Steven Seagal

Steven Seagal [ˈstivən sɪˈɡɑːl][2], né le à Lansing dans le Michigan, est un acteur, réalisateur, producteur de cinéma, scénariste, chanteur et musicien américano-serbo-russe[3].

Steven Seagal
Steven Seagal en 2012.
Nom de naissance Steven Frederik Seagal
Naissance [1]
Lansing, Michigan (États-Unis)
Nationalité Américaine
Serbe (depuis 2016)
Russe (depuis 2016)
Profession Acteur, producteur de cinéma, scénariste, réalisateur, chanteur, musicien
Films notables Nico
Échec et Mort
Piège en haute mer
Terrain miné
Piège à grande vitesse
Site internet (en) Site officiel

D'abord connu en tant qu'aikidoka (il est septième dan d'aïkido), Steven Seagal a été le premier étranger responsable d'un dojo au Japon[4],[5].

À la fin des années 1980, il obtient le succès dans le genre du cinéma d'action. Il devient également membre de la police auxiliaire de la paroisse de Jefferson en Louisiane, et se produit en tant que chanteur et musicien.

Biographie

Jeunesse

Steven Frederik Seagal naît à Lansing dans le Michigan où il vit jusqu'à l'âge de cinq ans. Sa mère, Patricia (1930-2003), est d'origine anglaise, allemande et néerlandaise[6] et exerce la profession de technicienne médicale. Son père, Samuel Steven Seagal (1928-1991), fils d'immigrés juifs russes, est professeur de mathématiques dans un lycée. Il a une sœur et deux frères. Il passe sa jeunesse à Fullerton en Californie, où il fréquente l'université de Buena Park.

Il commence à étudier les arts martiaux sous la direction du maître de karaté Shotokan Monsieur Sakamoto, puis l'aïkido avec le maître Rod Kobayashi, président de la Fédération d'aïkido des États de l'ouest. À la fin de son adolescence, il prend part à des démonstrations de karaté de l'école du maître Fumio Demura de l'école Shitō-ryū et réalise des démonstrations quotidiennes dans le sud de la Californie. En 1974, il est promu par Rod Kobayashi directement au grade de shodan au sein de l'école Shin Shin Toitsu Aikido, mais préfère rester dans l'organisation Aikikai avec les maîtres Kisaburo Osawa, Hiroshi Isoyama et le deuxième doshu (héritier de la tradition), le maître Kisshomaru Ueshiba[7].

Il effectue également plusieurs études en escrime japonaise traditionnelle (kenjutsu) au Japon. Plus tard, il pratiquera également quelques mouvements de kung-fu, ju-jitsu et de tai-chi pour ses films.

Débuts

Steven Seagal part pour Taos au Nouveau-Mexique avec son élève et futur cascadeur, Craig Dunn. Ils y ouvrent un dojo mais Seagal ne se consacre pas beaucoup au projet. Après un passage au Japon, il retourne aux États-Unis en 1983, accompagné d'un ancien étudiant de l'Hombu Dojo, Haruo Matsuoka. Ils ouvrent un dojo d'Aïkido à Burbank avant de le déménager à West Hollywood.

C'est dans ce cadre que le futur acteur découvre le monde d'Hollywood. Pour commencer, il coordonne des combats d'arts martiaux et des cascades, notamment pour des films comme The Challenge (où apparaissent Toshirō Mifune et Scott Glenn) et le James Bond de 1983, Jamais plus jamais, avec Sean Connery.

Succès

En 1988, Steven Seagal commence sa carrière au cinéma avec Nico (Above the Law) d'Andrew Davis, avec Sharon Stone et Pam Grier. Davis se voit confier la réalisation par ce qui peut être considéré comme une faveur par un ancien étudiant de judo, l'agent Michael Ovitz, qui a pensé que n'importe qui pouvait devenir une star. Malgré le succès moyen du film (18 millions de dollars au box-office américain), l'acteur signe ensuite un contrat avec Warner Bros pour trois films supplémentaires.[réf. souhaitée]

En 1990, il joue dans Échec et Mort (Hard to Kill), et Désigné pour Mourir (Marked for Death), édité par la 20th Century Fox. En 1991, il joue dans Justice Sauvage (Out for Justice) avec William Forsythe et Jerry Orbach. Les trois films sont des succès au box office. Ce qui fait de lui une star des films d'action aux États-Unis. On le cite parfois comme un possible héritier des stars des films d'action des années 1980 comme Sylvester Stallone ou Arnold Schwarzenegger.[réf. souhaitée]

En 1992, il joue dans Piège en haute mer (Under Siege) d'Andrew Davis, avec Tommy Lee Jones et Gary Busey. Ce film est un succès aux États-Unis et à l'étranger, engendrant 156,4 millions $ de recette, ce qui en fait son film ayant le plus de succès après Nico. Ce dernier film marque la fin de la période de succès de Seagal au cinéma.[réf. souhaitée]

Premiers échecs au cinéma

En 1994, Steven Seagal est devant et derrière la caméra en interprétant et en réalisant Terrain miné (On Deadly Ground), avec notamment Michael Caine dans la distribution. Film d'action mettant en avant des thèmes comme la spiritualité ou l'environnement, il constitue une brisure pour Seagal par rapport à ses précédents rôles où il interprétait des flics urbains violents. Le film est très mal reçu par la critique. En 1995, Il reçoit le Razzie Award du Pire réalisateur et est aussi nommé pour celui du Pire acteur.

En 1995, Il joue dans la suite de Piège en haute mer (Under Siege), Piège à grande vitesse (Under Siege 2), avec Morris Chestnut et Katherine Heigl. Le film obtient un succès moindre que le premier, malgré un budget près de deux fois supérieur.

En 1996, il joue dans L’Ombre blanche (The Glimmer Man), un film policier dramatique avec Keenen Ivory Wayans, puis, il fait une apparition de 45 minutes dans Ultime Décision (Executive Decision), avec Kurt Russell où il joue le Colonel Austin Travis, commandant d'une unité d'élite de Forces spéciales de l'US Army.

En 1997, il joue dans Menace toxique (Fire Down Below), un film mettant en valeur la défense de l'environnement, avec Marg Helgenberger et Kris Kristofferson. L'échec commercial du film met fin au contrat de Seagal avec la Warner Bros pour d'autres productions, à l'exception de Hors limites.

Entre cinéma et DTV

En déclin artistique Steven Seagal se tourne vers les films d'action à petit budget pour le marché de la vidéo. Ainsi en 1998, il joue dans Piège à haut risque (The Patriot), avec Camilla Belle. Un autre thriller mettant en avant des valeurs environnementales, qui devient sa première production à sortir directement en vidéo (DTV) aux États-Unis (bien qu'il ait été sorti au cinéma dans le monde entier). Produisant le film avec ses propres fonds, le tournage s'effectue près de sa ferme dans le Montana.

Après avoir produit Prince of Central Park (en), il revient au cinéma avec la sortie, en , de Hors limites (Exit Wounds) avec le rappeur DMX. Le film a moins de scènes d'art martiaux que les films précédents mais il est un succès commercial, engrangeant près de 80 millions $ de recettes dans le monde.

Steven Seagal en 2006.

Cependant, incapable de capitaliser sur ce succès, ses deux films suivants sont des échecs critiques. Explosion imminente avec Dennis Hopper et Tom Sizemore, tourné à San Francisco avant Hors Limites, sort directement en DVD et est un échec. Il signe ensuite un contrat de deux films pour Franchise Pictures. Le premier, Mission Alcatraz, sorti en 2002 (avec Morris Chestnut, Nia Peeples, et les rappeurs Ja Rule et Kurupt) rapporte moins de 20 millions de dollars. Le deuxième, L'Affaire Van Haken, sort directement en DVD.

Tous les films tournés dans la seconde moitié de 2001 sortent directement en vidéo (DTV) en Amérique de Nord, avec certaines sorties au cinéma dans quelques pays du monde. Seagal apparaît au générique comme producteur et parfois comme scénariste de la plupart de ses productions DTV incluant L'Affaire Van Haken, Ultime vengeance, Un aller pour l'enfer, Clementine, Hors de portée, Piège au soleil levant, Piège en eaux profondes, Double Riposte, Black Dawn, L'Affaire CIA, Mercenary, Attack Force, Vol d'enfer, Urban Justice, Jeu fatal, Traque sans merci, et News Movie, dans lequel il a un petit rôle.

En 2009, il joue dans son premier film d'épouvante : Against the Dark, puis enchaîne avec Le Prix du sang, Sous haute protection, et Dangerous Man.

Retour au cinéma et carrière en vidéo et à la télévision

En 2010, Steven Seagal revient au cinéma dans Machete avec Danny Trejo, Michelle Rodriguez, Jessica Alba et Robert De Niro. Le film sort au cinéma, ce qui constitue un événement pour les fans de l'acteur, qui peuvent le retrouver sur le grand écran.

Toutefois, ce retour sur grand-écran ne constitue qu'une éphémère parenthèse dans une carrière où l'acteur est devenu une valeur sûre du marché vidéo. On le retrouve ainsi la même année dans Rendez-vous en enfer (dont il a écrit le script), qui sort directement en DVD (DTV).

Steven Seagal en 2011.

En 2011, il est au centre de la série policière True Justice qui dure 2 saisons et 25 épisodes.

Sa carrière se poursuit en DTV au travers de quelques collaborations célèbres : Maximum Conviction (avec Steve Austin), Force of Execution (avec Danny Trejo et Ving Rhames), A Good Man et The Mercenary : Absolution.

En , il est en négociations avec Sylvester Stallone pour jouer dans Expendables 3[8] mais il refuse à nouveau, après une première tentative de Stallone pour le premier Expendables.

En , au cours de l'American Film Market, on apprend qu'il tournera en avril 2015 dans Cypher[9]. Le budget du long métrage d'action (dont le script est de Seagal) sera de 25 millions de dollars (son plus gros budget depuis 13 ans).

En 2015, il joue dans Absolution et dans un film d'action, Code of Honor, sorti en 2016.

À partir de 2017, alors âgé de 65 ans, l'acteur ralentit la cadence des tournages. On le voit notamment dans China Salesman où il croise Mike Tyson.

Dans le même temps, l'acteur prépare les suites de deux de ses films les plus populaires : Nico et Piège en haute mer[10].

Téléréalité

Profitant de son statut de shérif adjoint réserviste de la paroisse de Jefferson, en Louisiane, Steven Seagal apparaît à partir de 2009 dans un reality show intitulé Lawman le mettant en scène patrouillant en uniforme dans les rues, et dispensant complaisamment ses conseils à ses coéquipiers[réf. souhaitée].

Chanson et œuvres caritatives

Steven Seagal sort deux albums à tendance blues, Songs from the crystal cave et Mojo Priest. Tous deux reçoivent un accueil chaleureux de la critique[11]. On y découvre les nombreux talents de Steven Seagal, avec une voix à la fois douce et rauque[12], sachant s'entourer de talents du genre pour obtenir des mélodies plutôt recherchées.

Il donne des concerts de charité au profit, notamment, de l'hôpital pédiatrique de La Nouvelle-Orléans et de l'ONG Saving One Million Lives[13],[14].

Il aide les enfants malades partout dans le monde et déclare à ce propos : « Je me dois de faire ce que je peux, humblement, pour soulager la souffrance des autres. Partout où vous allez dans le monde, il y a des enfants qui ont besoin de notre aide[15]. »

Vie privée

Mariages

De 1975 à 1984, alors qu'il est au Japon, Steven Seagal est marié avec Miyako Fujitani[réf. nécessaire]. De 1984 à 1987, il est marié avec Adrienne La Russa[16]. De 1987 à 1996, il est marié avec Kelly LeBrock[réf. nécessaire]. Depuis 2009, il est marié avec Erdenetuya Seagal (née Batsukh)[réf. nécessaire]. Il a sept enfants de ses différentes compagnes[17].

Tentative d'extorsion de fonds par Peter Gotti

En 2003, Peter Gotti, parrain de la famille Gambino et frère de John Gotti, est condamné pour une tentative d'extorsion de fonds sur Steven Seagal[18]. L'acteur, se sentant constamment menacé, se déplaçait en permanence avec un revolver sur lui.

Nationalité serbe et russe

L'acteur aux côtés de Vladimir Poutine en novembre 2016.

En 2016, il obtient les nationalités serbe[19] et russe (le , l'acteur, qui a acquis la nationalité russe au début du mois de novembre, reçoit son passeport russe des mains de Vladimir Poutine).

Implication dans le bouddhisme tibétain

Steven Seagal aurait été identifié par Penor Rinpoché, maître de l'école bouddhiste tibétaine nyingmapa, comme tulku, c'est-à-dire la réincarnation d’un grand Lama tibétain (Chungdrag Dorje)[20].

Lorsque Yabshi Pan Rinzinwangmo, fille unique du 10e panchen-lama Choekyi Gyaltsen, habitait à Washington et étudiait les sciences politiques à l’American University, elle aurait été sous la garde personnelle de Steven Seagal[21].

Style de jeu d'acteur

Steven Seagal s'est démarqué des autres acteurs de films d'action par l'utilisation systématique de techniques d'aïkido qui lui sont propres. Par exemple : la projection, le coup de pied, le Ki, mais aussi l'intériorisation mentale lors des scènes oppressantes. C'est sur ce dernier point qu'il lui a souvent été reproché d'avoir un jeu d'acteur limité[22].

Alors que dans les années 1980, la mode était aux acteurs adeptes de musculation, Seagal avait une silhouette longiligne, vêtu d'un trench-coat noir, avec les cheveux noirs et lissés vers l'arrière. Il se distingue en outre par sa façon très particulière de combattre, qui combine des déplacements lents avec des coups très précis et très rapides.[réf. souhaitée]

Filmographie

Acteur

Producteur

Scénariste

Réalisateur

Discographie

  • 2004 : Songs From The Crystal Cave, récompensé par un Disque d'Argent en France, Steamroller Productions/ Nonsoloblues.
  • 2006 : Mojo Priest (avec le groupe Thunderbox), Steamroller Productions/ Nonsoloblues.

Distinctions

Récompense

Nominations

Voix françaises

En France, Jean-François Aupied est la voix française régulière de Steven Seagal[23]. Michel Vigné et Emmanuel Jacomy l'ont occasionnellement doublé respectivement dans trois et deux films. Au Québec, Hubert Gagnon est la voix québécoise régulière de Steven Seagal.

Controverses

Accusations d'agressions sexuelles

L'actrice Regina Simons, figurante sur le tournage du film Terrain miné a accusé publiquement Steven Seagal de viol[24].

L'actrice Rachel Grant a déclaré avoir été agressée sexuellement par Steven Seagal en 2002 lors des répétitions du film Ultime Vengeance[25].

Accidents de tournage

En 1996, alors invité de l'émission The Tonight Show, l'acteur Sean Connery a affirmé que Steven Seagal lui avait cassé le poignet sur le tournage du film Jamais plus jamais (1983), Seagal étant à l'époque instructeur d'arts martiaux[26].

Le cascadeur Sam Cam lui reçut 10 000 livres après s'être blessé lors d'une scène de combat avec Steven Seagal dans le film Ultime Vengeance (2003)[27].

Autour de l'acteur

Jeux vidéo

  • Steven Seagal a failli avoir un jeu vidéo à son nom au milieu des années 1990. En effet, la société Tecmagik avait développé un logiciel pour la Super Nintendo nommé Steven Seagal is: The Final Option dans lequel le joueur incarnait l'acteur au travers d'un beat'em all aux graphismes numérisés. Plutôt mauvais et injouable, le jeu n'a pas été achevé et l'éditeur a renoncé au projet[28].
  • Un autre jeu vidéo développé par la même compagnie, Deadly Honor, et mettant une fois encore l'acteur au premier plan, fut annoncé sur Playstation et Nintendo 64. Finalement, le titre fut annulé lors de sa première phase de création[29],[30].
  • Le jeu vidéo World of Warships a donné la possibilité de gagner Steven Seagal comme commandant d'un navire lors d'une mission durant le mois de [31].

Musique

  • Le rappeur français Alpha Wann du groupe 1995 a rendu hommage à Steven Seagal avec un morceau portant son nom[32].

Notes et références

Notes

  1. Dans ce film, Steven Seagal se parodie.

Références

  1. Biographie de Steven Seagal sur son site officiel
  2. Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  3. « Vladimir Poutine accorde la nationalité russe à Steven Seagal », LCI.fr, 3 novembre 2016.
  4. (en) « Sure, He's Making a Box-Office Killing—but Who Is Steven Seagal? », People.com, 19 novembre 1990.
  5. Arnaud Niklaus, Steven Seagal, dernière légende du film d'action ?, Books on Demand, 29 janvier 2013, 136 p., sur Google books.fr. (consulté le 20 janvier 2018).
  6. « Actor Steven Seagal and the Mob - Crime Library on truTV.com », sur web.archive.org, (consulté le )
  7. (en) « Steven Seagal Gets a Shot at Stardom », Patrick Goldstein, LA Times.com, 14 février 1988|.
  8. « "The Expendables 3" : pourquoi la présence de Steven Seagal relève de l'exploit... », sur Allociné,
  9. (en) « AFM: Seagal Signs for Aldamisa’s ‘Cypher’ », Dave McNary, Variety.com, 7 novembre 2014.
  10. (en) « Under Siege 3, Top Gun 2 updates! », Brooke Bunny, moviehole.net, 19 octobre 2016.
  11. « Fiche de Steven Seagal », sur Nanarland.com (consulté le )
  12. Tiffany Deleau, « Ces acteurs qui chantent », GQ,
  13. (en) « Save A Million Lives Celebrity Supporters & Events », looktothestars.org (consulté le 20 janvier 2018).
  14. Igor Hansen-Løve, « Acteurs aux gros bras, chanteurs au grand cœur », sur L'Express.fr,
  15. Nathalie Chuc, « Steven Seagal : "Un essai au petit écran" », sur Le Figaro.fr,
  16. « Steven Seagal : Pourquoi son mariage avec Adrienne La Russa a-t-il été annulé ? », sur www.purepeople.com (consulté le )
  17. « Steven Seagal, acteur et maître en arts martiaux septième dan aïkido, musicien et philanthrope sur les belles affiches », sur lesbellesaffiches.fr (consulté le )
  18. (en) « Gambino Crime Boss or Not, Peter Gotti Gets 9-Year Term », Andy Newman, The New York Times.com, 16 avril 2004.
  19. « L'acteur Steven Seagal obtient la citoyenneté serbe », sur L'Express.fr, .
  20. (en) Statement by H.H. Penor Rinpoche Regarding the Recognition of Steven Seagal as a Reincarnation of the Treasure Revealer Chungdrag Dorje of Palyul Monastery
  21. « Office of Tibet New York > www.tibetoffice.org/en », sur web.archive.org, (consulté le )
  22. « [Dossier] Steven Seagal : radiographie d'un phénomène », sur On Rembobine, (consulté le )
  23. « Comédiens ayant doublé Steven Seagal en France » sur RS Doublage.
  24. (en) Katie Scott, Steven Seagal’s list of alleged sexual misconduct now includes rape, 12 janvier 2018, Global News.
  25. (en) Christopher Hooton, « Steven Seagal walks out of BBC Newsnight interview when Me Too allegations are raised », sur The Independent,
  26. (en) Sarah Kurchak, « Did Steven Seagal Really Break Sean Connery's Wrist With Aikido? », Vice.com, 12 octobre 2015.
  27. (en) Nick Henegan, Actor's Pounds 10K After Fight With Seagal, 23 octobre 2004, The Daily Mirror.
  28. (en) Fiche de Steven Seagal Is: The Final Option, giantbomb.com (consulté le 20 janvier 2018).
  29. (en) Fiche de Deadly Honor, IGN.com (consulté le 20 janvier 2018).
  30. (en) « Video Game Graveyard - Deadly Honor (aka Steven Seagal: The Final Option for SNES) Publisher: TekMagik », playstationmuseum.com (consulté le 20 janvier 2018).
  31. (en) « Steven Seagal Is On Board! », sur World of Warships (consulté le )
  32. « Steven Seagal - Alpha Wann », genius.com (consulté le 20 janvier 2018).

Voir aussi

Liens externes

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