Éric Camilli

Éric Camilli, né le à Nice[1], est un pilote de rallye français.

Éric Camilli

Eric Camilli, conférence de presse Monte-Carlo 2016
Biographie
Surnom Dynamite
Date de naissance
Lieu de naissance Nice (Alpes-Maritimes, France)
Nationalité Français
Carrière professionnelle en rallye
Années d'activité Depuis 2013
Équipe Toyota Motorsport GMBH / M-Sport / Volkswagen Motorsport / Citroën Racing
Copilote Benjamin Veillas, François Xavier Buresi, Thibault Delahaye
Pilote Vice-Champion du Monde WRC2

Rallyes Jeunes FFSA

Statistiques
Dép. Vic. Pod. Scr.
WRC 13 1
WRC-2 32 5 11 70

Pilote officiel pour le championnat du monde des rallyes (WRC) avec l'équipe M-Sport en 2016, il devient ensuite vice-champion du monde WRC-2 en 2017. Il rejoint ensuite l’écurie Volkswagen Motorsport en 2018 et roule depuis 2019 pour Citroën Racing en WRC2 et en Championnat de France.

Biographie

Touche à tout jusqu'à ses 25 ans

Avant le Rallye, Éric Camilli s'orientait sur le circuit

Éric débute par le karting vers l’âge de 4 ans jusqu’à ses 10 ans en Minimes Cadets uniquement en loisir. De ses 15 à 17 ans[1], il retourne sur les circuits en catégorie Rotax Max pour s’attaquer à la compétition. Il finit 3e de la demi-finale du championnat du monde[1] ainsi que vice-champion d'Europe avec l’écurie Tony Kart. Il abandonne ensuite le karting faute de budget[1]

Passionné de rallye depuis son plus jeune âge, il débute dans la discipline en 2008 au rallye du Plan-de-la-Tour, où il termine dans le top 20 avec une Peugeot 206 XS Volant ou de Coupe[1],[2]. Il réalise notamment un 8e temps scratch[1],[3] sous la pluie (sur 150 partants)[4] et participe à deux autres rallyes en France[2]. Une foi de plus n’ayant pas les ressources financières suffisantes pour le sport automobile il quitte avec regret le monde de la compétition pour se consacrer à ses études d’expertise comptable. Il part vivre à Paris pour préparer son doctorat.

Opération Rallye Jeunes, le déclic

En 2012, il est éligible pour la dernière fois à l'opération Rallye Jeunes FFSA. Cette initiative de promotion du rallye a notamment permis à Sébastien Loeb et Sébastien Ogier de se former et se révéler. Sous l'impulsion de son père, qui lui rappelle qu'il s'agit à 25 ans sa dernière chance de participer[1], Éric remporte la sélection et devient lauréat pour la saison 2012, et peut enfin envisager une carrière en rallye[5].

En 2013, Éric intègre le Team Rallye Jeunes FFSA avec un programme de six manches du championnat de France en Citroën DS3 R1 et deux en DS3 R3. Il sera copiloté par Pierre-Marien Leonardi[1],[6]. Après une première moitié de saison d’apprentissage où il a pu avoir le rôle de voiture 00 ou voiture ouvreuse au Rallye de France-Alsace[6], il remporte deux succès de catégorie, au Rallye du Limousin[e 1], puis à celui du Mont-Blanc[e 2] devant également la les protagonistes de la renommée Cup Twingo. La suite de la saison se poursuit avec deux Top 10 et meilleur performer de sa catégorie au Critérium des Cévennes[e 3] et au Rallye du Var[e 4]. Deux malheureuses crevaisons lui enlèveront la victoire de classe R3 sur ces deux rallyes.

2014, formation accélérée

Aux Causses, Camilli découvre la terre avec brio en terminant 2eme de la coupe pour son 1er rallye terre.

L'année suivante, il s'engage en 208 Rally Cup[7] avec Pierre-Marien Leonardi pour copilote. Pour sa découverte des rallyes sur terre, Éric termine deuxième du Rallye Terre des Causses[e 5], avant de remporter, en mai, la manche suivante au Rallye du Limousin devant Stéphane Lefebvre[e 6] avec qui une amitié se crée. En juillet, il finit ensuite 2e au Rallye Terre de l’Auxerrois[e 7]. Éric ne prend pas part aux trois dernières manches de la 208 Rally Cup et terminera malgré tout troisième au classement final[8]. Son âge étant déjà avancé, il décide avec son préparateur Bernard Piallat de tout miser sur le rallye d'Allemagne sur une DS3 R3T dans le cadre du Junior WRC[9]. Inconnu, ce pari est payant puisqu'il termine leader avec de nombreux scratchs à l'issue de l'étape 1[10] avant d’abandonner le lendemain. Toyota Motorpsort le remarque et il est invité à participer à une sélection organisée en interne pour le retour en WRC en octobre. Ces concurrents sont, Kevin Abbring, Pontus Tiedmand, Stephane Lefebvre et Teemu Suninen. Eric sait que sa seule chance de devenir pilote professionnel se joue ici et maintenant. Sans expérience face à ses concurrents, il donne tout et se montre très rapide sur asphalte comme sur terre en découvrant de plus les voitures à 4 roues motrices. En novembre, il participe au Tour de Corse dans le cadre du championnat d'Europe des rallyes (ERC) en Peugeot 207 S2000[e 8]. Pour son 1er rallye en 4 roues motrices, il remporte le groupe « S2000 » et se classe 4e du rallye[11] à la bagarre avec les nouvelles générations de Peugeot 208 T16 R5 officielles de Kévin Abbring et Craig Breen. Fin novembre Éric est recruté par Toyota pour un contrat de 3 ans.


2015, direction le championnat du monde WRC-2

Rallye de Monte-Carlo 2015

En 2015, Toyota le lance en championnat du monde ou il participe au WRC-2 sur Ford Fiesta R5 du Team Oreca[12]. Il développe en parallèle la future Toyota Yaris WRC sur tous les terrains d’Europe aux côtés de Stéphane Sarrazin et Sebastian Lindholm.

En janvier, au Rallye de Monte-Carlo, Eric crève dans la première spéciale. Il se bat et fini 4e en WRC2 réalisant un tiers des meilleurs temps ce qui l’aidera à se faire connaître des écuries de WRC pour ses débuts [e 9],[13].

S'ensuit une année de découverte ou Éric se montre performant sur tous les terrains. Il finit 2e du rallye d'Allemagne[14] puis 3e au Tour de corse[15], son rallye de cœur. Il obtiendra son premier scratch sur terre en Sardaigne. Il sera trahi par sa mécanique en Espagne après avoir démontré une grosse pointe de vitesse face à l’armada Skoda[16]. En fin d’année, sur le point de remporter le rallye de Grande-Bretagne après avoir dominé les 2 premières étapes, un problème moteur dans la dernière spéciale lui empêcher de glaner sa première victoire en WRC2[17]. Il termine néanmoins 2eme d’un rallye qu’il découvrait.

2016-2017, pilote officiel !

Rallye de Monte-Carlo 2016.

Malcolm Wilson, impressionné par la vitesse de pointe et d'adaptation du Niçois en WRC2 le place en WRC pour la saison 2016 aux côtés de Mads Ostberg. Eric ne peut refuser une telle opportunité et décide de quitter l’aventure Toyota pour rentrer dans les rangs M-Sport.

Arrivé de manière fulgurante au plus haut niveau avec seulement 25 rallyes dans les bagages, le manque crucial d’expérience en rallye l'empêchera d'allier sa vitesse à la confiance.

Il finit 5e du rallye du Portugal, 6e du Tour de Corse et remporte son 1er temps scratch en Sardaigne[18], ainsi que de nombreux temps dans le top 3. Jamais distancé, il est en cette année 2016 constamment en bagarre avec son coéquipier Ostberg sur l'ensemble des rallyes de la saison notamment en Finlande ou en Pologne, pour une première apparition dans le championnat complet.

Sa vitesse de pointe sur tous types de terrains malgré des erreurs de jeunesse incite Malcolm Wilson à le garder sur la saison 2017. Il laisse Éric et Benjamin entamer le développement de la nouvelle WRC aux côtés de Ott Tanak. Mais l'arrivée de Sébastien Ogier en fin d’année suite à l’arrêt de Volkswagen en WRC place Éric en WRC2 pour 2017.

Il finit vice-champion du monde WRC2 avec 2 victoires et 4 podiums derrière Pontus Tiedmand et devant le Finlandais Teemu Suninen son équipier. Il perd la victoire au Mexique et en Espagne sur problèmes mécaniques, gagne en Sardaigne et l’Allemagne et se classe 2e en Finlande et en Grande-Bretagne[19].

Saisons 2018 - 2019 - 2020

La Polo GTI R5 succède à la Polo WRC


Debut 2018, Éric se fait recruter par l’écurie Volkswagen Motorpsort pour développer la nouvelle VW Polo GTI R5. Éric se passionne alors pour le développement de cette nouvelle voiture et réalise des milliers de kilomètres à son bord.

Durant l’année M-Sport l’aligne tout de même sur quelques manches du WRC2 ce qui permet à Éric de garder le contact avec la compétition. Il abandonne au Rallye Monte Carlo sur sortie de route alors qu’il occupait la première place et perd au rallye d’Allemagne une victoire promise sur abandon mécanique.

Après une saison de collaboration et de gros espoirs, Volkswagen Motorsport qui effectue son grand retour sur les rampes du WRC2 lui propose donc d’effectuer le lancement en competition de cette nouvelle née au Rallye d'Espagne. Il est accompagné de Peter Solberg. Après un 6e temps général au milieu des WRC dans la 1re spéciale, il rentre une nouvelle fois en leader au terme de la première journée sur terre, avant d'abandonner le lendemain sur problème mécanique (tringlerie de boite de vitesse).

Volkswagen ne poursuivant finalement pas un programme officiel l’année suivant, Éric manque de roulage.

Sans équipe, il réussit tant bien que mal à s’aligner au départ du Tour de Corse en , avec un team privé mais épaulé par l’ingénieur en chef de chez Volkswagen. Éric et François Xavier Buresi, son ami et nouveau copilote, réalisent ici un sans-faute avec la totalité des meilleurs temps du rallye. Malheureusement, leur Polo R5 brûlera sur un ennui mécanique proche de l’arrivée du rallye, leur enlevant la victoire[20]. Décidément la réussite ne tourne une fois de plus pas de son côté.

Cette performance l’aidera cependant à rebondir chez M-Sport en tant que pilote officiel. Il est au volant de la nouvelle Ford Fiesta MKII pour 2 courses et termine les deux fois sur le podium WRC2 Pro en Finlande et Allemagne[21] offrant à cette nouvelle voiture son 1er scratch dans la plus longue spéciale du rallye.

Cette bonne dynamique permettra à Éric également de retrouver une place officielle mais en qualité de pilote d’essais chez Citroën Racing sur la C3 WRC à partir de mai 2019. Eric prendra part à une journée complète de développement en amont de chaque épreuve du WRC. Aussi l’ecurie française lui propose de participer au Rallye d’Espagne 2019 à bord de la Citroën C3 R5. Éric remporte la course en WRC3 toujours en bagarre avec son rival Mads Østberg. De quoi potentiellement envisager une suite avec Citroën Racing à l'échelon supérieur. Quelques semaines plus tard, la marque aux chevrons annonce son retrait de la catégorie WRC1 pour se concentrer sur le développement de la C3 R5 Rally2.

Engagé par Citroën Racing et le Sainteloc racing team sur la saison 2020, il remporte une belle victoire de la catégorie R5 au Rallye Monte-Carlo 2020, prenant la tête de la course de la première à la dernière spéciale du rallye. Il voit ensuite son programme se réduire dû au COVID-19 avec une seule autre apparition en Sardaigne, écourtée sur problème mécanique.

2021, le défi du championnat de France

Au Rouergue, Camilli remporte sa première victoire en Championnat de France des Rallyes

2021 marque le retour à la compétition pour de nombreux équipages. Citroën Racing place Eric pour 3 courses officielles en WRC2 et annonce sa participation au Championnat de France des Rallyes Asphalte au sein du team PH Sport - Minerva Oil.

Cette saison en France permettra à Éric de retrouver son niveau d’avant Covid, et sera marquée par une victoire au 47e rallye du Rouergue avec son copilote Christopher Guieu[22],[23], sa première en championnat de France. Il récoltera d'autres accessits avec des podiums au rallye du Touquet et d'Antibes mais ne terminera pas le championnat faute de budget.

En WRC2, il termine troisième au Rallye Monte-Carlo 2021 et remporte le Rallye de Catalogne 2021 ce qui le relance.

2022, nouvel espoir

Citroën Racing renouvelle sa confiance en Éric Camilli et aligne le Niçois en WRC2 via le Saintéloc Junior Team. Leader au Monte-Carlo, une suspension endommagée l'empêche d'aller plus loin. Aligné au Croatie pour la manche suivante, une crevaison ruine ses espoirs de résultats alors qu'il était troisième provisoire.

Un problème électrique survenu avant même le premier chrono du Rallye du Portugal écourtera sa saison. Toujours motivé et ambitieux, Éric prépare un retour à la compétition en 2023.

Carrière de metteur au point

En parallèle des compétitions, Éric est régulièrement sollicité par les plus grandes écuries pour la mise au point de leurs voitures avant mise en circulation.

Ainsi en 2015, l’écurie Toyota Motorsport est désireuse de revenir sur la scène du championnat du monde des rallyes (WRC) en 2017. Elle repère le Niçois suite à ses performances au Rallye d'Allemagne face à d'autres pilotes observés et l'engage comme pilote-essayeur pour préparer cette échéance[24]. Il collabore au développement de la Toyota Yaris WRC qui récoltera 34 victoires en 67 rallyes.

En 2016, en parallèle de sa saison en tant que pilote officiel M-Sport, Éric développe le futur de la marque avec le changement de réglementation pour 2017. Il met au point la Ford Fiesta WRC 2017 qui s'imposera dès sa première apparition au Monte-Carlo 2017.

En 2018, Éric est sollicité pour son expérience en catégorie WRC2 pour mettre au point la nouvelle Polo GTI R5.

Ses résultats d'alors incitent le Citroën Racing à lui faire confiance pour peaufiner le niveau de performance de la C3 WRC en 2019. La même année, M-Sport fait de nouveau appel à ses services pour le développement de la nouvelle Fiesta, la Rally2 MKII.

Sur la période 2020-2022, Citroën Racing poursuit son parcours en faisant appel à Eric dans le développement de sa désormais voiture phare, la C3 Rally2. La voiture totalise 199 tous rallyes confondus.

Palmarès

  • 2013 : Vainqueur trophée Rallye Jeunes FFSA
  • Trophée DS3 R1 - Vainqueur au Rallye du Mont Blanc et du Limousin
  • 2014 : Peugeot 208 Rally Cup - Victoire au rallye du Limousin 2eme au Rallye Terre de Causses et au rallye Terre d’Auxerre.
  • Vainqueur sélection Toyota Motorsport
  • 2015 : Pilote Toyota en WRC2 - 2eme en rallye d’Allemagne, 3eme au Rallye de France, 2eme au Rallye de Grande Bretagne.
  • 2016 : Pilote officiel WRC M Sport - 5 eme au rallye du Portugal, 6eme au Rallye de France, 7eme en Argentine
  • 2017 : Pilote M-Sport WRC2 - Vice champion du monde WRC2 - Victoires aux Rallyes d’Italie et D’Allemagne.
  • 2018 : Pilote de développement de la Volkswagen Polo GTI R5
  • 2019 : Vainqueur Rallye d’Espagne WRC2
  • 2020 : Vainqueur du Rallye Monte Carlo WRC2
  • 2021 : Vainqueur du Rallye d’Espagne WRC2, Vainqueur du Rallye du Rouergue, 2eme du Rallye d’Antibes et du Rallye du Touquet.

Victoires

En France

# Année Rallye Catégorie Copilote Voiture
1 2013 Rallye Mont-Blanc Morzine R1 Pierre-Marien Leonardi Citroën DS3 R1

International

# Année Rallye Catégorie Copilote Voiture
1 2017 Rally Italia Sardegna WRC2 Benjamin Veillas Ford Fiesta R5

Notes et références

Références

  1. Julien R., « Éric Camilli, un futur grand », sur rallye-sport.fr, (consulté le ).
  2. « Éric Camilli », sur eWRC-results.com (en) (consulté le ).
  3. (en) Shacki, « Spéciales Rallye Régional Plan de la Tour 2008 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  4. « 10° Rallye Régional Plan de la Tour 2008 » (consulté le )
  5. « Les jeunes Espoirs FFSA : L'opération rallye jeunes » [PDF], sur kartmag.fr, (consulté le ), p. 1 / 2.
  6. « Éric Camilli : Membre du Team Rallye Jeunes FFSA », sur rallyejeunes.com, (consulté le ).
  7. Julien R., « Camilli s’engage en 208 Rally Cup », sur rallye-sport.fr, (consulté le ).
  8. Julien R., « Troisième victoire pour Audirac », sur rallye-sport.fr, (consulté le ).
  9. Éric Bellegarde, « Les débuts en Mondial d’Éric Camilli » (version du 6 juillet 2015 sur l'Internet Archive), sur Échappement, (consulté le ).
  10. (en) Shacki, « Eric Camilli - Maxime Vilmot - ADAC Rallye Deutschland 2014 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  11. Antoine Grenapin, « Rallye Tour de Corse : Éric Camilli, le retour au pays », sur Le Point, (consulté le ).
  12. Pierre Tassel, « Éric Camilli en action avec Toyota », sur Auto Hebdo, (consulté le ).
  13. « Rallye Jeunes FFSA en force au Monte-Carlo », sur rallyejeunes.com (consulté le ).
  14. (en) Shacki, « Eric Camilli - Benjamin Veillas - ADAC Rallye Deutschland 2015 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  15. (en) Shacki, « Eric Camilli - Benjamin Veillas - Tour de Corse 2015 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  16. (en) Shacki, « Eric Camilli - Benjamin Veillas - RallyRACC Catalunya - Costa Daurada 2015 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  17. (en) Shacki, « Eric Camilli - Benjamin Veillas - Wales Rally GB 2015 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  18. (en) Shacki, « Spéciales Rally Italia Sardegna 2016 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  19. (en) Shacki, « Saisons 2017 rally - eWRC-results », sur eWRC-results.com (consulté le )
  20. (en) Shacki, « Eric Camilli - François-Xavier Buresi - CORSICA Linea Tour de Corse 2019 », sur eWRC-results.com (consulté le )
  21. (en) Shacki, « Eric Camilli - rally profil eWRC-results.com », sur eWRC-results.com (consulté le )
  22. « Auto : le Niçois Éric Camilli remporte le 47e rallye du Rouergue », sur Centre Presse (Aveyron), (consulté le ).
  23. « 47e Rallye Aveyron Rouergue Occitanie – Camilli par KO », sur Ligue du Sport Automobile Occitanie Pyrénées, (consulté le ).
  24. « Le Niçois Éric Camilli nommé pilote-essayeur Toyota en WRC » , sur Nice-Matin, (consulté le ).

Références des performances

Afin d'éviter des répétitions dans les références, le site consulté est eWRC-results.com (en) (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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