Txiki Festival

Le Txiki Festival (Txiki pour petit, en basque) est un festival de cinéma et d'éducation aux images et aux médias pour enfants qui a lieu chaque année à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques).

Txiki Festival


Lieu	Biarritz

Lieux et date

Ce rendez-vous pour enfants et préadolescents se déroule sur cinq jours lors des vacances de Toussaint, en différents lieux de Biarritz : au cinéma Le Royal, à la médiathèque et au casino municipal de Biarritz.

Objet

Dédié à l'éducation aux images et aux medias, le Txiki Festival est organisé entre projections de courts et longs métrages, et ateliers d'éducation audiovisuelle et d'animations créatives[1].

Un court-métrage, tourné pendant le Txiki Festival, est réalisé chaque année, ainsi qu'une émission de radio.

Organisation

Virginie Sassoon[2] préside le Txiki Festival, créé en 2013. François Saltiel en est le vice-président.

Historique

2020

La 8^e édition du Txiki Festival a lieu du 17 octobre au 2 novembre 2020[3]. Pour cause d'épidémie de la Covid-19, le festival de cinéma et d’éducation aux images pour le jeune public a lieu en ligne[4], à la place de l'accueil des enfants au casino municipal.

Aldebert est le parrain du Txiki Festival en 2020. Le chanteur lance aux jeunes le défi d'écrire une chanson autour du thème du festival, et composera la musique de la ou les meilleures propositions[5]. Divers autres défis créatifs sont également proposés..

2019

Pour la 7^e édition du Txiki Festival, l'actrice et chanteuse Claire Keim a endossé le rôle de marraine de la manifestation[6].

2018

Pour la 6^e édition du Txiki Festival, le journaliste de télévision et radio Thomas Sotto a été le parrain du festival[7].

2017

Pour la 5^e édition du Txiki Festival en 2017, l'humoriste, acteur et réalisateur Marc Jolivet est le parrain du festival.

Contributions

Le Txiki Festival a pu bénéficier, dans son développement, du financement participatif et de ses nombreux aspects communautaires. Txiki Productions a fait appel à Ulule pour réunir des dons de soutien au projet, du fait des besoins « pour certains ateliers, pour rémunérer des intervenants et louer des films. »[1].

Notes et références

« Txiki Festival : éducation, image et crowdfunding », Le Monde,‎ 17 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020)
« Virginie Sassoon Directrice Adjointe du CLEMI », sur France Bleu
« Txiki Festival », sur Office de tourisme de Biarritz.
Raphaëlle Gourin, « Biarritz. Le Txiki Festival en version revisitée », Sud Ouest,‎ 10 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020).
R. G., « Biarritz : Aldebert, le chanteur star des marmots leur propose d'écrire une chanson », Sud Ouest,‎ 20 octobre 2010 (lire en ligne, consulté le 24 octobre 2020)
Raphaëlle Gourin, « Txiki Festival à Biarritz : Claire Keim, une marraine curieuse d’apprendre », Sud Ouest,‎ 30 octobre 2019 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020).
Carole Suhas, « Biarritz : au Txiki Festival, le journaliste Thomas Sotto veut « apprendre aux enfants à douter » », Sud Ouest,‎ 25 octobre 2018 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020).

Liens externes

« Txiki festival », sur Txiki Productions
« Txiki Festival et le P'tit Libé (2018, 2019) », sur Libération
« Txiki Festival (2015) », sur Biarritz2020.fr

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[TxM-1] « Txiki Festival : éducation, image et crowdfunding », Le Monde,‎ 17 mai 2017 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020)

[2] « Virginie Sassoon Directrice Adjointe du CLEMI », sur France Bleu

[3] « Txiki Festival », sur Office de tourisme de Biarritz.

[4] Raphaëlle Gourin, « Biarritz. Le Txiki Festival en version revisitée », Sud Ouest,‎ 10 octobre 2020 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020).

[5] R. G., « Biarritz : Aldebert, le chanteur star des marmots leur propose d'écrire une chanson », Sud Ouest,‎ 20 octobre 2010 (lire en ligne, consulté le 24 octobre 2020)

[6] Raphaëlle Gourin, « Txiki Festival à Biarritz : Claire Keim, une marraine curieuse d’apprendre », Sud Ouest,‎ 30 octobre 2019 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020).

[7] Carole Suhas, « Biarritz : au Txiki Festival, le journaliste Thomas Sotto veut « apprendre aux enfants à douter » », Sud Ouest,‎ 25 octobre 2018 (lire en ligne, consulté le 18 octobre 2020).