Trainspotting (film)

Trainspotting, ou Ferrovipathes au Québec et au Nouveau-Brunswick, est un film britannique écrit par John Hodge et réalisé par Danny Boyle, sorti en 1996. Adapté du roman éponyme publié par Irvine Welsh en 1993, le film raconte les aventures de Mark Renton, dit Rent Boy, interprété par Ewan McGregor, un toxicomane d'Édimbourg qui tente de se sevrer de l'héroïne et de se séparer de sa bande d'amis qu'il considère comme néfastes. Au-delà de l'addiction à la drogue, le film explore les conditions de vie déplorables de la jeunesse écossaise, dans une Écosse en pleine dépression économique dans les années 1990.

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Trainspotting
Logo du film.
Titre québécois Ferrovipathes
Réalisation Danny Boyle
Scénario John Hodge, d'après le roman Trainspotting de Irvine Welsh.
Acteurs principaux
Sociétés de production Channel Four Films
Figment Films
The Noel Gay Motion Picture Company
PolyGram Filmed Entertainment
Pays de production Royaume-Uni
Genre Comédie noire
Durée 93 minutes
Sortie 1996

Série Trainspotting

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Trainspotting connaît un large succès critique et commercial. Au Royaume-Uni, pays où le film enregistre le plus d'entrées, il récolte 12 000 000 £, tandis qu'il rapporte 16 491 080 $ aux États-Unis. Il a été présenté hors compétition à la quarante-neuvième édition du festival de Cannes, où il a fait scandale[1].

Qualifié de « symbole d'une génération »[2], Trainspotting est devenu, au fil des ans, un film culte, révélant Ewan McGregor et Danny Boyle au grand public. Irvine Welsh connaît aussi une renommée mondiale après la sortie du film, de même que Kelly Macdonald, Ewen Bremner ou encore Kevin McKidd.

Une suite, T2 Trainspotting, sort en 2017. Elle n'est pas tirée du roman Porno, suite du roman originel publiée en 2002. Comme son prédécesseur, le film obtient des critiques généralement positives, mais un succès commercial moindre.

Résumé

Trainspotting décrit la vie d'un groupe de jeunes marginaux, accros à l'héroïne, dans la ville d'Édimbourg, dans les années 1980. Mark Renton, dit « Rent Boy » (Ewan McGregor), au chômage, comme la plupart des jeunes Écossais de sa génération, pose un regard lucide sur sa condition de drogué. Renton traîne dans la banlieue d’Édimbourg avec ses copains : Simon David Williamson, dit « Sick Boy » (Jonny Lee Miller), un fanatique de James Bond perfide et tombeur de filles, Daniel Murphy, dit « Spud » (Ewen Bremner), un crétin sympathique et docile, Francis « Franco » Begbie (Robert Carlyle), un dangereux désaxé, accro à l'alcool et au tabac, cherchant toujours la bagarre, et Tommy (Kevin McKidd), un gars honnête, adepte de la musculation et fidèle à sa copine Lizzy (Pauline Lynch). Pour pouvoir se payer l’héroïne qu'ils prennent, sauf Begbie (qui s’en tient à l'alcool) et Tommy (qui ne touche à rien et mène une vie saine), dans l’antre du dealer Swanney, surnommé la « Mère supérieure » (Peter Mullan), ils commettent de petits délits.

Renton tente de décrocher et prend des suppositoires à l'opium, fournis par Mikey Forrester (interprété par Irvine Welsh, l'auteur du roman original), un autre trafiquant, pour commencer son sevrage en douceur. Lors d'une soirée en boîte de nuit, il constate que le fait d'arrêter l'héroïne marque le retour du désir sexuel. Il courtise Diane (Kelly Macdonald), une jeune lycéenne délurée, et s'aperçoit, après avoir passé la nuit avec elle, qu'elle n'a que quinze ans. Horrifié, Renton veut mettre un terme à leur relation, mais Diane menace de le dénoncer s'il refuse de la revoir.

Renton, Spud et Sick Boy décident de se remettre à l'héroïne, après une virée au grand air proposée par Tommy. Peu après, Lizzy quitte Tommy, en partie, à cause de Renton, car celui-ci s'est emparé d'une cassette vidéo personnelle de leurs ébats, en la remplaçant par une vidéo d'un match de football. Tommy, très déprimé, décide d'essayer à son tour l'héroïne. Même la mort du bébé d'Allison (Susan Vidler), une de leurs amies droguées, pour cause de négligence, alors qu'ils étaient tous dans un état de stupeur provoqué par la drogue, ne les convainc pas d'arrêter. Renton et Spud sont ensuite arrêtés à la suite d'un petit larcin. Spud est condamné à six mois de prison, mais Renton y échappe en entamant une cure de désintoxication. Il rechute néanmoins assez vite et est près de mourir d'une overdose. Les parents de Renton décident alors d'employer la « manière forte », en l'enfermant dans sa chambre jusqu'à ce qu'il ne soit plus accro. Renton passe par des moments très difficiles, mais finit par se guérir de son addiction.

Renton est désormais clean mais s'ennuie et ne trouve plus de sens à sa vie. Il rend visite à Tommy, qui est quant à lui devenu héroïnomane à plein temps et est séropositif. Sur le conseil de Diane, Rent Boy part pour Londres et commence à travailler dans une agence immobilière. Il apprécie sa nouvelle vie et met de l'argent de côté alors que Diane lui écrit pour lui donner des nouvelles de ses amis. Mais Begbie, recherché pour un vol à main armée, se sert de l'appartement de Mark pour se cacher. Sick Boy, venu à Londres pour des affaires louches, prend lui aussi ses quartiers chez Renton, qui est vite exaspéré d'être ainsi envahi. Tous les trois rentrent à Édimbourg pour assister aux funérailles de Tommy, mort d'une toxoplasmose.

Sick Boy, informé d'une énorme opportunité, propose à Renton, Spud et Begbie de l'aider à acheter kg d'héroïne pour 4 000 £ afin de réaliser un gros bénéfice en la revendant. Mark est réticent mais se laisse convaincre. Tous les quatre vont à Londres et vendent l'héroïne à un trafiquant pour 16 000 £. Alors qu'ils fêtent l’événement, Renton propose à Spud de s'enfuir avec l'argent mais Spud est trop effrayé par Begbie. Pendant la nuit, Renton prend le sac qui contient l'argent et s'en va. Spud le voit partir mais ne prévient pas les autres. Renton laisse 4 000 £ dans un coffre, pour Spud, et décide de prendre un nouveau départ.

Fiche technique

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

  • Titre original et français : Trainspotting
  • Titre québécois : Ferrovipathes
  • Réalisation : Danny Boyle
  • Scénario : John Hodge, d'après le roman Trainspotting de Irvine Welsh.
  • Musique[3] : Brian Eno, Karl Hyde et Rick Smith
  • Direction artistique : Tracey Gallacher
  • Décors : Kave Quinn
  • Costumes : Rachael Fleming
  • Photographie : Brian Tufano
  • Son : Ray Merrin, Brian Saunders, Mark Taylor
  • Montage : Masahiro Hirakubo
  • Production : Andrew Macdonald
Coproduction[3] : Christopher Figg

Distribution

Sources et légende : version française (VF) sur Voxofilm [11]

Production

Le producteur Andrew Macdonald lit le roman Trainspotting d'Irvine Welsh dans un avion en et sent son potentiel pour en faire un film[12]. Il met sur le projet le réalisateur Danny Boyle et le scénariste John Hodge, tous deux très enthousiastes, en [13]. Boyle persuade Welsh de lui céder une option sur les droits d'adaptation du livre en lui envoyant une lettre où il écrit notamment que « Macdonald et Hodge sont les deux Écossais les plus importants depuis Kenny Dalglish et Alex Ferguson[12]. » Welsh approuve également le fait que les trois hommes ne veuillent pas faire du film un drame social et comptent le rendre accessible à un public assez large. En , Hodge, Boyle et Macdonald passent beaucoup de temps à discuter quels chapitres du livre seront transposés à l'écran, et Hodge termine le premier script en décembre[12]. Macdonald trouve un financement en concluant un accord avec Channel 4, chaîne de télévision britannique connue pour financer des films indépendants[13].

La phase de préproduction débute en , et Ewan McGregor, qui a déjà travaillé avec Boyle, Hodge et Macdonald sur Petits meurtres entre amis, leur film précédent, est tout de suite engagé pour tenir le rôle principal[12]. Pour préparer son rôle, McGregor lit des ouvrages sur l'addiction au crack et à l'héroïne et rencontre des anciens drogués, apprenant comment préparer une dose d'héroïne avec une cuillère[14]. Il se rase également le crâne et perd treize kilos. Boyle dit qu'il voulait pour le personnage de Renton un acteur qui fasse penser à « Michael Caine dans Alfie le dragueur et Malcolm McDowell dans Orange mécanique », quelqu'un de très ambigu, repoussant et charmeur à la fois[13]. Ewen Bremner, qui a joué le rôle de Renton dans l'adaptation du livre au théâtre, accepte d'interpréter le personnage de Spud, alors que Jonny Lee Miller est choisi par Boyle pour le rôle de Sick Boy en prenant l'accent de Sean Connery lors du casting. Pour le personnage de Begbie, Boyle pense tout d'abord à Christopher Eccleston avant de changer d'avis et d'engager Robert Carlyle, et le réalisateur cherche une actrice sans aucune expérience pour interpréter Diane et passe des annonces dans des boîtes de nuit et des magasins avant de réussir à trouver Kelly Macdonald (qui n'a aucun lien de parenté avec le producteur)[12]. Irvine Welsh joue un petit rôle dans le film, il s'agit du trafiquant Mikey Forrester qui donne à Renton des suppositoires à l'opium au début du film quand ce dernier essaye de « décrocher ».

Le tournage du film a lieu pendant l'été 1995 et dure sept semaines. Bien que l'action du film se situe à Édimbourg, il est tourné en grande partie à Glasgow, dans une ancienne fabrique de cigarettes pour la plupart des intérieurs, ainsi qu'à Édimbourg pour la première scène et à Londres pour les dernières[15]. En raison du budget limité et des contraintes au niveau de la durée du tournage, la plupart des scènes sont faites avec une seule prise. Lors de la scène des toilettes, où Renton perd ses suppositoires d'opium, les excréments sont en fait de la sauce au chocolat. Pour la scène où il s'enfonce dans le sol après une overdose, l'équipe de décoration construit une plate-forme au-dessus d'une trappe pour l'y faire descendre[13]. Pour l'esthétique du film, Boyle est influencé par les couleurs des peintures de Francis Bacon, qui représentent « une sorte de territoire intermédiaire entre la réalité et le fantasme[12]. »

Bande originale

La bande originale du film eut un grand succès et est classée à la 17e place des meilleures bandes son du cinéma établi en 2011 par le magazine Entertainment Weekly[16]. Elle utilise des chansons d'artistes reconnus (Lou Reed, Iggy Pop, New Order), ainsi que des morceaux de la vague britpop (Pulp, Blur, Elastica, etc). Trainspotting compte à son actif deux bandes originales, éditées chez EMI, contenant soit des musiques tirées du film (première bande originale, orange), soit un mélange entre des musiques du film et des musiques ayant inspiré le réalisateur (deuxième bande originale, verte).

Accueil

Accueil critique

Il a reçu un accueil critique très positif, recueillant 89 % de critiques favorables, avec un score moyen de 8,210 et sur la base de 56 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes[18]. Sur le site Metacritic, il obtient un score de 83100, sur la base de 27 critiques collectées[19]. Derek Malcolm, du Guardian, évoque « une extraordinaire réussite et une découverte sensationnelle[20] ». Pour Neil Jeffries, du magazine Empire, c'est un film « dont le Royaume-Uni peut être fier », porté par « une distribution fantastique et une bande originale étourdissante[21] ». Desson Howe, Washington Post, met en avant « la verve irrévérencieuse du film, accentuée par un montage dynamique et le langage très coloré des protagonistes » et estime qu'il « s'empare des sujets les plus scabreux et les rend drôles[22] ». L'Express évoque un film sulfureux, contenant « une bonne dose d'humour à froid », salue la remarquable interprétation des acteurs principaux et le compare à un « Orange mécanique des années 90[23] ». Michel Pascal, du Point, délivre une critique négative, estimant que « le roman-culte d'Irvine Welsh méritait mieux que ce traitement mode et faussement provocateur dans sa délirante surenchère d'images-chocs » malgré une « grandiose bande originale[24] ».

Time Magazine l'a classé troisième meilleur film de 1996[25]. En 1999, le British Film Institute le classe 10e meilleur film britannique de tous les temps[26]. En 2004, il a été élu lors d'un sondage public meilleur film écossais de tous les temps[27]. En 2008, le magazine Empire le classe à la 316e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps[28]. En 2017, le magazine Time Out le classe à la 10e place dans sa liste des 100 meilleurs films britanniques de tous les temps[29]. Il figure dans le Top 250 du classement des films de l'Internet Movie Database, basé sur les votes du public, avec une note moyenne de 8,210[30].

Box-office

Trainspotting sort dans les salles de cinéma britanniques le et rapporte 12,3 millions de £ durant toute son exploitation sur grand écran[31], soit l'équivalent de 3,5 millions d'entrées[32].

Au moment de sa sortie en Amérique du Nord, le 19 juillet 1996, le film avait rapporté plus de 18 millions de dollars en Grande-Bretagne. Il a d'abord ouvert dans huit cinémas aux États-Unis et au Canada et a rapporté 33 000 $ par écran lors de son premier week-end. Le film s'est étendu à 357 écrans et a fait 16,4 millions de dollars en Amérique du Nord[33], devenant l'un des films les plus rentables de 1996 en sortie limitée[34]. Trainspotting était le film britannique le plus rentable de 1996, et à l'époque c'était le quatrième film britannique le plus rentable de l'histoire[35]. Outre les 12 millions de livres sterling au Royaume-Uni, le long-métrage engrange 72 millions de dollars au niveau international.[36]. Sur la base d'un rapport coût/rendement, Trainspotting était le film le plus rentable de l'année[37].

En France, Trainspotting sort en salles le et totalise 1 051 859 entrées en fin d'exploitation[38].

Distinctions

Entre 1996 et 2017, Trainspotting a été sélectionné 59 fois dans diverses catégories et a remporté 23 récompenses[39],[40].

Récompenses

Année Festivals de cinéma Prix Lauréat(es)
1996 Awards Circuit Community Awards ACCA du meilleur scénario adapté John Hodge
Boston Society of Film Critics Awards BSFC Award du meilleur film -
British Academy Film and Television Arts Awards[39],[40] BAFTA Film Award du meilleur scénario adapté John Hodge
National Board of Review NBR Award des dix meilleurs films -
Seattle International Film Festival Golden Space Needle Award du meilleur film -
Golden Space Needle Award du meilleur réalisateur Danny Boyle
Warsaw International Film Festival Prix du public Danny Boyle
1997 BAFTA Awards, Scotland BAFTA Scotland Award du meilleur film Andrew Macdonald, Danny Boyle et John Hodge
BAFTA Scotland Award du meilleur acteur dans un film Ewan McGregor
Bodil Awards Bodil du meilleur film non américain Danny Boyle
Brit Awards Brit de la meilleure bande son -
Czech Lions Czech Lion du meilleur film en langue étrangère Danny Boyle
Empire Awards Empire Award du meilleur film britannique -
Empire Award du meilleur début Ewen Bremner
Empire Award du meilleur réalisateur britannique Danny Boyle
Empire Award du meilleur acteur britannique Ewan McGregor
Evening Standard British Film Award Evening Standard British Film Award du meilleur scénario John Hodge[Note 1]
London Critics Circle Film Awards ALFS Award de l'acteur britannique de l'année Ewan McGregor
ALFS Award du producteur britannique de l'année Andrew Macdonald
Prism Awards Prism Award du Long métrage théâtral -
2017 20/20 Awards Felix du meilleur scénario adapté John Hodge
Felix de la meilleure chanson (pour Lust for Life)
Felix du meilleur montage Masahiro Hirakubo

Nominations

Année Festivals de cinéma Catégorie Nommé(es)
1996 Australian Film Institute Nomination au prix du meilleur film étranger Andrew Macdonald
Awards Circuit Community Awards Meilleur film Andrew Macdonald
Meilleur réalisateur Danny Boyle
Meilleure photographie Brian Tufano
Meilleur montage de film Masahiro Nishikubo
Meilleur acteur dans un second rôle Robert Carlyle
Boston Society of Film Critics Awards Meilleur scénario John Hodge
British Academy Film and Television Arts Awards Nomination au prix Alexander Korda du meilleur film britannique Andrew Macdonald et Danny Boyle
Festival de Cannes[40] Longs métrages - Hors-compétition Danny Boyle
1997 BAFTA Awards, Scotland Meilleur scénariste John Hodge
Meilleur acteur dans un film Robert Carlyle
Meilleure actrice dans un film Kelly Macdonald
Chicago Film Critics Association Awards Acteur le plus prometteur Ewan McGregor
Meilleur scénario adapté John Hodge
Chlotrudis Awards Meilleur réalisateur Danny Boyle
Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards Meilleur film -
Film Independent Spirit Awards Meilleur film étranger Danny Boyle
Italian National Syndicate of Film Journalists Ruban d'argent européen Danny Boyle
London Critics Circle Film Awards Film britannique de l'année -
Réalisateur britannique de l'année Danny Boyle
MTV Movie Awards Meilleure performance exceptionnelle Ewan McGregor
MTV Video Music Awards Meilleure vidéo de film Iggy Pop (pour Lust for Life)
Online Film & Television Association Meilleur film dramatique Andrew Macdonald
Meilleur scénario adapté John Hodge
Oscars / Academy Awards[39],[40] Meilleur scénario adapté John Hodge
Satellite Awards Meilleur film dramatique Andrew Macdonald
Meilleur acteur dans un second rôle dans un film dramatique Robert Carlyle
Meilleur scénario adapté John Hodge
Turkish Film Critics Association (SIYAD) Awards Meilleur film étranger 3ème place
Writers Guild of America Awards Meilleur scénario basé sur du matériel déjà produit ou publié John Hodge
2017 20/20 Awards Meilleur réalisateur Danny Boyle
Meilleur acteur Ewan McGregor
Meilleur acteur dans un second rôle Robert Carlyle
Meilleure direction artistique Kave Quinn
Meilleure conception de costumes Rachael Fleming
Meilleur film -

Notes et références

Notes

  1. A égalité avec Emma Thompson pour Raison et sentiments (1995).

Références

  1. Institut national de l'audiovisuel, « Le film "Trainspotting" fait scandale au festival de Cannes » (vidéo), F2 Le Journal 20H, sur ina.fr, (consulté le ).
  2. « « Trainspotting » - Lust for Film - Maze.fr », sur Maze, (consulté le ).
  3. Trainspotting - Casting sur Allociné (consulté le 15 septembre 2020)
  4. (en) Trainspotting - Société de Production / Sociétés de distribution sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
  5. Alexander Walker, Icons in the Fire: The Rise and Fall of Practically Everyone in the British Film Industry 1984–2000, Orion Books, 2005 p. 237.
  6. (en) Trainspotting - Spécifications techniques sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
  7. (en) Trainspotting - Dates de sortie sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
  8. (en) Trainspotting - Guide Parental sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
  9. (en) « Classification Parentale au Royaume-Uni », sur bbfc.co.uk (consulté le ).
  10. « Visa et Classification - Fiche œuvre Trainspotting », sur CNC (consulté le ).
  11. « Fiche de doublage de Trainspotting », VoxoFilm (consulté le )
  12. (en) Gareth Grundy, « Hey! Hey! We're the Junkies! », Neon, , p. 102-103
  13. (en) Jeff Gordinier, « Stupor Heroes », Entertainment Weekly (consulté le )
  14. (en) Mark Jolly, « Trainspottings Engine That Could », Interview, , p. 107
  15. (en) « Trainspotting Film Locations », sur movie-locations.com (consulté le )
  16. (en) « 100 Best Movie Soundtracks », Entertainment Weekly, (consulté le )
  17. Le titre est crédité Born Slippy mais la chanson présente sur l'album est Born Slippy .NUXX, issue de la face B du single Born Slippy.
  18. (en) « Trainspotting », sur Rotten Tomatoes (consulté le )
  19. (en) « Trainspotting », sur Metacritic (consulté le )
  20. (en) Derek Malcolm, « Trainspotting », The Guardian (consulté le )
  21. (en) Neil Jeffries, « Trainspotting », Empire (consulté le )
  22. (en) Desson Howe, « 'Trainspotting': A Wild Ride », The Washington Post (consulté le )
  23. « My God, quel scandale! », L'Express (consulté le )
  24. Michel Pascal, « Trainspotting », Le Point (consulté le )
  25. (en) « The Best Cinema of 1996 », Time Magazine (consulté le )
  26. (en) « Nul Britannia », British Film Institute (consulté le )
  27. (en) « Trainspotting wins best film poll », BBC (consulté le )
  28. (en) « The 500 Greatest Movies of All Time », Empire (consulté le )
  29. (en) « The 100 Best British Films », Time Out (consulté le )
  30. « Trainspotting », Internet Movie Database (consulté le )
  31. « Box-office/business for Trainspotting », sur IMDb, (consulté le ).
  32. « Trainspotting au box-office britannique et européen », sur lumiere.obs.coe.int (consulté le ).
  33. « Trainspotting » [archive du ], sur Box Office Mojo (consulté le )
  34. « Top 20 '96 Domestic Limited Releases », Variety, , p. 20
  35. Lash, Scott; Lury Celia (2007) Global Culture Industry: The Mediation of Things, Polity, (ISBN 978-0-7456-2482-2), p. 167.
  36. Duncan J Petrie, « Contemporary Scottish Fictions—Film, Television, and the Novel: Film, Television and the Novel », Edinburgh University Press, , p. 101–102
  37. Leonard Klady, « Pix get ratio-active », Variety, , p. 1
  38. « Box-office de Trainspotting », sur JP's Box-office (consulté le ).
  39. (en) Trainspotting - Distinctions sur l’Internet Movie Database (consulté le 14 septembre 2020).
  40. Trainspotting - Distinctions sur Allociné (consulté le 14 septembre 2020).

Liens externes

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