Sonate K. 321
La sonate K. 321 (F.269/L.258) en la majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Sonate K. 321 la majeur — , Allegro, 91 mes. ⋅ K.320 ← K.321 → K.322 ⋅ L.257 ← L.258 → L.259 ⋅ P.449 ← P.450 → P.451 ⋅ F.268 ← F.269 → F.270 —
⋅ VI 25 ← Venise VI 26 → VI 27
⋅ VIII 19 ← Parme VIII 20 → VIII 21 |
Présentation
La sonate K. 321, en la majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente. On retrouve la cellule rythmique chère à Scarlatti :
Si la sonate K. 320 se concentrait sur les sixtes, celle-ci travaille sur des figures d'arpèges[1].
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 26 du volume VI (Ms. 9777) de Venise (1753), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme VIII 20 (Ms. A.G. 31413)[2].
- Parme VIII 20.
- Parme VIII 20 (fin de la première section).
- Venise VI 26.
- Venise VI 26 (fin de la première section).
Interprètes
La sonate K. 321 est défendue au piano, notamment par Carlo Grante (2012, Music & Arts, vol. 3) et Eylam Keshet (2016, Naxos, vol. 22) ; au clavecin par Scott Ross (1985, Erato)[3], Richard Lester (2003, Nimbus, vol. 3) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 8).
Notes et références
- Chambure 1985, p. 209.
- Kirkpatrick 1982, p. 468.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le ).
Sources
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti : Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato 2564-62092-2, 1985 (OCLC 891183737).
Liens externes
- Sonate K. 321, partitions libres sur l’International Music Score Library Project.
- [vidéo] Sonate K. 321 (Slávka Vernerová Pěchočová, piano — 2018) sur YouTube
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