Vicomte A
Vicomte A. est une marque française de prêt-à-porter, fondée en 2005.
Vicomte A | |
Création | 2005 |
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Dates clés | 07-10-2016 immatriculation sté actuelle |
Fondateurs | Arthur de Soultrait |
Forme juridique | SASU Société par actions simplifiée à associé unique |
Slogan | L'instinct chic |
Siège social | Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise |
Direction | Pierre Le Faou |
Actionnaires | SAINT-HONORE ASSOCIES |
Activité | Industrie textile |
Produits | Prêt-à-porter haut de gamme |
Société mère | SAINT-HONORE ASSOCIES |
Effectif | 20 à 49 salariés |
SIREN | 822 991 121 |
Site web | vicomte-a.com |
La société compte en 2016 un réseau de 350 points de vente dans une trentaine de pays[1], emploie 60 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros en 2015[2].
Histoire
La marque Vicomte A. est fondée en [3],[4]. Les premières boutiques en nom propre sont ouvertes en Europe et à Palm Beach[5]. En 2012 Vicomte A devient l'habilleur officiel du Vendée Globe[6]. En 2014, tout en restant actionnaire majoritaire, Vicomte A. ouvre le capital à CM-CIC Capital Finance[7].
En 2016, Vicomte A. et Aigle signent un partenariat[8].
La société mère Segur est en liquidation judiciaire[9]. La liquidation judiciaire a été prononcée le [10]. La procédure de redressement judiciaire prend fin par un plan de cession et la création d’Allure Saint-Honoré. L’entreprise, qui est contrôlée par LFC Partners, annonce en le départ de Arthur de Soultrait[11].
Pierre-Louis le Faou prend la direction de l'enseigne[12].
Informations économiques
En 2015, la société réalise un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros et compte 60 salariés[4],[13].
L'entreprise compte en 2018 de 13 magasins en propre 18 corners et un important réseau de revendeurs répertoriés sur son site et le chiffre d'affaires a été ramené à 11 millions d'euros en 2017[14].
Produits
Marque de cravates et de polos à l’origine[2], Vicomte A. vend des vêtements pour hommes, femmes et enfants.
En 2008, les polos bicolores représentent 60 % de son chiffre d'affaires[15]. La société vend également des vêtements destinés aux entreprises[16],[17] via l'entreprise Marcy Infinity. En 2011, la marque signe un partenariat avec la maison d'armurerie Gastinne Renette[18].
Références
- « Le Paris d'Arthur et Marcy de Soultrait, Vicomte A – », sur Figaro Tv (consulté le )
- « L’incroyable saga de Vicomte A, le roi des vêtements BCBG », sur Challenges (consulté le )
- Frédéric Martin-Bernard, « L'insolent succès du Vicomte A », Le Figaro Madame,
- Yann Le Galès, « Arthur de Soultrait impose sa griffe », Le Figaro,
- Valérie Leboucq, « Vicomte A ressuscite Gastinne Renette », sur Les Echos, (consulté le )
- Virginie Jacoberger-Lavoué, « Mécenat : Vicomte A et le Vendée Globe », sur Valeurs actuelles, (consulté le )
- « Passer du marketing de soi à une marque mondiale » , sur Les Echos Business (consulté le )
- « Wanted : la collab’ Aigle et Vicomte A. », sur Femme Actuelle (consulté le )
- « Vicomte A (SEGUR) en redressement judiciaire. », sur Entreprendre en VO, (consulté le )
- « SEGUR sur verif.com »
- FashionNetwork.com, Olivier Guyot, « Vicomte A annonce le départ d’Arthur de Soultrait, son fondateur », FashionNetwork.com, (lire en ligne, consulté le )
- « Pierre-Louis Le Faou, le financier qui fait renaître la griffe Vicomte A. », FIGARO, (lire en ligne, consulté le )
- Éric de Legge et Jean-Étienne Juthier, « Segur, les bons comptes de Vicomte Arthur », Le Journal du Net,
- Jean Botella, « vite un plan b pour vicomte a », capital, , p. 43 à 47
- Virginie Jacoberger-Lavoué, « Vicomte Arthur, l'ultrachic acidulé », Valeurs actuelles, no 3741, , p. 54 (ISSN 0049-5794)
- Louise Roumieu, « Vicomte A, l'aristo qui défie le croco », Entreprendre, no 251, , p. 70-72 (ISSN 1145-5764)
- Dominique Malécot, « Success-story : Vicomte A rêve d'habiller le monde à ses couleurs », Les Échos,
- lefigaro.fr, « Vicomte A part à la chasse avec Gastinne Renette » [archive du ], sur Le Figaro (consulté le )
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