Tucker Max

Tucker Max est un blogueur, écrivain et producteur américain né le .

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Tucker Max
Tucker Max en 2015
Naissance [1]
Atlanta, Géorgie, États-Unis
Activité principale
Écrivain, blogueur, producteur
Auteur
Langue d’écriture Anglais
Genres

Œuvres principales

I Hope They Serve Beer in Hell
Assholes Finish First
Hilarity Ensues
Sloppy Seconds: The Tucker Max Leftovers

Biographie

Tucker Max naît le à Atlanta, en Géorgie mais grandit à Lexington, dans le Kentucky. En 2000, alors étudiant à la Duke Law School (en) (dont il est diplômé en 2001[2]), il lance son site web, www.TuckerMax.com, à la suite d'un pari. Il y décrit son quotidien fait de beuveries et d'aventures sexuelles sous la forme de nouvelles et son site a reçu plusieurs millions de visiteurs[3],[4],[5].

En 2001, il publie le livre The Definitive Book of Pick-Up Lines, puis Belligerence and Debauchery: The Tucker Max Stories en 2003. En 2006, il publie I Hope They Serve Beer in Hell qui devient un best-seller, apparaissant notamment dans la New York Times Best Seller list chaque année entre 2006 et 2011[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12]. Plus d'un million d'exemplaires ont été vendues dans le monde, dont 400 000 pour la seule année 2009[13],[14]. Le livre est par la suite adapté en film sous le titre Tucker Max : Histoires d'un serial fucker (I Hope They Serve Beer in Hell) ; Tucker Max en est un des scénaristes et producteurs. Le film reçoit des critiques plutôt négatives[15] et plusieurs critiques le considèrent même comme un des pires films de l'année[16],[17],[18].

En 2009, il fait partie des finalistes sélectionnés par les internautes du Time 100 mais n'apparaît pas dans la liste du magazine[19],[20].

Il publie ensuite Assholes Finish First (2010), Hilarity Ensues et Sloppy Seconds: The Tucker Max Leftovers (2012).

Fratire

Max est considéré, avec Maddox, comme le fondateur du genre littéraire fratire[21]. Le terme a été créé par le journaliste du The New York Times Warren St. John en 2006 en référence aux fraternités nord-américaines[22]. Ce genre se caractérise par les thèmes masculins qu'il aborde et peut être considéré comme l'équivalent masculin de la chick lit[22],[23]. Néanmoins, Max n'apprécie pas le terme, n'ayant, à l'instar de Maddox, jamais fait partie d'une fraternité[24].

Œuvre

Livres

  • The Definitive Book of Pick-Up Lines (2001)
  • Belligerence and Debauchery: The Tucker Max Stories (2003)
  • I Hope They Serve Beer in Hell (2006)
  • Assholes Finish First (2010)
  • Hilarity Ensues (2012)
  • Sloppy Seconds: The Tucker Max Leftovers (2012)

Film

Références

  1. « Tucker Max date of birth »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  2. « Biography and Press Kit », TuckerMax.com (consulté le )
  3. Darko to Serve Max's Beer Variety. "Richard, Ted and I all appreciated Tucker's gonzo style of writing in his book", Tatiana Siegel, June 10, 2008.
  4. "Three in the Can for Beer in Hell", Hollywood Reporter, July 8, 2008.
  5. Profile in Variety
  6. New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction, February 5, 2006
  7. New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction 5/7/07
  8. NYT Bestseller List Paperback Nonfiction, April 13, 2008.
  9. New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction, January 2, 2009.
  10. New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction 1/1/10
  11. New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction 11/08/09
  12. New York Times Bestseller List Paperback Nonfiction, April 10, 2011.
  13. Chris Lee, « Tucker Max in a 'Hell' of his own making », sur Los Angeles Times, (consulté le )
  14. « Facts & Figures 2009 Revised », Publishers Weekly, (lire en ligne)
  15. « I Hope They Serve Beer in Hell », Rotten Tomatoes (consulté le )
  16. The ten worst movie moments in 2009. « Copie archivée » (version du 7 septembre 2011 sur l'Internet Archive)
  17. The worst movies of 2009? A little help, please
  18. « 12 Awful Movies of the Last Decade », Chicago Tribune, (lire en ligne)
  19. Time Magazine profile of Tucker Max
  20. "The Los Angeles Times Tucker Max in a 'Hell' of his own making", Los Angeles Times, September 20, 2009.
  21. « I Hope They Serve Beer in Hell's Tucker Max Talks With Philly2Philly.com », Philly2Philly (consulté en )
  22. Warren St. John, « Dude, Here's My Book », New York Times, (lire en ligne, consulté le )
  23. James Harkin, « The return of the real man »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur Financial Times, (consulté le )
  24. Tucker Max, « Pass the beer: in defense of "fratire" », sur www.tuckermax.com, (consulté le )

Liens externes

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