Tangara Speed Ghôda
Tangara Speed Ghoda (de son vrai nom Omar Tangara) est né le 12 avril 1962 à Bouaké dans le quartier de Kôkô, d’un père malien, Adama Tangara décédé à Abidjan et d’une mère Baoulé appelée Zagbo Agoh. Tangara Speed Ghôda était père de 6 enfants dont 5 filles et 1 garçon. Ami est malheureusement décédée un peu plus d’un mois après son père. Kadi vivant actuellement à Paris et Indigo la dernière et métissée, vit avec sa mère en France et Nadia, au Ghana, une autre dont l’identité reste méconnue, vivrait au Bénin. Le seul garçon de la famille, Mohamed Tangara travaillerait à Azaguié [1].
Nom de naissance | Oumar Tangara |
---|---|
Naissance |
Bouaké |
Décès |
Abidjan |
Activité principale | Musicien |
Genre musical | Reggae |
Après avoir côtoyé le monde des arts martiaux, il se lance dans la musique, précisément dans le reggae avec des textes qui sont un mélange de nouchi, baoulé, dioula et français[2].
Il est le fondateur de l'espace Hakili -so où se sont produits des sommités de la musique reggae tels que Tiken Jah Fakoli ou Kajeem[1].
Il s'est rendu célèbre en chantant un refrain jugé blasphématoire « Jésus n'a pas été crucifié »[3].
Notes et références
- Diarra Tiémoko, « Reportage /16 ans après la mort de Tangara Speed Ghôda : Ce que devient son mythique temple ‘’Hakilisso’’ à Abobo », sur Linfodrome.ci, (consulté le )
- Alex Kipré, Fraternité Matin, « Tangara Speed Ghôda une lumière trop vive ! », sur http://www.connectionivoirienne.net, (consulté le )
- Top Visage, « Charly Yapo: ses dernières heures avec Tangara », sur http://www.live.ci (consulté le )
Sources externes
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