Tracteur agricole

Un tracteur agricole (du latin trahere) est un véhicule automoteur, équipé de roues ou de chenilles, et qui remplit trois fonctions dans les travaux agricoles, ruraux ou forestiers :

  • la traction de remorques ou de « machines ou instruments agricoles remorqués » destinés au transport ou à la mise en valeur de l'exploitation, tels que les épandeurs à fumier, les pulvérisateurs traînés, les matériels de récolte, et labourer les terres pour les semis et récoltes… ;
  • le support d'outils ou de matériels agricoles installés, soit à l'avant (fourches/pelles sur chargeur frontal, rouleaux émotteurs, etc.), soit, le plus souvent, à l'arrière tels que charrues, déchaumeurs, faneuses, herses rotatives, broyeurs, souffleuses, grâce à un système d'attelage qui est le plus souvent de type attelage trois-points pour les matériels portés ;
  • l'animation des pièces rotatives et des vérins de ces matériels agricoles est réalisée grâce à la prise de force généralement située à l'arrière, ou au système hydraulique (ou pneumatique).

Pour les articles homonymes, voir Tracteur.

Tracteur agricole
Tracteur à pétrole Daimler (1912).
Un tracteur New Holland T6070 de 2012.
Un modèle réduit de tracteur Renault D22 de 1957.

Histoire

Terminologie et contexte d'apparition

Au début du dix-neuvième siècle, le terme tracteur est utilisé en biologie et en médecine/chirurgie[1],[2].

En 1894, dans les mines de charbon, on utilise un porteur aérien qui fonctionne avec un câble porteur et un câble tracteur[3].

En 1894, le câble tracteur est utilisé dans le funiculaire aérien, son rôle lui permet d'être plus fin que le câble porteur[4]. Le câble tracteur s'use plus rapidement que le câble porteur[5].

En février 1895, le terme tracteur existe déjà en langue française, en tant que nom utilisé dans le contexte de locomotion automobile[6]. La fonction « tracteur » est alors entendue comme la capacité de remorquer une voiture de voyageurs[7].

À cette époque, en Normandie, le tracteur est un câble actionné par l'électricité qui permet le fonctionnement du pont transbordeur[8].

Tracteur à vapeur ou locomobile automotrice Robert Bell de 1911 : 24 chevaux, 10 t en ordre de marche, 3h de chauffe avant mise en service.

Depuis 1850 existe la locomobile automotrice qui est elle-même un perfectionnement de la locomobile.

Depuis sa création

Tracteur à chenilles Henry Bauchet Rethel (Ardennes, France).

Le tout premier tracteur à vapeur et à chenille a été inventé par le Russe Fiodor Blinov en 1881[9].

Le tracteur Froelich, conçu par John Froelich en 1892 dans l'Iowa aux États-Unis, est le tout premier tracteur équipé d’un moteur à explosion fabriqué de manière industrielle.

En 1907, Henry Bauchet alors constructeur automobile ardennais à la suite du départ de son associé Charles Schmidt chez Packard[10] (où il allait créer[11] la première Packard modèle G[12]) et son litige avec Renault sur la priorité de la prise directe, cessa de construire des automobiles. La mode était alors aux voitures à chaînes et, ne pouvant se plier à une technique qui ne répondait pas à ses conceptions, l'ingénieur ardennais préféra s'attaquer à la fabrication de moteurs fixes. Cette production trouvant des applications surtout dans le domaine de l'agriculture, il construisit, deux ans plus tard, en 1909, le premier tracteur à roues. À la déclaration de guerre, en 1914, il achevait le premier tracteur à chenilles.

Démonstration de labourage tracté en 1916 en France.
Tracteur à chenilles Vigneron ARD24 Bauchet-Tracteurs Rethel (Ardennes).

Ses modèles étaient dotés de « transdirection », invention brevetée Bauchet, leur permettant une importante souplesse car un équilibre automatique et une taille étroite permettant de passer dans les vignes, modèle commercialisé sous le nom de « vitichenille ». Comme il le disait lui-même, « la conduite en était si facile qu'un enfant pouvait le faire ! », arguments repris lors de la photo réalisée pour une publicité ou publication de ses tracteurs agricoles.

Le tracteur s'est développé en France avec la motorisation de l'agriculture après la Première Guerre mondiale, Peugeot, Renault et Citroën y voyant un débouché pour maintenir l'activité de leurs usines d'armement et éviter le chômage. Il prend son essor dans les années 1950. Les fermiers ayant vu leurs animaux de trait réquisitionnés par l'armée pendant la Seconde Guerre mondiale, ils n'avaient plus de chevaux ou de bœufs pour tracter leurs charrettes, si bien que les grandes exploitations agricoles du Bassin parisien se sont tournées vers le tracteur qu'on leur proposait grâce au développement de prêts sous forme de crédit. La loi du remembrement de 1941 (sous le régime de Vichy) visant à agrandir les surfaces cultivées[13] ne commença à voir ses effets que dans les années 1960, en 1946, il y avait 145 millions de parcelles en France, avec une taille moyenne de 0,33 hectare, la taille de ces exploitations rendait l'utilisation des tracteurs difficile et peu rentable. La somme allouée au remembrement par le ministère de l'Agriculture passe de 62,9 millions de nouveaux francs en 1959 à 111,283 en 1960, soit environ le double[14]. Le tracteur ne s'est véritablement imposé dans toutes les exploitations qu'à partir des années 1960[15].

Apparence

Tracteur Fiat 90-90 DT, 4 roues motrices, 2 roues directrices.
Tracteur fruitier Renault Fructus 120 de 2003.

Le tracteur agricole dans sa forme la plus classique possède quatre roues, les roues arrière sont motrices et de plus grand diamètre que les roues avant directrices. Les tracteurs à deux roues motrices sont de plus en plus rares. En effet, les agriculteurs utilisent des tracteurs de plus en plus puissants, demandant plus d'adhérence[16] et donc à quatre roues motrices. Le poste de conduite du tracteur peut être ouvert ou constitué d'une cabine dans laquelle le conducteur prend place sur un siège unique situé au centre. Les tracteurs modernes sont plus confortables (cabine suspendue, climatisée, siège pneumatique).

Depuis la fin des années 1980, l'apparition de l'électronique embarquée a permis de développer des « aides à la conduite ». Ainsi, un certain nombre d'opérations récurrentes se déclenchant lors des demi-tours au bout des champs par exemple peuvent être programmées par l'utilisateur. La plupart des tracteurs neufs sont vendus avec un ordinateur de bord permettant de surveiller tous les paramètres du tracteur et détecter un éventuel problème.

Il compte quatre ou cinq pédales : à gauche, l'embrayage et à droite du poste de conduite les freins droit et gauche jumelables ainsi que l'accélérateur et traditionnellement le blocage de différentiel aujourd'hui remplacé par un bouton électrique. La pédale d'accélérateur est très souvent reliée à un levier actionné manuellement par le conducteur permettant de stabiliser le régime moteur, indispensable lors de la réalisation de certains travaux des champs (notamment ceux nécessitant l'utilisation de la prise de force à vitesse de rotation constante), on parle alors d'accélérateur à main.

Certains modèles sont spécialisés, ex. : tracteurs étroits (vergers, orangeraies), tracteurs enjambeurs ou vignerons (très étroits) pour la viticulture. D'autres visent à une grande polyvalence d'emploi, avec un relevage et une prise de force à l'avant et à l'arrière ainsi qu'une plateforme de chargement au-dessus des roues arrière, comme les Deutz Intrac.

Autrefois, la plupart des tracteurs recouraient à une transmission mécanique simple à leviers. Depuis les années 1980, les transmissions mécaniques (parfois partiellement hydrauliques) automatisées (dites semi-powershift et powershift), permettant le passage des vitesses sous charge, ont été majoritairement adoptées par les agriculteurs. On note depuis les années 2000 la percée des transmissions à variation continue (Fendt en est le précurseur avec sa fameuse « boîte Vario »). La plupart des constructeurs proposent désormais cette technologie (John Deere, New Holland, Case IH, Massey Ferguson, etc.).

Écorché d'un tracteur agricole moderne (John Deere 3350).

Engin polyvalent, le tracteur est parfois concurrencé par le développement de machines automotrices conçues pour réaliser un travail spécifique (moissonneuses-batteuses, automoteurs de traitements, etc.).

Utilisation des tracteurs agricoles dans le monde

En 2002, le nombre total de tracteurs agricoles, tous types, en exploitation dans le monde s'élève à 26,7 millions[17].

Selon les pays, le type de tracteur agricole utilisé peut varier fortement. Ainsi par rapport aux Européens de l'Ouest, les Japonais se servent de tracteurs de puissance plus faible, tandis que les Américains utilisent des engins bien plus puissants (tracteurs articulés) (jusqu'à environ 600 ch). Les pays en voie de développement (Inde par exemple) produisent quant à eux des tracteurs sous licence utilisés par les Européens dans les années 1970.

Tracteur Massey Ferguson 35.
Tracteur Austin (circa 1930).

Les douze principaux pays utilisateurs représentent près de 70 % du total :

  1. États-Unis : 4 800 000
  2. Japon : 2 028 000
  3. Russie : 1 749 560
  4. Italie : 1 660 000
  5. Inde : 1 525 000
  6. Pologne : 1 364 579
  7. France : 1 264 000
  8. Turquie : 970 083
  9. Espagne : 946 053
  10. Allemagne : 944 000
  11. Chine : 926 031
  12. Brésil : 806 000

Accidents

Accidents de la route français

En France, les tracteurs agricoles sont impliqués dans 984 accidents sur une période de cinq ans, tuant 201 personnes entre 2013 et 2017[18].

Sur les 201 tués, la moitié sont des usagers vulnérables : 44 tués étaient à bord du tracteur alors que 157 tués étaient extérieurs au tracteur : 15 piétons, 15 cyclistes, 64 usagers de deux-roues motorisés (2RM) et 54 automobilistes[18].

Les usagers de tracteur agricole se tuent plutôt sans tiers[18].

Entre huit et neuf personnes sur dix sont tuées sur une section de route hors intersection[18].

Différentes directions du tracteur sont possibles avant l'accident :

  • 45 % des tracteurs impliqués dans les accidents corporels ne changent pas de direction : 52 % de la mortalité ;
  • tourne à gauche : 19 % de la mortalité ;
  • autre : 29 % de la mortalité[18].

Accidents de la route allemands

En Allemagne, il y a peu d'accidents de tracteur car peu de tracteurs circulent sur les routes allemandes. Cependant, en Allemagne, les accidents de tracteurs sont plus dévastateurs pour le nombre de personnes gravement blessées ou tuées qu'un véhicule moyen.

Les assureurs allemands (Unfallforschung der Versicherer (de) (UDV)) ont collecté une base de données de 1010 accidents survenus entre 2006 et 2008 survenus dans toute l'Allemagne et ont ainsi pu déterminer les points suivants :

  • les accidents graves impliquant des tracteurs se produisent essentiellement hors agglomération et impliquent un nombre supérieur à la moyenne de jeunes conducteurs ;
  • les accidents surviennent plus facilement aux intersections, aux embouchures des chemins de terre, dans les virages et dans les entrées et sorties de terrains ;
  • les accidents entre tracteurs et motocycles sont très graves.

L'UDV recommande :

  • une meilleure formation des jeunes conducteurs ;
  • une meilleure information des usagers de la route sur les risques de passeurs ;
  • une meilleure signalisation des tracteurs notamment par l'éclairage.

Autres accidents

Renversement d'un tracteur.

Aux États-Unis, l'industrie agricole est la plus dangereuse de toutes les industries, après la mine et le bâtiment.

Le tracteur représente 32 % de la mortalité et 6 % des blessures dans l'agriculture[19],[20].

Pour ces accidents, les roll-over protection structure (ROPS) et les ceintures de sécurité portées[21] sont les plus importants équipements de sécurité pour protéger les opérateurs de la mort au cours d'un retournement (chavirement) du tracteur dans lequel celui-ci fait un tour sur lui-même[22],[23].

Les ROPS sont requises depuis 1959 en suède et depuis 1986 aux États-Unis.

En Union européenne, le concept de ROPS apparaît dans la version anglophone du règlement délégué (UE) 2018/830 de la commission du [24], et sous l’appellation structure arrière pliable de protection contre le renversement ou structure de protection contre le renversement dans la version française. En France, ces équipements sont appelés arceau, cadre ou cabine de sécurité, suivant les modèles, dans le langage technique.

La législation de l'Union européenne pour la structure de protection contre le renversement est alignée sur les codes de l'OCDE[25], et en particulier :

  • le code 6 pour les structures de protection montées à l'avant des tracteurs agricoles et forestiers à voie étroite[26] ;
  • le code 7 pour les structures de protection montées à l'arrière des tracteurs agricoles et forestiers à voie étroite[27].

Législation

Les tracteurs sont soumis à diverses réglementations en matière de sécurité, d’émissions polluantes et de permis de conduire, suivant les régions.

Les normes de pollution des tracteurs agricoles et forestiers sont définies par le règlement CEE-ONU 96 : Prescriptions uniformes relatives à l’homologation des moteurs destinés aux tracteurs agricoles et forestiers ainsi qu’aux engins mobiles non routiers s’agissant des émissions de polluants du moteur.

En France

La loi Macron a clarifié la réglementation sur le permis de conduire.

Depuis l'adoption de la loi Macron au début du mois d'août 2015, toute personne disposant d'un permis B peut désormais conduire un tracteur et une machine agricole ou forestière dont la vitesse n'excède pas 40 km/h. Jusqu'alors, seuls les actifs agricoles pouvaient circuler sur les routes sans permis. Les agriculteurs ou salariés agricoles retraités qui aidaient sur l'exploitation disposaient néanmoins d'une dispense. C'est désormais cette dernière règle qui s'applique à toute personne titulaire du permis B. Il n'est donc plus nécessaire d'avoir le permis poids lourd pour circuler sur la voie publique.

Précisions sur les règles de dispense du permis La modification du code de la route issue de la loi Macron vient clarifier les bénéficiaires de la dispense du permis B. Dans le cadre de l'activité professionnelle, un conducteur de tracteur et appareil agricole ou forestier, peut conduire sans permis à condition que le véhicule qu'il conduit soit attaché à une exploitation agricole ou forestière, à une entreprise de travaux agricoles ou à une coopérative d'utilisation de matériel agricole. L'article R. 221-20 du code de la route précise que le tracteur agricole s'entend y compris la remorque sans limite de poids total en charge autorisé (PTAC).

Concernant les appareils agricoles, il s'agit des machines agricoles automotrices, des ensembles comprenant un matériel remorqué, des ensembles comprenant un véhicule tracteur et plusieurs remorques ou matériels remorqués ainsi que des ensembles comprenant une remorque transportant du personnel. Les cotisants au régime agricole qui peuvent conduire sans permis B sont les chefs d'exploitation ou d'entreprise à titre principal ou temporaire, et par extension les conjoints participant aux travaux, les collaborateurs à titre principal ou secondaire et les aides familiaux mineurs (mais plus de seize ans pour conduire) et majeurs. Sont également concernés les retraités qui poursuivent la mise en valeur d'une surface minimale d'assujettissement, ainsi que les salariés agricoles, qu'ils soient en activité à temps plein ou en contrat à durée déterminée, temporaires, saisonniers, voire les apprentis et stagiaires (sous certaines conditions). Dans l'hypothèse de l'entraide, tous ceux qui ont une activité agricole et qui cotisent à la MSA peuvent donc conduire sans permis.

Si la vitesse dépasse par construction 40 km/h, le permis poids lourd est obligatoire.

Il doit être également doté d'un ou deux gyrophare(s) orange permettant sa meilleure signalisation de jour comme de nuit ainsi qu'être mieux visible par les automobilistes.

Au Québec

L'âge minimal pour conduire un tracteur est de seize ans.

En Suisse

En Suisse, la conduite de Tracteurs agricoles nécessite le permis de conduire de catégorie G (accessible dès 14 ans) ou F (accessible pour partie à 16 ans et pour la totalité à 18 ans). Le permis de catégorie G permet de conduire dès 14 ans les tracteurs agricoles allant jusqu'à 30 km/h (la conduite de tracteurs jusqu'à 40 km/h étant autorisée avec le permis à la suite d'un cours agréé par l'OFROU). Le permis de catégorie F permettant de conduire les tracteurs et d'autres véhicules agricoles jusqu'à 45 km/h[28],[29].

Constructeurs actuels

Tracteur New Holland.
Tracteur IMT (Serbie).
Ancien tracteur John Deere.
Tracteur XTZ-243K.

Anciens constructeurs

Le Big Bud 747, considéré comme le « plus grand tracteur agricole au monde »[30].
Ancien tracteur Ford 6610 en Namibie.

Ford a disparu (fusion Fiat-Ford) et se retrouve englobé dans le groupe CNH (Case New Holland). Mercedes-Benz a cessé la construction du MB-Trac mais construit toujours l'Unimog.

JCB a plusieurs domaines d'activités (TP, manutention, agriculture). JCB commercialisait jusqu'en 2011 des tracteurs à roues égales. Depuis , le constructeur britannique propose deux modèles de forte puissance à roues inégales : les JCB Fastrac 8280 et 8310.

Volvo a arrêté la production de tracteurs agricoles en 1986, quand la division de construction tracteurs agricoles a été vendue à la société finlandaise Valmet qui deviendra Valtra.

Renault Agriculture n'existe plus sous cette marque, sauf pour les tracteurs destinés aux collectivités (Ergos). Claas a racheté 100 % des parts de Renault Agriculture en 2008. La production de tracteurs Claas se fait toujours dans l'usine historique de Renault Agriculture au Mans.

Notes et références

  1. « Manuel de physiologie. Tome 2 / par J. Müller,… ; traduit de l'allemand sur la quatrième édition (1844), avec des annotations, par A.-J.-L. Jourdan,… » , sur Gallica, (consulté le ).
  2. « L'Abeille médicale : revue des journaux et des ouvrages de médecine, de chirurgie, de pharmacie » , sur Gallica, (consulté le ).
  3. « Exposition de Chicago : mines, métallurgie et électricité / [par Francis Laur] » , sur Gallica, (consulté le ).
  4. « La Joie de la maison : journal hebdomadaire illustré » , sur Gallica, (consulté le ).
  5. « Chemins de fer funiculaires, transports aériens / par A. Lévy-Lambert,… » , sur Gallica, (consulté le ).
  6. « Revue mensuelle / Touring-club de France » , sur Gallica, (consulté le ).
  7. « L'Industrie vélocipédique : organe des fabricants, mécaniciens… » , sur Gallica, (consulté le ).
  8. « La Normandie : plages normandes (4e édition) / par A. de Baroncelli » , sur Gallica, 1895-1905 (consulté le ).
  9. (en) The Current Digest of the Soviet Press, Joint Committee on Slavic Studies, , p. 25.
  10. Packard modèle G (en).
  11. (en) Arthur W. Einstein, Jr., Ask the Man Who Owns One - An Illustrated History of Packard Advertising, McFarland, 2010, 282 p.
  12. (en) 1903 Packard Model K-S Gray Wolf, sur conceptcarz.com.
  13. (Le Crom 2006).
  14. (Rieucau 1962).
  15. Roland Jussiau, Louis Montméas et Jean-Claude Parot, L'Élevage en France : 10 000 ans d'histoire, Educagri éditions, , p. 274.
  16. La puissance n'a aucun lien avec le nombre de roues motrices : le fait d'utiliser quatre roues motrices permet d'améliorer la capacité de traction du tracteur mais consomme également plus de puissance, les tracteurs les plus puissants sont vendus seulement avec quatre roues motrices, avec possibilité d'ajouter des roues jumelées.
  17. Source statistique FAO, 2002.
  18. « Accidentalité des tracteurs agricoles entre 2013 et 2017 », sur onisr.securite-routiere.interieur.gouv.fr.
  19. Dennis Murphy, « Tractor Overturn Hazards », sur National Ag Safety Database, (consulté le ).
  20. Donham, K. ; D. Osterberg, M.L. Meyers et C. Lehtola (1999), Final report tractor risk abatement and control: the policy conference, 10–12 septembre 1997, The University of Iowa, Iowa City, Iowa.
  21. (en) Josie M. Rudolphi, Shelly Campo, Fred Gerr et Diane S. Rohlman, « Social and Individual Influences on Tractor Operating Practices of Young Adult Agricultural Workers », Journal of Adolescent Health, vol. 62, no 5, , p. 605–611 (ISSN 1054-139X, PMID 29478719, DOI 10.1016/j.jadohealth.2017.11.300).
  22. General Tractor Safety.
  23. Paul R. Keane et Tony McKenzie, « Cost-effective Rollover Protective Structure (CROPS) », National Institute for Occupational Safety and Health, (consulté le ).
  24. « L_2018140FR.01001501.xml », sur europa.eu (consulté le ).
  25. (en) « Codes - Improving farm tractor safety standards worldwide », sur oecd.org (consulté le ).
  26. Lire en ligne, sur oecd.org.
  27. Lire en ligne, sur oecd.org.
  28. « Catégorie G Catégorie spéciale – fuehrerausweise.ch » (consulté le )
  29. « Catégorie F – fuehrerausweise.ch » (consulté le )
  30. « 16-V 747 Big Bud The World’s Largest Farm Tractor », Big Sandy, Montana, Williams Big Bud Tractor (consulté le ).
  31. (de) Traktorenlexikon: Grunder, sur Wikibooks.

Annexes

Bibliographie

  • Louis Rieucau, « Où en est le remembrement rural en France? », L'information géographique, vol. 26, no 4, , p. 161-165 (DOI 10.3406/ingeo.1962.2169, lire en ligne)
  • Jean-Pierre Le Crom, « L’avenir des lois de Vichy », dans Bernard Durand, Jean-Pierre Le Crom, Alessandro Somma, Le droit sous Vichy, Klostermann, coll. « Das Europ der Diktatur », (lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

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