Tania Mouraud
Tania Mouraud, née le à Paris, est une artiste contemporaine française.
Pour les articles homonymes, voir Mouraud.
Naissance | |
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Nom de naissance |
Tania Mouraud |
Nationalité |
française |
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Son œuvre revêt des formes très différentes, tout en restant fondée sur un réel engagement social et un questionnement ontologique ; elle mobilise chez le spectateur la conscience de soi et du monde dans lequel il se trouve.
Autodidacte, Tania Mouraud débute très jeune son parcours artistique avec ses Initiation rooms, espaces dédiés à l’introspection. Dans les années 1970, c’est par une approche analytique et intellectuelle, que Tania Mouraud allie art et philosophie dans un travail d’abord fondé sur les mots, puis plus tard sur leur typographie, porteuse de sens en elle-même.
À cette même période, les séries de photographies que réalise l'artiste se font de plus en plus nombreuses. À la fin des années 1990, Tania Mouraud crée ses premières vidéos. Les thèmes de l’angoisse et de la responsabilité au monde, sont à la base des vidéos de cette artiste, dont la vie est marquée par le deuil :
« [...] dans mon travail artistique, depuis le début, cette hantise est vraiment quelque chose de fondamentalement intime que je partage avec le public[1]. »
Le travail dans le champ de la vidéo incite Tania Mouraud à radicaliser son œuvre par le son. Après des concerts avec le groupe Unité de Production qu'elle fonde en 2002, Tania Mouraud se lance dans des performances live en solo. Ses installations vidéo, avec notamment Ad Infinitum (2008)[2] ou encore Ad Nauseam (2014)[3] et sa collaboration avec l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique (Ircam) marquant ainsi un nouveau tournant dans son œuvre.
Le 4 mars 2015 débute Tania Mouraud. Une Rétrospective, la première grande exposition monographique de l'artiste au Centre Pompidou-Metz[4]. Cette retrospective s'accompagne de 9 autres expositions à Metz dans 9 lieux différents comme le FRAC Lorraine ou encore à la galerie d'exposition de l’Arsenal. Le tout apparaît comme un véritable itinéraire à travers la ville[4].
Biographie
Une jeunesse cosmopolite
Tania Mouraud naît à Paris le 2 janvier 1942. Elle est la fille de Martine Mouraud, journaliste devenue ensuite femme d’affaires puis écrivaine, et de Marcel Mouraud, avocat et collectionneur d’art moderne, tous les deux engagés dans la Résistance[5].
Elle est très tôt sensibilisée à l’art par son environnement familial. Elle vit en Angleterre puis en Allemagne, où elle rencontre les formes artistiques les plus avant-gardistes. Elle se forme au contact des membres du groupe ZERO, de Beuys, Cage, Corso, Coltrane... et se lie d’amitié avec Gotthard Graubner et Reiner Ruthenbeck.
À la fin des années 1960, elle séjourne à New York, où elle rencontre Dennis Oppenheim, et entre en contact avec la scène artistique new-yorkaise.
Sa première exposition a lieu en 1966, la galerie Zunini à Paris où elle présente ses Peintures médicales. « Si ma peinture est volontairement schématique, c'est que je désire échapper au pathos par la recherche de la précision. J'aime ce qui est net. Les sentiments sont dangereux, l'objet est défini, rassurant. Si j'envisage un jour de peindre la figure humaine, ce sera sous forme d'objet. »[6]
En 1968, au retour de la documenta IV, Tania Mouraud brûle toutes ses toiles, faisant de cet autodafé un acte public[6].
Initiation rooms
En 1968, Tania Mouraud crée ses premiers Environnements, dits « Initiation Rooms ». Il s’agit d’espace blancs laqués, dans lesquels tout concourt à l’introspection. Appréhender l’espace d’une façon psychosensorielle, prendre conscience de soi à travers les perceptions. Ces environnements ont accueilli les performances du chanteur indien Prân Nath, d’Ann Riley et Terry Riley, ainsi que de La Monte Young et de Marian Zazeela.
Tania Mouraud envisage ces espaces comme une pièce à ajouter dans nos appartements ; « un supplément d’espace pour un supplément d’âme » comme le dit Pierre Restany[7].
Tania Mouraud suit des cours de logique mathématique au Centre universitaire de Vincennes, puis part pendant 6 ans en Inde au Kerala. Elle y séjourne toujours six mois par an.
L'œuvre d'art comme proposition analytique
En 1975, Tania Mouraud réalise des installations in situ dites « Art Spaces » dans lesquelles de courtes phrases écrites sur des bâches de plastique de chantier à la dimension des murs et interrogent les conditions de la perception visuelle et amènent vertigineusement le spectateur à prendre conscience en profondeur de ce qu’il est en train de faire. «SEEING»[3].
Tania Mouraud poursuit cette problématique en fondant le groupe TRANS avec Thierry Kuntzel puis avec Jon Gibson à travers des installations. Tania Mouraud expose alors au PS1 de New York, elle y rencontre Dara Birnbaum (en) et Dan Graham. Cette même année, elle commence à enseigner à l’École régionale supérieure d’expression plastique de Tourcoing.
Elle débute dans cette période ses fameux « Wall paintings[8] » : il s’agit de d’immenses lettres peintes en noir, très étirées, rectilignes, très rapprochées, presque illisibles. Elles forment un mot ou parfois une phrase comme c'est la cas de « I HAVE A DREAM » ou encore en 1989 « WYSIWIG» (What you see is what you get) à la BPI du Centre Georges-Pompidou qui était " le premier des Wall Paintings de Tania Mouraud qui dissimulait sous ses hautes apparences le slogan d’une marque d’ordinateur bien connue"[3].
Lorsqu’elle expose sa série de Wall paintings au sein même de l’école d’art où elle enseigne, Tania Mouraud transmet sa vision de la responsabilité de l'artiste face à l'histoire [9]: « Avec cette exposition, j’entends poser aux élèves la même question qu’à moi-même : qu’est ce que cela signifie d’être artiste en 92 ? En 1992, lorsqu’il y a trois millions d’individus frappés par le chômage comme par l’exclusion, et que l’on voit réapparaître le spectre du racisme ? Alors il y a cette phrase, « I have a dream ». L’écriture fortement allongée a adopté un caractère d’illisibilité, mais il y aura toujours une personne pour la déchiffrer. Je parle pour cette personne. C’est une confidence.»[10]
Elle expose alors dans de nombreux centres d’art en France, puis en Angleterre, au Canada et aux États-Unis.
Écritures
Tania Mouraud travaille la malléabilité et la plasticité de l’écriture depuis les années 1960. Il s’agit pour elle d’un système de représentation, avec ses mises en évidence et ses invisibilités[11].
Très tôt, les Photo-textes (1971 - 1973), les Plastics (1972 - 1990), les Mandala (1972-1974) ou encore la performance Kairos (1978) interrogent la perception, la lecture, la manière dont la langue dissimule le réel et les limites du langage.[12]
Cette recherche se poursuit avec les écritures allongées depuis 1989, qui demandent une attention particulière pour être lues, mais aussi avec les écritures éclatées (2012-2017).
On retrouve dans le travail de Tania Mouraud un goût pour une traduction mutuelle du mot et de l’image. La série des Dream (2005) expose la citation « I have a dream », traduite en 25 langues. Elle rend compte du glissement rapide que peut effectuer l’écriture vers le dessin dès lors qu’il ne peut être lu. L’écriture devient un trait, un élément pictural.
Il en va de même avec les contreformes des lettres, que l’artiste explore notamment avec City Performance n°1 (1977), la série des Words (1988), celle des Black Continent (1990-1991), celle des Black Power (1988-1992) et la pièce Alea 718 (1989).[13]
Cette dernière pièce use d’un programme informatique pour établir une composition unique, que l’artiste veut libérée des canons picturaux patriarcaux grâce à la part de hasard permise par le processus.[14] Ce goût pour la programmation est également mis à l’oeuvre avec les Mots-Mêlés (2017-2021)[15], qui cachent derrière des aplats noirs des poèmes ou des extraits d’opéras.
Ses livres d’artiste, parmi lesquels FlashS’ (2020), entérinent ce travail du mot et du signe comme manifestations plastiques.[16]
Photographies
À partir du milieu des années 1980, diverses séries photographiques voient le jour, notamment Made in Palace, composée de photos en noir et blanc prises au cours des « gay parties » d’un club parisien, montrant des espaces mouvementés et multisensoriels par un travail de flous[3]. Pour l’artiste, il y a là un lien entre peinture et photographie[9]. D’autres séries apparaissent jusqu’en 1992, composées de photos d’objets kitsch dans différents endroits. « Les Vitrines » ou encore « Les Rétrovisées ».
Dans la continuité de ses peintures photographiques, Tania Mouraud présente en 2008 une nouvelle série « Borderland », montrant le reflet de paysages sur les "round baler" de paille. Elle réalise d'autres séries comme Rubato réalisée dans les plantations d'hévéas au Kerala; Désastre qui porte sur les béances créées lors de la destruction de la forêt ou encore Balafres étant tournée sur les mines à ciel ouvert en Allemagne.
Vidéos et installations
Pour l'artiste, la pratique de "l'image séquentielle"[9] a longtemps été mise de côté mais c'est à partir des années 1990 que Tania Mouraud s'intéresse progressivement à la vidéo, "j’ai pris l’habitude de me promener avec un caméscope et, peu à peu, l’idée s’est imposée."[9] Ce sont les années 2000 qui marquent un nouveau tournant pour l'artiste où la pratique de la vidéo devient une part importante de son œuvre.
Parmi les principales créations :
- « Sightseeing », 2002[4]. Un paysage hivernal, brumeux, filmé à travers une vitre embuée, défile sous nos yeux, escorté d’un air incisif de clarinette klezmer. Pendant sept minutes, la route est une montée d’angoisse, jusqu’à l’arrêt, enfin : en face, un chemin amène fixement notre regard sur un lieu dont on ne s’approchera pas. On lit alors qu’il s’agit du Camp de concentration de Natzwiller-Struthof, qui se trouve en Alsace[17],[18]. "la mémoire nous induit en erreur en nous donnant l’illusion d’un voyage en train, alors que tous les signes d’un voyage en voiture sont présents dans l’image."[9]
- « La Curée », 2003. Des chiens de chasse à courre dévorent dans un ralenti sensuel, de la viande crue. "ce film est une ode à la vie. Il y a comme une violence. Mais en réalité, quand tu regardes, ce sont les peaux, les poils, c’est une chorégraphie de corps [...] Les chiens sont heureux parce que c’est leur récompense. Ils n’ont pas l’air méchants. C’est peut-être aussi la violence de l’érotisme..."[3]
- « Le verger » ,2003. Des images de fleurs aux couleurs vives alternent avec des images de guerre dans un rythme difficilement soutenable et dans un air lourd et métallique, ponctué de cris déchirants[19]. Le Verger est immédiatement exposé au Fonds régional d'art contemporain de Basse-Normandie.
- « La Fabrique », 2006. Installations vidéo, filmée en Inde, qui sera exposée dans plusieurs villes en France, et notamment à la Foire internationale d'art contemporain représentée par la galerie Dominique Fiat, puis en Californie, puis au Canada et enfin à Saint-Pétersburg. "Les visages de 108 ouvriers et ouvrières sur une multitude de moniteurs dans le son assourdissant des métiers à tisser fixent le visiteur en accomplissant un travail mécanique. Les corps disloqués de ces travailleurs sont le moteur d'une étrange fabrique..."[20]
- « Roaming », 2009. Installation vidéo est exposée au musée de la chasse et de la nature à Paris.
Dans un communiqué de presse pour le vernissage en 2008 de Roaming, Borderland on lira que cette création « témoigne de son exceptionnelle maîtrise de l’art vidéo. Prises en noir et blanc, les images de sous-bois obscurs et de miradors sont retraitées de manière à devenir presque abstraites puis accompagnées d’une création acoustique qui accentue leur caractère dramatique. Saisis dans la lumière du crépuscule et magnifiés par le travail de l’artiste, ces morceaux de nature deviennent des métaphores de la condition humaine, de la violence, de la solitude et de la mort »[21].
- « Ad Infinitum », 2009. Immense installation vidéo à la chapelle de l’oratoire de Nantes. Projetées à l'intérieur de la chapelle, des baleines filmées de près apparaissent et disparaissent dans une eau trouble et noire. Pour Tania Mouraud, « L’ensemble évoque la supplique du vivant, le gémissement de la nature nous suppliant d’arrêter le carnage écologique mais aussi notre propre gémissement d’enfant face à l’inconnu, la disparition de la communication, de l’amour ». "Le montage d’Ad Infinitum est une chorégraphie"[9]
- « Once upon a time », 2012. Gigantesque projection sur le building du City Hall de Toronto lors de la Nuit Blanche 2012. « Once Upon a Time montre un univers machinique qui attaque le vivant, et on a l’impression, au moment où la scie rentre dans l’arbre, qu’elle entre dans notre propre corps. »[3]
- « Ad Nauseam », 2014. Immense triptyque vidéo au musée d'art contemporain du Val-de-Marne. |Projetées dans une immense salle, trois vidéos collées entre elles montrent une usine de recyclage de livres. Les vidéos sont dénuées de toute présence humaine, on ne peut y voir qu'une série de machines entassant, puis broyant des milliers de livres. L'installation est accompagnée d'une création sonore de Tania Mouraud faite en collaboration avec l'IRCAM. Un drone aléatoire reprenant le son des machines broyant les livres est généré en permanence[3],[4].
Son et Performances sonores
Tania Mouraud fonde en 2002 le groupe d’expérimentation musicale « Unité de Production » avec Christian Atabekian, Ruben Garci, Pierre Petit, Cyprien Quairiat, Marie-Odile Sambourg, Sylvain Souque et Baptiste Vandeweydeveldt.
Puis elle suit un cursus musical via Internet à l’université de Berklee. Depuis J.I.T à Brest (2008) [22], elle réalise en solo des performances d'improvisation live accompagnant ses vidéos. En 2008 à Béton Salon de Paris, puis la même année, au Centre d'art passerelle de Brest, au musée de la chasse et de la nature de Paris, puis au Lieu unique de Nantes, pendant la Nuit Blanche 2012 à la Gare d'Austerlitz ainsi qu'au Mac/Val lors de son exposition Ad Nauseam en 2014.
Un art social
En 1977, Tania Mouraud organise sa première « City performance » : 54 panneaux d'affichage sont investis dans Paris sur lesquelles le mot « NI » est écrit en 4x3 mètres, dans plusieurs arrondissements parisiens. « Négation absolue, déni d’autant plus troublant qu’il ne dit pas ce qu’il vise. Cette opération semble bien se constituer en résistance aux formes habituelles du discours publicitaire, et de la sphère marchande au service de laquelle il se place » écrit Arnauld Pierre[6].
En 1993, Tania Mouraud réalise « Appartement 374 », une intervention permanente dans un appartement de l’Unité d’habitation Le Corbusier à Firminy. Les signes codifiés des gens du voyage sont sablés sur les vitres de la salle de séjour, transformée en « maison accueillante ». Pendant la durée de l'exposition, des croissants étaient distribués gratuitement au public.
En 1996, elle sème 4000 petites médailles marquées du mot love dans les rues de New York, à la Fondation Cartier et à Metz pour la fête de la mirabelle.
Cette même année, elle expose Le Silence des héros pour l’exposition Territoires occupés à Zweibrücken, en Allemagne. Le long des murs de la pièce, des drapeaux rouges et noirs sont enroulés et posés contre le mur.
Œuvres
Installations permanentes
- WYSIWYG (1989-2007)
- Wall painting, Bibliothèque publique d’information, Centre Georges-Pompidou, Paris, France
- La Curée (2004)
- Installation vidéo, musée de la chasse et de la nature, château de Chambord, France
- HCYS? (2005)
- Impression sur bâche, collection FRAC Lorraine, Metz, France
- DDDDLH (2006-2008)
- Bas-relief, commande du conseil général du Val-de-Marne dans le cadre du 1 % artistique, collège Fernande-Flagon, Valenton, France
Filmographie
- 2014 : "Ad Nauseam", installation vidéo
- 2011 : "Once upon a time", installation vidéo
- 2009 : Ad Infinitum, installation vidéo
- 2008 : Roaming, installation vidéo
- 2007 : Note Book, 28 vidéos présentées sur un Ipod, durée 75 min
- 2006 : La Fabrique, installation vidéo
- 2006 : Façade, installation vidéo
- 2006 : Ballads, DVD vidéo, 8 volumes de 3 vidéos chacun
- 2005 : Prime Time, DVD vidéo, son Tania Mouraud, 7 min 23 s
- 2005 : Or Donc, DVD vidéo, 10 min 48 s
- 2005 : Momentum, performance vidéo, 17 min
- 2004 : La Curée, DVD vidéo, boucle 2 min
- 2004 : Myriam Hamagdalit, DVD vidéo, 17 min
- 2003 : Le Verger, installation DVD vidéo, 5 min 37 s
- 2002 : Sightseeing, DVD vidéo, 1 min 48 s
- 2001 : Invitation, DVD vidéo, 4 min 30 s
Expositions personnelles
(Liste non exhaustive)
- 2022 : [DIRE], galerie Ceysson & Bénétière, Lyon
- 2022 : Shmues, curator Perrine Lacroix, LABF15, espace d’art contemporain, Lyon
- 2021 : MEZZO FORTE, galerie Ceysson & Bénétière, Luxembourg
- 2021 : De Natura, Château de Chaumont-sur-Loire
- 2020 : Dream , Sorbonne Art Gallery, Paris
- 2019 : Tania Mouraud, Ecriture(s), Hangar 107, Rouen
- 2018 : Tania Mouraud, everything must have an ending except my love for you, Tauves, France
- 2017 : Who's the enemy?, curator Elodie Stroecken, catalogue, Lieu D'art La Mouche, Beziers,France
- 2016 : Tania Mouraud: Otnot, Gallery Eastwards Prospectus, Bucharest, Romania (catalogue), CTJLFDM, 91 billboards across Romania, Bucharest, Iasi, Sibiu, Cluj, Bacau, Pitesti
- 2015 : Tania Mouraud, Une Rétrospective, Centre Georges Pompidou Metz
- 2014 : Exhausted laughters, musée d'art moderne de Saint-Etienne
- 2014 : Ad Nauseam, au musée d'art contemporain du Val-de-Marne (MAC/VAL)
- 2012 : deuxlarmessontsuspenduesàmesyeux, Collège des Bernardins,Paris, France
- 2011 : J’entends les trains depuis toujours / I keep hearing the trains for ever, curators Marie-Claire Groeninck and Jean-Michel Rabate, Slought Foundation, Kimmel center and Art Alliance, Philadelphia, USA
- 2010 : Une pièce de plus, Centre de création contemporaine de Tours|Centre de création contemporaine, Tours, France
- 2010 : No Name, Slought Foundation, Philadelphie
- 2009 : Ad Infinitum, musée des beaux-arts, Nantes, France
- 2009 : Borderland, galerie Dominique Fiat, Paris, France
- 2008 : Roaming, musée de la chasse et de la nature, Paris, France
- 2008 : J.I.T, Just in Time, La Passerelle, Brest, France
- 2008 : Back from India, Performance sonore projection vidéo, Bétonsalon, Paris, France
- 2006 : La Fabrique, Grand Central Art Center, Santa Ana, Californie, USA
- 2006 : Façade, Nuit Blanche, musée de la chasse et de la nature, Paris, France
- 2005 : City Performance N°1, FRAC Lorraine, Metz, France
- 2004 : Du pain et des jeux, galerie Arc en Ciel, Liévin, France
- 2004 : Centre d'Art Sallaumines, France
- 2004 : Tania Mouraud, Centre d'Arts Plastiques de Saint-Fons, France
- 2003 : Le Verger, FRAC Basse Normandie, Caen, France
- 2003 : La Box, Bourges, France
- 2001 : Impressions, Centre d’art Le Parvis, Ibos, France
- 2001 : Décorations, Le Triangle, Rennes, France
- 2001 : Tania Mouraud, Patricia Faure Gallery, Los Angeles, Californie
- 2000 : Route # 1,13 Quai Voltaire, Caisse des dépôts et consignations, Paris
- 2000 : A collection, California State University, Long Beach
- 1999 : Made in Palace, Galerie Rabouan Moussion, Paris
- 1999 : Hammer project n°1 : Tania Mouraud, Los Angeles, USA
- 1999 : World Signs IV, the City Museum, Stoke on Trent, England
- 1998 : World Signs III, Maidstone Library Gallery, Kent, Kent
- 1998 : Cityscape, Galerie Fernand Léger, Ivry-sur-Seine, France
- 1998 : World signs II, Riverside Studios, Londres
- 1997 : World Signs I, The Herbert Read Gallery, Canterbury, Kent, GB
- 1997 : Tania Mouraud, musée de Savernes, France
- 1997 : Tania Mouraud, Kent Institute of Art & Design, Canterbury, GB
- 1996 : DIEUCOMPTELESLARMESDESFEMMES, Le Quartier, Quimper, France
- 1996 : Ballades de Tania à la Fête de la Mirabelle, Metz, France
- 1994 : De la Décoration à la Décoration, Gemeente museum (nl), Arnhem, Hollande
- 1992 : Fait main, École des Beaux-arts, Tourcoing, France
- 1992 : Faire art, Galerie Gabrielle Maubrie, Paris
- 1992 : The Power Plant, Toronto, Canada
- 1990 : Centre Loisirs et Rencontres, Clermont-Ferrand, France
- 1990 : Galerie Gabrielle Maubrie, Paris
- 1989 : BLACK POWER ici là, CAC Pablo Neruda, Corbeil-Essonnes, France
- 1989 : Tania Mouraud : 1969-1989, La Criée, Rennes, France
- 1989 : BLACK POWER, galerie De Lege Ruimte, Bruges, France
- 1989 : BLACK POWER, «vu ou lu», Galerie Gabrielle Maubrie, Paris
- 1988 : Words, Riverside Studios, Londres
- 1987 : Garden Shooting, galerie Contretype, Bruxelles
- 1986 : Vitrines, musée de la photographie, Charleroi, Belgique
- 1986 : Garden Shooting, Maison de la Culture, Amiens, France
- 1983 : Ah! Paris, galerie Samia Saouma, Paris
- 1983 : Vitrines, Maison du Temps Libre, Marne-la-Vallée, France
- 1983 : Schaufenster in Paris, galerie Wilde, Cologne
- 1980 : City Performance n°2, 60 affiches, Lyon, France
- 1978 : Kairos (performance), Franklin Furnace, New York
- 1978 : City Performance n°1, 54 affiches, Paris
- 1977 : Art Space n°5, special project, PSI, New York
- 1976 : Art Space n°1, 2, 3, Chez Malabar et Cunégonde, Nice, France
- 1975 : Galerie 33 (rue Campagne Première), Paris
- 1974 : Galerie Yellow Now, Liège (catalogue)
- 1973 : ARC 2, (musique Jon Gibson), musée d'art moderne de la ville de Paris
- 1972 : Galerie Françoise Lambert, Milan
- 1971 : Galerie Rive Droite, Paris
- 1971 : Galerie LP 200, Caliche Ligure
- 1971 : Galerie Ben doute de tout, Nice
- 1971 : Galerie Apollinaire, Milan
- 1971 : Galerie LP 220 (avec les musiciens : La Monte Young, Terry Riley, Pandit Pran Nath), Turin
- 1968 : Galerie Rive Droite (musique Éliane Radigue), Paris
- 1966 : Galerie Mensch, Hambourg
- 1966 : Galerie Zunini, Paris
Expositions collectives
(Liste non exhaustive)
- 2022, Parisiennes Citoyennes ! 1789-2000, Musée Carnavalet
- 2022, Double je, curator Alexandre Quoi, MAMC, Saint-Etienne
- 2022, Pionnières, curator Patrice Joly, Zoo galerie, Nantes
- 2022, Parisiennes Citoyennes ! 1789-2000, Musée Carnavalet, Paris
- 2022, Contente d'être aujourd’hui, curator Céline Melon Sibille, Galerie Claire Gastaud
- 2021, Elles font l’abstraction, Guggenheim Bilbao
- 2021, L’Énigme autodidacte, curator Charlotte Laubard, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Saint Etienne
- 2021, Penser les possibles, curator Mehryl Levisse, Espace Balak, espace temporaire d'art contemporain, Charleville-Mézières
- 2021, La chose mentale, des NFT à l’oeuvre, Festival accès)s( #21, Pau
- 2021, Elles font l’abstraction, Centre Pompidou - Galerie 1
- 2021, The Domino Effect, GAEP Gallery, Bucharest, Romania
- 2021, ART = ACTION, une collaboration Act Up-Paris et MAC VAL
- 2021, Le Goût du paysage, curator Laure Forlay, collection du FRAC Auvergne, halle aux bleds, Saint-Flour
- 2020, Le vent se lève, MAC VAL, Vitry
- 2020, « De franchir de la même façon les lignes d’horizons et des petites allées », Galerie Claire Gastaud, Clermont-Ferrand, France
- 2020, Bye Bye Future! L'art de voyager dans le temps, Musée royal de Mariemont, Morlanwelz, Belgium
- 2020, Paysages du XXIème siècle, Maison De l'Architecture de Poitiers
- 2019, Festival Rose Beton - Tania Mouraud, Les Abattoirs, Toulouse
- 2019, There are treasures everywhere - Jardin Rouge, fondation Montresso, Marrakech, Maroc
- 2019, Defragmentation, ARBA, Bruxelles
- 2019, Symbiotes, Eternal Gallery, Tours, France
- 2019, «Once upon a Time», EAC Les Roches, Chambon-sur-Lignon, France
- 2019, Jeux de Mots, Jeux d’écritures, MAMAC, Nice
- 2019, PULSIONS, The 836 M Gallery February 11th- March 5th, 2019 - performance SfMa
- 2019, Lignes de vies – Une exposition de légendes, MAC-VAL, Vitry, France, curator Frank Lamy (catalogue)
- 2019, Gigantisme May 2019 - January 2021 Dunkerque, France.
- 2019, Carnegie International, 57th edition, October 2018 - Carnegie Museum of Art, Pittsburg, Pennsylvania, US. curator: Ben Ogrodnik
- 2019, festival VIDEOFORMES ! 2019 Chapelle de l'Hôpital Général, Clermont Ferrand curator : Gabriel V. Soucheyre
- 2018, EXPERIENCE POMMERY #14 // L'ESPRIT SOUTERRAIN, Domaine Pommery, Reims, curator : Hugo Vitrani
- 2018, Considérer le monde II, Musée d'art moderne et contemporain (MAM), Saint-Etienne Métropole, France
- 2018, La science du désordre, curator Pierre Bendine-Boucar, A+Architecture, Montpellier, France
- 2018, Everything we do is music, curator Shanay Jhaveri, Pasquart kunsthaus Centre d'art Biel/ Bienne, Switzerland
- 2018, Art Conceptuel, curator Alexandre Quoi, Musée d'art moderne et contemporain de Saint- Etienne, France
- 2018, Biennale Internationale Saint-Paul de Vence, France
- 2018, LA LUMIÈRE NOIRE. Les traditions hermétiques dans l’art depuis les années 1950,
curator Enrique Juncosa, CCCB, Centre de Cultura contemporanea de Barcelona, Spain
- 2018, Considérer le monde : Narrative Art Collections du Musée, curator Alexandre Quoi,
Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Etienne, France
- 2018, Images en lutte (1968-1974) La culture visuelle de l'extreme gauche, curator Eric de Chassey, Palais des Beaux-Arts, Paris, France
- 2017, Contemporary Istanbul, Gallery Eastwards Prospectus, Istanbul, Turkey
- 2017, Paysages du XXIe siècle, que fabriquons-nous aujourd’hui ?, exposition itinérante CAUE
de Haute-Savoie, Annecy, Angoulême, Nantes, Angers, Lyon, Genève, France & Switzerland
- 2016, Observations sonores, Musée Gassendi, Dignes-les-eaux, France
- 2016, J'ai des doutes. Est-ce que vous en avez?, curator Julie Crenn, Galerie Claire Gastaud, Clermont Ferrand, France
- 2016, La peinture à l'huile c'est bien difficile, Frac Languedoc Roussillon, Montpellier, France
- 2015, Experience N°9 Exhibition, Musée des Beaux Arts, Tours, France
- 2015, Il était une fois, Palais de l'Archevêché, Arles, France
- 2015, Un genre humain, curator Claude Leveque, Palais Jacques Coeur, Bourges, France
- 2015, Tous les chemins mènent à Schengen, FRAC Lorraine, Metz, France
- 2015, Terrain sensible, College Frederic et Irene Joliot-Curie, Vivonne, France
- 2015, Game over, Galerie EC'ARTS, ESPE de Bretagne, Rennes, France
- 2014, Carte blanche à l'artothèque, Musée des Beaux-Arts, Angers, France
- 2014, Machines désirantes, Frac BN, Caen, France
- 2014, Populaire, populaire #3, mois de la photo OFF 2014, 6B, St Denis, France
- 2014, ALEA #17 & #18, WIP Villette, France
- 2013, Histoires de géographie, curator Catherine Elkar, Frac Bretagne, Rennes, France (catalogue)
- 2013, Une spiritualité au féminin, curator Madeleine Blondel, Dominique Dendraël, Musée d’Art Sacré, Dijon, France (catalogue)
- 2013, Dinard, l’Amour Atomique, curator Ashok Adiceam, Festival de Dinard, France (catalogue)
- 2013, A distance, Plateforme d’art de Muret, France
- 2013, Le jour d’avant, Domaine départemental de la Garenne Lemot, Gétigné--Clysson, France
- 2013, EMOI & MOI, MAC VAL, Villejuif, France
- 2013, Honey, I Rearranged The Collection, Philippe Cohen Collection, Passage de Retz, Paris, France
- 2013, Honey, I Rearranged The Collection, Philippe Cohen Collection, Musée d'Art de Petah Tikva, Tel Aviv, Israel (Catalogue)
- 2013, Paysage cosa mentale, Le nouveau pittoresque, curator Christine Ollier, Maison Nationale des
- 2013, Artistes, Nogent sur Marne, France (catalogue)
- 2012, Once Upon a Time, video installation, Nuit Blanche, Toronto City Hall, Toronto, Canada
- 2012, Vivement demain, nouvel accrochage de la collection du Mac/Val, Vitry-sur-Seine, France
- 2012, La Plasticité du Langage, Fondation Hyppocrène, Paris, France
- 2012, Songeries végétales, Domaine de Chaumont-sur-Loire, France
- 2012, Contre Nature/Les fictions d’un promeneur d’aujourd’hui, Musée départemental, Beauvais, France
- 2012, Sunset, Frac Poitou Charente, Site de Linazay, France
- 2012, Parlessoirsbleusd’été,j’iraidanslessentiers,(A.Rimbaud,sensation,1870),Biennale d’art contemporain Chemin-d’Art, Halle aux Bleds, St Flour, France
- 2012, Bêtes Off, La Conciergerie, Paris, France
- 2012, Carte Blanche à Tania Mouraud, Théâtre, Auxerre, France
- 2012, Tracts!, Sans niveau ni mètre, Cabinet du livre d’artiste, Rennes, France
- 2012, Portraits/paysages : la transformation des genres, Musée des Beaux-Arts de Nantes, France (catalogue)
- 2012, Quelle histoire ?!, Château de Foix, Musée départemental de l’Ariège, France
- 2012, FormesBrèves,autre,25, curator Anja Isabel Schneider, FRAC,Lorraine, France in partnership with, MARCO, Vigo,Spain
- 2011, Elle était une fois, Eglise des Cordeliers, Gourdon, France
- 2011, Architectures/Dessins/Utopies, curator Ruxandra Balaci, MNAC, Bucarest, Roumania
- 2011, Plug-in II, Musée de l’Ile d’Oléron, St Pierre d’Oléron, France
- 2011, Black Should Bleed To Edge, Ecole Régionale des Beaux Arts, Rouen, France
- 2011, Si loin, si proche, FRAC Bretagne, L’imagerie, Lannion, France
- 2011, Cherries On The Boat, Fondation Hippocrène, Paris, France (catalogue)
- 2011, Jamais le même fleuve, collections privées de photographies (catalogue)
- 2011, Le moins du monde, Frac Lorraine, Metz, France
- 2011, Décor et Installations, curator Françoise Ducros, Galerie des Gobelins, Paris, Galerie nationale de la tapisserie, Beauvais, France
- 2010, Paysage 2 : imminence de la catastrophe, Espace Croix-Baragnon, Toulouse, France
- 2010, A l’ombre d’un doute,FRAC Lorraine, Metz, France
- 2010, La mémoire et l’oubli, eroa du Collège Maxime Deyts, Bailleul, France
- 2010, En mai, fais ce qu’il te plaît! Curator Juliette Laffon, Musée Bourdelle, Paris, France (catalogue)
- 2010, Les promesses du passé, 1950-2010 : Une histoire discontinue de l’art dans l’ex- Europe de l’Est, section : sources/documents/archives -Galerie 33, Centre Georges Pompidou, Paris, France
- 2010, Border Zones: Newart acrosscultures, Museum of Anthropology at the University of British Columbia, Vancouver, Canada
- 2010, elles@centrepompidou, Centre Georges Pompidou, Paris, France (catalogue)
- 2010, Paysage-Video, Dialogue avec les collections#2, Musée d’Art de Toulon, France (catalogue)
- 2010, Vénus changée en document, Les Abattoirs, Toulouse, France
First Ural Industrial Biennale of contemporary arts 2010, Special projects, National Center for Contemporary Arts, Ekaterinburg, Russia (catalogue)
- 2009 : elles@pompidou, Centre Pompidou, Paris, France
- 2009 : Universal Code, The Power Plant, Toronto, Canada
- 2009 : Blind Chance & Possible Futures, Nieuwe Vide, Haarlem, Pays-Bas
- 2008 : Regarde de tous tes yeux, regarde - L’art contemporain de Georges Perec, musée des beaux-arts de Nantes ; musée des beaux-arts de Dole, France
- 2008 : Stratégies de l’histoire / Stratégies de l’art - 5e Biennale de Goumri, Académie des Beaux-Arts de Goumri, Arménie Opera, an artists film selection, Tate Britain, Londres
- 2008 : Œuvres en papier, Galerie Dominique Fiat, Paris, France
- 2007 : !REVOLUTION?, Kunsthalle, Budapest, Hongrie
- 2007 : Sublime Objects / Sublimes Objets / Obiecte Sublime, Mnac Bucarest, Roumanie
- 2007 : Periskop, La Passerelle, Brest, France
- 2007 : Le Quartier fête ses 16 ans, Le Quartier, Quimper, France
- 2006 : Videogramma, Centre d'arts plastiques, Saint-Fons, France
- 2006 : Chassez le naturel..., Domaine national de Chambord, France
- 2006 : Verdunklung/Darkening, Kunsthaus, Stuttgart, Allemagne, commissaire : Arianne Müller
- 2006 : La Force de l'Art, Grand Palais, Paris, commissaire : Anne Tronche
- 2006 : Collection permanente, musée d'art moderne de la ville de Paris, France
- 2005 : Marie-Madeleine contemporaine, hospice Comtesse, Lille, France
- 2005 : La photographie à l’épreuve, musée d’art moderne, Saint-Étienne, France
- 2005 : Best of, galerie Dominique Fiat, Paris
- 2005 : Doute et Hypothèse, Galerie Aponia, Villiers-sur-Marne, France
- 2005 : Chassez le naturel..., château de Chambord, France
- 2005 : Ah Dieu que la guerre est jolie !, FRAC Basse-Normandie, France
- 2005 : Le chant rythmique de l’esprit, Espace de l’Art concret, Mouans Sartoux, France, commissariat Dominique Boudou
- 2005 : Wonder women, FRAC Lorraine, Metz, France
- 2005 : Le corps dans l’art contemporain, théâtre de Privas, France
- 2005 : Climats, cyclothymie des paysages, Vassivière, France
- 2005 : Forever, Passage de Retz, Paris
- 2005 : Dessins d’artistes, l’école IUFM, Paris
- 2005 : Collection Vicky Remy, musée de Saint-Étienne, France
- 2004 : Art et grandeur nature, La Courneuve, France
- 2004 : Marie Madeleine, musée des arts de Toulon, France
- 2002 : Les années 70, musée d’art contemporain, CAPC, Bordeaux, France
- 2002 : Sans commune mesure, musée d’art moderne Lille Métropole, Villeneuve-d’Ascq, France
- 2000 : Voyager à la verticale, Maison de la Villette-Parc de la Villette, Paris
- 1998 : Tania Mouraud et Niek Van de Steeg, Théâtre des Arts, Cergy-Pontoise, France
- 1997 : Amours, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris
- 1997 : Sous le manteau, Galerie Thaddeus Ropac, Paris
- 1997 : XIe bourse d’art monumental, Credac, Ivry, France
- 1997 : Vraiment: féminisme et art, Le Magasin, Centre d’art de Grenoble, France
- 1997 : Petite fiction les pieds dans l’eau, FRAC Languedoc-Roussillon, France
- 1997 :Collection Camille: signatures de femmes, Épinal, France
- 1997 :From One Point To Another, Atelier Soardi, Nice, France
- 1997 :Flash, Power Plant, Toronto, Canada
- 1997 :Cinq ans d’acquisition, FRAC Alsace, Strasbourg, France
- 1997 :Histoires de blanc et noir, Prague, République tchèque
- 1997 :Teen Tonic, FRAC Poitou Charentes, Angoulême, France
- 1997 :Crossroad, City Museum, Art Gallery, Stoke on Trent, Angleterre
- 1996 : Wall Drawings ‘96: B. McGee, T. Mouraud, M. Dean Veca, The Drawing Center, New York
- 1996 : Histoires de Blanc et Noir, curator Serge Lemoine, musée de Grenoble, France
- 1995 : Femininmasculin, MNAM, Centre Georges-Pompidou, Paris, New York
- 1995 : Passions Privées, ARC2, musée d’art moderne de la ville de Paris
- 1995 : Collections/collection, musée de Saint-Étienne, France
- 1995 : Feux terrestres, Centre d’art contemporain, Sète, France
- 1994 : L’appartement de Ghislain-Mollet Vieville, MAMCO, Genève, Suisse
- 1994 : Logo non Logo,Thread Waxing Space, New York
- 1993 : La Donation Vicky Remy I et II, musée d’art moderne, Saint-Étienne, France
- 1990 : Art & Pub, MNAM, Centre Georges-Pompidou, Paris
- 1983 : Arc 2 : 1973/1983, musée d’art moderne de la ville de Paris
- 1976 : Identités : Identifications, CAPC Bordeaux, France
- 1976 : Ambiente/Arte, Biennale de Venise, Italie
- 1972 : 60/72, 12 ans d’art contemporain en France, Grand Palais, Paris
- 1970 : Art Concept from Europe, Galerie Bonino, New York, USA
Monographie
- 2022, [Dire], catalogue, LABF15, Lyon, Perrine Lacroix, Cécile Renoult
- 2022, De Natura, catalogue, Domaine de Chaumont-sur-Loire
- 2019, Tania Mouraud, Ecriture(s), catalogue, Le Hangar 107, Rouen, Nicolas Couturieux, Mathias Barthel, Cécile Renoult
- 2018, Tania Mouraud, Everything must have an ending except my love for you, catalogue, Tauves, Perrine Le Querrec
- 2017, Tania Mouraud, Who’s the enemy ?, catalogue, La Mouche, lieu d’art contemporain, Béziers, France.
- 2016, OTNOT, Eastwards Prospectus, text by Elodie Stroecken, Bucharest, Romania
- 2016, Tania Mouraud, Eastwards Prospectus
- 2016, Everyday ogres at Visual Arts Centre - The University of Texas at Austin, USA
- 2015, Tania Mouraud, Une Rétrospective, catalogue, Centre Pompidou Metz
- 2014, Tania Mouraud, Ad Nauseam, catalogue, Mac/Val
- 2014, Tania Mouraud, exhausted laughters, catalogue, musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne
- 2004, Tania Mouraud, textes de Arnauld Pierre, Éditions Flammarion
Décorations
- Chevalier de l'ordre national du Mérite (2009) Par décret du [23].
- Chevalier de la Légion d'honneur (2013) Par décret du pour récompenser ses 50 ans de services[24].
- Officier de l'ordre des Arts et des Lettres Par l’arrêté du [25].
- Officier de l'ordre national du mérite[26]
Références
- (fr + en) ESBAMA, At the Core, Tania Mouraud, Montpellier, École Supérieure des Beaux-arts de Montpellier Agglomération, , 93 p. (ISBN 978-2-916336-11-4 et 2-916336-11-7), Entretien avec Tania Mouraud par Catherine Grenier, page 64.
- Musée des beaux-arts de Nantes, Ad infinitum : Tania Mouraud, Nantes, Musée des beaux-arts de Nantes et Fage éditions, , 64 p. (ISBN 978-2-84975-169-5).
- (fr + en) Tania Mouraud, Ad Nauseam : [exposition, Vitry-sur-Seine, MAC-VAL, 20 septembre 2014-25 janvier 2015], Paris, Mac/Val, , 255 p. (ISBN 978-2-916324-81-4)
- « Expositions: Tania Mouraud. Une rétrospective », sur Centre Pompidou-Metz.
- « Tania Mouraud, une rétrospective », sur http://www.centrepompidou-metz.fr
- Arnauld Pierre, Tania Mouraud, Paris, Flammarion, , 191 p. (ISBN 2-08-011082-9)
- Galerie Rive Droite, One More Night, Paris, Galerie Rive Droite,
- Tania Mouraud, textes de Arnauld Pierre, Éditions Flammarion, 2004
- (fr + en) TANIA MOURAUD, "EXHAUSTED LAUGHTERS", Nicolas Chaudin, (ISBN 978-2-35039-177-9)
- Tania Mouraud : Fait main : exposition, Tourcoing, Ecole régionale d'expression plastique, , 37 p., p.28
- Mathias Barthel, Nicolas Couturieux, Cécile Renoult, TANIA MOURAUD. ÉCRITURE(S), Rouen, HANGAR 107, , 72 p. (ISBN 9782956740308), totalité de l'ouvrage
- Julie David, Charles Penwarden, Bernard Wooding et Musée d'art contemporain du Val-de-Marne, Tania Mouraud : ad nauseam, MAC VAL, (ISBN 978-2-916324-81-4 et 2-916324-81-X, OCLC 894860819, lire en ligne)
- Hélène Guenin, Élodie Stroecken et Centre Pompidou-Metz, Tania Mouraud, (ISBN 978-2-35983-034-7 et 2-35983-034-1, OCLC 908682401, lire en ligne)
- « Tania Mouraud : Exposition [DIRE] », sur CCC Média (consulté le )
- « Jacques Deret présente une œuvre de Tania Mouraud », sur Le Quotidien de l'Art (consulté le )
- Tania Mouraud, Flashs', (ISBN 978-2-86234-462-1 et 2-86234-462-1, OCLC 1098193383, lire en ligne)
- Julie Crenn, « Tania Mouraud, Exhausted Laughters, Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Etienne », sur ArtPress
- (fr + en) Anna Tronche, « Tania Mouraud, méditation perpétuelle », artpress, no 420,
- « Tania MOURAUD Exhausted laughters », sur http://www.mam-st-etienne.com,
- commissaire : Ulrike Kremeier, « dossier de presse exposition 11 septembre – 13 décembre 2008 », sur http://www.cac-passerelle.com,
- « Tania Mouraud Roaming, Borderland », sur http://www.paris-art.com/, (consulté le )
- « J.I.T just in time », sur http://www.cac-passerelle.com
- Décret du 15 mai 2009 portant promotion et nomination
- Décret du 12 juillet 2013 portant promotion et nomination
- Arrêté du 31 août 2018 portant nomination et promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres
- « Décret du 31 décembre 2020 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite »
Liens externes
- Site officiel
- Tania Mouraud. A Retrospective au Centre Pompidou-Metz
- Ad-Nauseam au Mac/Val
- Musée d'art moderne de Saint-Étienne
- Slought Foundation
- LeMonde
- ArtDaily
- Frac Bretagne
- Fonds documentaire Frac Bretagne sur l'artiste
- (en) Interview de Tania Mouraud
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