Nova Gorica
Nova Gorica () est une commune urbaine de Slovénie, qui comptait 13 491 habitants en 2012.
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Nova Gorica | ||
Gare centrale de Nova Gorica. | ||
Administration | ||
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Pays | Slovénie | |
Régions | Primorska | |
Sous-régions | Goriška | |
Maire | Matej Arčon | |
Code postal | 5000 | |
Démographie | ||
Population | 13 491 hab. (2012) | |
Densité | 48 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 45° 58′ 00″ nord, 13° 39′ 00″ est | |
Altitude | 92 m |
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Superficie | 27 900 ha = 279 km2 | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : Slovénie
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Liens | ||
Site web | www.nova-gorica.si | |
Géographie
La ville se situe à l'extrémité occidentale de la Slovénie, à la frontière avec l'Italie, en face de la ville de Gorizia.
Histoire
Constituant la partie slovène de Gorizia, la ville est créée en 1947 pour redonner un centre administratif à la zone environnante, puisque désormais la ville de Gorizia restée en territoire italien ne pouvait plus jouer ce rôle qu'elle avait eu historiquement. Les deux villes forment pratiquement un tout depuis le , jour où la Slovénie est entrée dans l'espace de Schengen ce qui a entraîné la disparition définitive de la frontière. Elles sont tout de même très différentes, la slovène étant la plus récente, ce qui justifie son appellation de « nouvelle ». L'unique édifice de caractère au centre-ville est la vieille gare ferroviaire de Gorizia située sur la Transalpina et classée "monument de la technique".
Début 2010, couronnant un processus de rapprochement qui durait depuis des années, les trois communes voisines de Nova Gorica, Gorizia et Šempeter-Vrtojba ont signé un accord pour constituer un GECT (groupement européen de coopération territoriale), destiné à mettre en œuvre plus facilement et plus efficacement la collaboration et le développement transfrontaliers.
La connaissance de l’italien est très répandue, même si la minorité italophone, autochtone ou non, est depuis longtemps réduite au minimum tandis que l’italien ne jouit d’aucune reconnaissance ni d’aucune protection (il est tout de même enseigné comme seconde langue étrangère dans quelques lycées) ; d’après le dernier recensement les personnes qui se sont déclarées de langue maternelle italienne sont 98[1].
À Nova Gorica se trouvent plusieurs casinos, fréquentés par de nombreux touristes italiens.
Le roi de France Charles X, son fils le dauphin Louis – le « comte de Marnes » – et ses petits-enfants Louise d'Artois, duchesse de Parme et Henri d'Artois – le « comte de Chambord » – sont inhumés au couvent franciscain de Kostanjevica (Castagnevizza en italien), situé sur le territoire de Nova Gorica, ainsi que la dauphine Marie-Thérèse de France – la « comtesse de Marnes » –, la princesse Marie-Thérèse de Modène – la « comtesse de Chambord » – et le duc de Blacas d'Aulps.
Patrimoine
Patrimoine religieux
- La co-cathédrale du Christ-Sauveur, construite en 1982.
Relations internationales
Jumelage
La ville de Nova Gorica est jumelée avec:
- Gorizia (Italie) depuis 1964
- Klagenfurt (Autriche) depuis 1965
- Otočac (Croatie)
- Aleksandrovac (Serbie)
- San Vendemiano (Italie) depuis 1973
Source
- (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Nova Gorica » (voir la liste des auteurs).