Économie de la Moselle
L'économie de la Moselle a reposé au XIXe siècle sur l'industrie lourde, en particulier la sidérurgie. Après la crise de ces industries à la fin du XXe siècle, le département tente de promouvoir de nouvelles activités basées sur le savoir-faire industriel et technologique. C'est par exemple le cas du pôle de compétitivité MIP (matériaux innovants-produits intelligents) et de la centrale nucléaire de Cattenom.
Les 10 premières entreprises de Moselle[1]
- SMAE PSA Peugeot Citroën (France) (chiffre d'affaires 2005 de 3,392 milliards d'euros)
- EDF (France), au travers de ses centrales de La Maxe et Cattenom, ses activités de distribution, transport et commercialiasiation (chiffre d'affaires départemental avoisinant les 2 milliards d'euros)
- Continental-France (Allemagne) (828 millions d'euros)
- Foncière des Régions (France) (552 M€)
- Arcelor-Mittal Gandrange (Luxembourg) (512 M€)
- Creyf's Interim France (Belgique) (486 M€)
- ThyssenKrupp Presta-France (Allemagne) (328 M€)
- Demathieu & bard (France) (289 M€)
- Pompes Grundfos (Danemark) (267 M€)
- Arcelor Profil (Luxembourg) (263 M€)
Notes et références
- Coface Services sur la base des chiffres d'affaires 2005, in Les Echos, 13 décembre 2007
Voir aussi
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