invitâ Minervâ

Voir aussi : invita Minerva

Français

Locution adverbiale

invitâ Minervâ \Prononciation ?\

  1. Variante de invita Minerva.
    • Le pere Riviere n’a aucun talent requis dans un prédicateur. Il est prédicateur comme d’autres sont poëtes, invitâ Minervâ… — (Consultes tenues au Collège de Louis-le-Grand, pendant la visite du pere Provincial, pour la Réformation de la Maison de Clermont, en l’année 1708, Lisbonne, 1761, t.1, part.1, page 472)
    • Ayant pris sa retraite vers 1760, il voulut devenir auteur; malheureusement c’était invitâ Minervâ. Il n’avait point fait d’études préliminaires et n’avait pas un génie propre à y suppléer. — (Charles-Joseph Delahaut, Annales civiles et religieuses d’Yvois-Carignan et de Mouzon, publiées par L'Ecuy, Paris, 1822, page 449)

Références
  • Jean-Noël Blondin, Manuel de la pureté du langage, Paris, 1823, p.136
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