastion fortifié des Maghraoua[5] . On y trouve plusieurs toponymie et expressions berbères zenètes dans le parler renaultois ( Darija ) tels que  :

    - Toponymies : Touares , Timezlatou , Tala ,Tamjet , Mediouna , Tanesrat , Nouader , Gri , Taougrite,Tamda ...

    - Expressions : Dada = Grand père , Nana = Grand-mère , Lella = Belle mère, Admer = pousse , Yasret = avale , zerwat = tire, Tkaârir = bla-bla ,Arzouzi = Frelon , Tamejdamed / Teta / Zermoumia = Reptiles , Talma = L’ispaghul , Lelouch = fleurs , Zarf = assiette , Attena / karâa = attend , Nichen = Tout droit , Terras = Homme, Tareghla = champignon , Nouader = foins , Medjir = Grande Mauve , Zitouf = Ortie , Fertatou = Papillon , Oualal = Tasse à boire , Tifleles = Hirondelles , Tnagref = Tombe , Mzarnef = en haute vitesse, Tifour = table arrondie , Fakroun = Tortue , Zerouf = Khit-Errouh , Serdouk = Coq , Egnin = lapin ,Zawech = moineau, Ouakrif = Bœuf, Baâouch = insectes ...etc

    Localités

    En 1984, la commune de Sidi M'hamed Ben Ali est constituée des Localités suivantes [6] :

    • Sidi M'hamed Ben Ali centre

    • Chaib Draa

    • Ain Metboul

    • Lemaïlia

    • Sidi Khalfi

    • Laouilia

    • Ouled Ben Sahli

    Géographie

    Sidi M'hamed Benali est campée sur une crête collineuse de 496 m à l'extrémité sud du Massif du Dahra , elle domine les deux plaines agricoles du Gri vers le Nord est et Touares vers le Sud ouest .

    Localisation

    Sidi M'Hamed Ben Ali est situé au nord de la wilaya de Relizane dans les hauteurs du Dahra , à 211 km d'Alger , 143 km d'Oran et d'environ 38 km de La côte[7].

    Communes limitrophes de Sidi M'Hamed Ben Ali
    Dahra Taougrite Taougrite
    Mediouna Aïn Merane
    El Guettar Mazouna Mazouna

    Climat

    Le climat de Sidi M'hamed Ben Ali est méditerranéen avec été chaud. La classification de Köppen est de type Csa. La température moyenne est de 17.6⁰C et la moyenne de précipitation et pluviométrie annuelle est d'environ 488 mm[8] .

    Faune et Flore

    - La forêt de Timezlatou à l'entrée sud de la ville.

    - La plaine du Gri en nord est de la ville

    - Colline de Touares en sud ouest de la ville

    Hydrographie

    - Oued Gri qui traverse la Plaine du Gri

    - Oued Kramis

    Plaine agricole à Sidi M'hamed Ben Ali

    Transport

    Routes

    la ville est traversée par 3 routes nationales formant un véritable carrefour entre les trois wilayas de Relizane, Chlef et Mostaganem :


    - la N90 selon un axe sud - ouest qui mène à Mostaganem vers l'ouest via Mediouna et à l'Autoroute Est- Ouest vers le sud via Mazouna.

    - La N19A vers l'est qui la relie à Chlef via Aïn Merane

    - La W87 vers le nord qui la relie à Taougrite via Ain Metboul.

    Histoire

    Préhistoire

    La région du Dahra et en particulier Sidi M'Hamed Ben Ali fut un lieu d'activité humaine depuis l'Âge de la pierre antique en raison de sa situation stratégique, sa richesse en terres fertiles, en eaux abondantes, et en vastes zones forestières qui abritent différentes espèces animales comme l'ont révélées Les fouilles archéologiques entreprises en XIXe siècle et XXe siècle, à partir desquelles plusieurs artefacts , anciens outils , Pierres polies de silex, de grès et de cristal de roche, des pots et des ossements ont été découvertes dispersées dans des grottes à la fois au mont Sidi saïd et Oued Tala d'où l'homme préhistorique a fait des habitats et des établissements primitifs[9] .

    Antiquité

    Sidi M'hamed bin Ali a connu la succession de plusieurs civilisations numidie , punique et romaine , dont l'un des plus anciens témoignages sont les vestiges de la ville antique Timici Timici (en) dans les hauteurs du village " Ain Metboul " actuellement situé au nord-est du centre de la commune. Timici était une ville commerciale et militaire établie par les puniques au IVe siècle av. J.-C. pour contrôler la riche Plaine du Gri et pour sécuriser la route commerciale qui la traversait vers la côte tout en surveillent les mouvements des tribus indigènes berbères . Construite sur un haut plateau rocheux , Timici était soumise à l'autorité du Royaume de Numidie de 202 av. J.-C. jusqu'à sa chute aux mains des Romains en 46 après J.-C.[10] .

    Au début du Ier siècle de notre ère, la région a vecu la pénétration de la tribu berbère Maghraoua, qui habitait les environs d'Icosium , dans le haut Dahra et le bassin de Chelif , sur ordre du roi Ptolémée de Maurétanie , par suite la tribu a étendu son influence sur toute la partie comprise entre Tipaza vers l'est jusqu'à Mostaganem vers l'ouest, elle sera nommée donc " Mont Maghraoua" ou " Bastion de Maghraoua ".

    Au IIe siècle de notre ère, les Romains rénovèrent et fortifièrent le château de Timici et le port d'Arsonaria au nord. Parallèlement, la région a connu une importante expansion humaine et urbaine , le clan amazigh " Masunay Regis Gentys " s'est installé au centre actuel de la ville de Sidi M'hamed Ben Ali , ils étaient les maîtres du carrefour Tala – S.M.B – Mazouna , au cours de laquelle un centre commercial et militaire s'est développé dans la partie basse de ville, la fontaine de Sebalat Essoug et les anciens tunnels de pierre au cimetière chrétien en sont encore témoins, en plus des plaques et pierres tombales retrouvées dans le jardin du Colon Auguste Collin pendant la période de l'occupation française, et qui contiennent des inscriptions en Lettres puniques : La première plaque indique : « Kadat, Kaku fils de Bakou ». La seconde : « Ohirtep, Kaku Kadeton, fils de sabab Bahit, Kakaz Tamo, Dalit Veneno, Dade». La seconde se trouve actuellement au Musée national Zabana d'Oran . La découverte indique, selon l'historien Moulay Belhamissi, la résidence de la tribu berbère appelée « Régis Masunay Gentys » au centre ville de Sidi M'hamed Ben Ali actuellement qui s'appelait Masunay ( Masuna ) à l'époque[11].

    Destruction de Timici et Masunay

    Il est probable que Timici et Masunay aient été détruits par les Byzantins en 540 après j.c en réaction à la participation des habitants à la révolte du roi Mauritanien Masuna [12]

    Période Islamique

    La tribu Maghraoua , qui vivait dans les environs de Sidi M'hamed ben Ali , fut la première des tribus berbères à embrasser l'Islam lors de son apparition. Le chef de la tribu Ouezmar Ibn Saclab a initié une visite au calife Othmân ibn Affân , qu'Allah soit satisfait de lui, à Médine en l'an 25 AH correspondant à 645 après JC , il a embrassé l'islam , puis retourna vers son peuple au mont Maghraoua ( Mont Dahra et bassin de Chelif ) et il les invita à l'islam, alors ils se sont tous convertis volontairement, Il est noté que Maghraoua était l'une des tribus berbères les plus fortes, les plus nombreuses, selon Ibn Khaldoun (un tiers des Berbères) à l'époque.

    Période ottomane

    Sidi M'hamed ben Ali est devenu un carrefour de liaison et de rencontres entre les tribus de la région et la ville voisine de Mazouna , la capitale du Beylik de l'Ouest de 1563 à 1701 , ou elle a connu l'établissement d'un marché au lieu-dit "Sebalat Soug ". De même, le grand Alim et Moufti Sidi Mohammed Ben Ali El-Medjadji (1538-1599 après J.-C) avait l'habitude de fréquenter le marché de la région, dans lequel il a établi une petite Medersa voir Zaouïa où il donnait des leçons , des sermons et des fatwas pour régler les problèmes des Fidèles , Ce qui augmenta l'amour et le respect des gens pour lui et ils ont commencé à affluer pour le consulter de tout le Dahra.

    L'assassinat de Sidi Mohamed Ben Ali

    En 1599 le gouverneur de Mazouna" Bey Saouag " consulta l'école de sidi Mohammed Ben Ali sur la question de son mariage avec la femme de son père décédé, qui a provoqué la colère de Sidi Mohammad Ben Ali, qui a déclaré directement son hostilité, alors que la plupart des Oulémas de l'époque soit craint ou caché en raison du pouvoir du Bey Saouag qui n'a pas avalé la réponse du Mufti alors il a comploté contre lui et l'a tué par trahison avec l'épée d'un des cheikhs qui ne savait pas ce qui se passait afin que le Bey Saouag éloigne les accusations de lui même le crime a eu lieu dans le même endroit où l'Alim donnait des cours et qui porte aujourd'hui son nom "le Mausolée de Sidi M'hamed ben Ali" près de la mosquée de Quba . Les tribus locales étaient si tristes et fâchés à cause de cela donc ils ont expulsé le cheikh Bin Sha'a, qui était impliqué dans le meurtre , ils ont donc construit un Mausolée pour l'imam décédé, qui est devenu un Marabout ( sanctuaire ) pour eux et ses descendants à ce jour là.

    Après cette affaire d'assassinat la région prit officiellement le nom de Mohamed Ben Ali jusqu'à l'arrivée de la l'occupation française et la création du centre de colonisation Renault[13].

    Occupation Française

    Résistance du Dahra

    la Plaine du Gri et les colines autour d'elle situé actuellement au nord de Sidi M’hamed Ben Ali était une scène de violents combats entre les troupes du Cheikh Boumaza, le chef de la résistance du Dahra, et la garnison d'Orléansville commandée par le général Saint Arnaud . après avoir perdu beaucoup d'hommes à cause du déséquilibre matériel et humain d'une part, et de l'alliance de l'Agha de l'Ouarsenis avec l'ennemi français d'autre part ,Le Cherif a dû se retirer vers le désert . Il sera plus tard obligé de se rendre au général Saint Arnaud à Renault ( Sidi M'hamed Ben Ali)[14] .

    Création de Renault

    Le centre de population de Mohamed Ben Ali est dénommé Renault en Juillet 1874 , et était initialement affilié à la commune mixte de Cassaigne et comprenait plus de 80 parcelles agricoles et 20 parcelles industrielles sur une superficie de 2 754 hectares 79 ares 75 centiares.Sa population était de 360 habitants possédant 411 têtes de bétail et 98 instruments agricoles. Il y a été construit 72 maisons et 2 baraques ou gourbis, défriché 65 hectares, planté 10,406 arbres, et cultivé 1,101 hectares. Seize familles d'origine alsacienne-lorraine ont été installées sur ce point plus la présence le quelques familles notables musulmans[15] .

    Commune Mixte de Renault

    En raison de l'importance du centre de Renault et de son éloignement de Cassaigne, chef-lieu de la commune mixte dont il dépend, l'Administration supérieure y a placé un Administrateur adjoint. Renault est élevée en commune mixte créée par arrêté gouvernemental du 16 juillet 1883. Le président d'état a dépensé à Renault la somme de 111,500 fr. et celle de de 122,355 fr. pour indemnités d'expropriation. Il a en outre cédé aux Indigènes 831 hectares de terrains domaniaux. Les travaux exécutés consistent en un vaste réduit comprenant l'église, les écoles, le presbytère et la gendarmerie; en empierrements, nivellements, plantations et aménagement des eaux; enfin en la construction d'un lavoir et d'un abreuvoir. En outre, la commune mixte, avec le concours de l'État, a construit une Mairie pour l'installation de l'administrateur adjoint et un logement pour le médecin de colonisation[15].

    L'électricité y sera introduite en 1931 , première commune électrifiée au niveau du Dahra, la supériorité de Renault se traduit dans plusieurs domaines, notamment par un tissu fort appréciable de commerçants très diversifiés et d'artisans auxquels on fait appel dans les environs. Son marché hebdomadaire est également important : El-Sebt (samedi).

    Des Trinitaires assureront, les premières années, la scolarisation des enfants, deviendront ensuite assistantes du (des) médecins de colonisation et tiendront un ouvroir surtout destiné à l'éducation des jeunes musulmanes.A défaut d'un apport économique, la présence permanente des "sœurs" constituera pour beaucoup, un réconfort appréciable.

    RENAULT, érigé en commune par arrêté du 23 octobre 1956, avec son administrateur principal, était le siège de plusieurs communes mixtes de la région (côté Oranie)[16].

    Personnalités

    Mohammed Ben Ali El-Medjadji : Moufti , Wali et poète s'est installé dans la région XVIe siècle , il donnait des leçons et des fatwas dans une medersa près du souk ou il sera assassiné en 1599 par le Bey Saouag de Mazouna, Depuis, le patelin porte son nom en l'honneur de sa mémoire.

    Cheikh Boumaza : Le 13 avril 1847, Mohamed Ibn Abdellah, surnommé Boumaza, âgé d’environ 25 ans, instigateur et dirigeant de la révolte du Dahra , se rend au Colonel de St Arnaud à Renault (aujourd’hui Sidi M'Hamed Ben Ali )[17].

    Ben Ali Boukort : premier secrétaire général du Parti communiste algérien , Nationaliste et auteur de livre " Le souffle du Dahra ", y est né[18].

    • Marcel Florenchie : célèbre écrivain français , président de la cave coopérative de Renault et délégué de la section du Dahra au conseil d'administration de la fédération des viticulteurs y est né et y a vécu[19] .

    Économie

    Agriculture et Industrie

    La région est essentiellement à vocation agricole, et comportait d'importantes étendues de vignoble avant l’accession du pays à l’indépendance on va compter 8 à 10 caves particulières dont la capacité variait de 5 à 10.000 hectos. Ce qui n'empêchera d'ailleurs pas la construction de la Coopérative, mais en 1930 seulement : 40.000 hectos. Indispensable pour un vignoble qui couvre 1 000 hectares dans les années 1950. Quelques noms à la base de cette évolution : Messieurs CARRIERE, BOULENC, TOURRENC, BROCHIER. (caves de fabrication toujours visibles de nos jours).

    Sidi M'hamed Ben Ali possède également quelques plaines fertiles qui sont à l'avant-garde de la production régionale, notamment La plaine du gri , Arja Al-Hamra et Touares vouées à la culture du blé de toutes sortes.

    Tourisme

    lieux touristiques

    • La Kalaa de Timici : Dans le nord-est de la commune de Sidi M'hamed Ben Ali, se trouve les vestiges de la cité antique Timici (en), dans la partie haute du village d'Ain Matboul. C'est une ville punique , numide puis romaine datant du IVe siècle avant J. Campée sur un plateau rocheux, d'une longueur de km et d'une largeur de 300 m, avec un caractère architectural unique en raison de la nature de son emplacement rocheux. On y trouve également des tours de guet creusées dans la montagne, en plus des ruines d'une église, murailles, ainsi qu'un cimetière Punique, ainsi que plusieurs réservoirs d'eau creusés dans les rochers. Ce château a été classé site archéologique national à l'époque coloniale en 1905 et a été reclassé en 1965 selon l'arrêté n° : 67-281 relatif aux fouilles et à la protection des sites archéologiques en site archéologique[20].

    • Mausolée de Sidi M'hamed Ben Ali El Medjaji , saint patron de la ville , situé au centre ville à côté du mosquée Quba.

    • Forêt de Timezlatou : lieu de détente principal pour les familles renaultoises pendant la période printanière.

    • Sebalat Es-soug : fontaine, abreuvoir et lavoir datant de l'époque romaine.

    • Le Marché Hebdomadaire : est le plus grand et fameux Souk au niveau du Dahra , il a lieu chaque vendredi.

    • Zaouïa Cheikh Sadaoui : située dans le village d'Ain Metboul, cet édifice religieux constitue un site de pèlerinage principal pour les Talibs soufis qui y affluent des quatre coins de l'Algérie.

    Waada de Sidi M’hamed Ben Ali : une fête régionale annuelle ou elle connaît plusieurs activités tel que la fantasia, la poésie ( Melhoun ) et d'autres festivités commerciales et religieuses

    Notes et références

    1. « Wilaya de Relizane : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
    2. Jean Stouff, « Toponymies changeantes en Algérie au temps de la colonisation et après », sur Biblioweb (consulté le )
    3. « CASSAIGNE & PETIT-PORT », sur vitaminedz.com (consulté le )
    4. « Sidi M'Hamed Ben Ali (Commune, Relizane, Algeria) - Population Statistics, Charts, Map and Location », sur www.citypopulation.de (consulté le )
    5. Dadaş Mammedov, « Maghraouas », sur www.wiki.fr-fr.nina.az (consulté le )
    6. « convert », sur archive.wikiwix.com (consulté le )
    7. « Sidi M'Hamed Ben Ali, Sidi M'Hamed Ben Ali, Relizane, Algérie - DB-City : Toutes les infos sur les Pays, Régions, Villes et Villages », sur fr.db-city.com (consulté le )
    8. « Résultats de la recherche - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le )
    9. (ar) Belkacem leila, « المراكز الإستيطانية و تطورها في منطقة غليزان », Université d'Oran, , p. 22 (lire en ligne [PDF])
    10. « Timici (Titular See) [Catholic-Hierarchy] », sur www.catholic-hierarchy.org (consulté le )
    11. Farouk Bouhadiba, « À propos d’arabo-berbère à Mazouna » [PDF], sur Cairn.info, (consulté le )
    12. « About: Masuna », sur dbpedia.org (consulté le )
    13. Louis Piesse, Itinéraire de l'Algérie, de la Tunisie et de Tanger, Hachette, (lire en ligne)
    14. La revue nouvelle, Au Bureau de la Revue Nouvelle, (lire en ligne)
    15. « Recherche géographique », sur anom.archivesnationales.culture.gouv.fr (consulté le )
    16. « SITE D'ORLEANSVILLE ET DE SA REGION », sur orleansville.free.fr (consulté le )
    17. admin, « Cela s’est passé un 13 Avril 1847, Boumaza se rend aux troupes française », sur Babzman, (consulté le )
    18. René Gallissot, « BOUKORT Ben Ali écrit aussi BOUKOURT Benali », dans Sidi M’hamed Ben Ali, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)
    19. « p1 - Votre recherche - Marcel Florenchie Tout : 475 résultats - Gallica », sur gallica.bnf.fr (consulté le )
    20. (ar) « تاريخ ولاية غليزان », sur readwithus.yoo7.com (consulté le )
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