Beyrouth
Français
Nom propre
Beyrouth \bɛ.ʁut\ masculin singulier
- (Géographie) Ville et capitale du Liban.
- (Par métonymie) Gouvernement libanais.
- (Populaire) Chaos. Note : Généralement urbain, en référence à la guerre civile libanaise 1975-1990. Son utilisation est jugée méprisante et anachronique par les Libanais. [1]
- Arrivé sur ce rondpoint en contrebas du périphérique, face au stade Charléty, « c’est Beyrouth », selon un policier. Des véhicules incendiés fument encore, d’autres sont abandonnés au milieu de la chaussée. Des douilles jonchent le sol. — (Matthieu Suc, Brendan Kemmet, Antonio Ferrara, le roi de la belle, 2012)
Gentilés et adjectifs correspondants
Traductions
- Allemand : Beirut (de)
- Amharique : ቤይሩት (am)
- Anglais : Beirut (en)
- Arabe : بيروت (ar) Bayrwt
- Araméen : ܒܝܪܘܬ (*)
- Arménien : Բեյրութ (hy) Beyrut'
- Azéri : Beyrut (az)
- Bosniaque : Bejrut (bs)
- Bulgare : Бейрут (bg) Bejrut
- Catalan : Beirut (ca)
- Chinois : 贝鲁特 (zh) (貝魯特) Bèilǔtè
- Coréen : 베이루트 (ko) Beiruteu
- Croate : Beirut (hr)
- Danois : Beirut (da)
- Espagnol : Beirut (es)
- Espéranto : Bejruto (eo)
- Estonien : Beirut (et)
- Finnois : Beirut (fi)
- Galicien : Beirut (gl)
- Géorgien : ბეირუთი (ka) Beirut'i
- Grec : Βηρυτός (el) Viritós
- Hébreu : ביירות (he) Beyrwt
- Hongrois : Bejrút (hu)
- Ido : Beirut (io)
- Indonésien : Beirut (id)
- Islandais : Beirút (is)
- Italien : Beirut (it)
- Japonais : ベイルート (ja) Beirūto
- Latin : Berytus (la)
- Letton : Beirūta (lv)
- Lituanien : Beirutas (lt)
- Néerlandais : Beiroet (nl)
- Norvégien : Beirut (no)
- Norvégien (nynorsk) : Beirut (no)
- Persan : بیروت (fa) Beyrwt
- Polonais : Bejrut (pl)
- Portugais : Beirute (pt)
- Roumain : Beirut (ro)
- Russe : Бейрут (ru) Beïrout
- Serbe : Бејрут (sr) Bejrut
- Sicilien : Beirut (scn)
- Slovaque : Bejrút (sk)
- Slovène : Bejrut (sl)
- Suédois : Beirut (sv)
- Tadjik : Бейрут (tg)
- Tchèque : Bejrút (cs)
- Tibétain : འཔེ་ལུ་ཐ (*)
- Turc : Beyrut (tr)
- Volapük : Bäyrut (vo)
Références
- Agnès Rotivel, et propos d’Alexandre Najjar, in Agnès Rotivel, « C’est Beyrouth », le souvenir de l’insouciance et du chaos, 30 juillet 2015, www.la-croix.com. « Quelques années plus tard, Sarajevo puis Bagdad dévastés par la guerre auraient pu usurper l’expression à leur profit, sans jamais pourtant y parvenir. […] « la guerre du Liban a laissé une image durable qui a contaminé le dictionnaire. » »
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