1588 en santé et médecine

Chronologies

Données clés
Années : 1585 1586 1587 1588 1589 1590 1591 Décennies : 1550 1560 1570 1580 1590 1600 1610 Siècles : XV^e siècle XVI^e siècle XVII^e siècle Millénaires : I^er millénaire II^e millénaire III^e millénaire

Chronologies thématiques
Architecture • Arts plastiques • Droit • Littérature • Musique classique • Santé et médecine • Science •

Calendriers
Romain · Chinois · Grégorien · Julien · Hébraïque · Hindou · Hégirien · Persan · Républicain

Chronologie de la santé et de la médecine

Publications

Joachim Camerarius le Jeune (1534-1598) fait imprimer à Francfort, chez Johann Feherabend, son Hortus medicus et philosophicus[1]^,[2].
Gaspard Bauhin traduit en latin le Nouveau traité de l'hystérotokomotokie ou enfantement césarien (1581) de François Rousset (1535-1598[3]^,[4]).
Brice Bauderon (1540-1623) fait paraître une « Pharmacopée[5]^,[6] » promise à « un extraordinaire succès de librairie[7] ».
Parution de la Nosomantica Hyppocratea de Thomas Muffet (1553-1604[8]).

Naissances

21 janvier : Jean-Jacques Chifflet (mort en 1660), médecin, antiquaire et archéologue français[9].
13 mai : Ole Worm (mort en 1654), médecin et collectionneur danois[10].
10 décembre : Isaac Beeckman (mort en 1637), médecin, mathématicien, physicien et philosophe néerlandais[11].
Bartolomeo Ambrosini (mort en 1657), médecin et botaniste italien[12].
Pierre-Jean Fabre (mort en 1658), médecin et alchimiste français[13].
1588 ou 1603 : Adrian von Mynsicht (mort en 1638), médecin et pharmacien spagyrique allemand[14]^,[15].

Décès

24 février : Jean Wier (né en 1515 ou 1516), médecin flamand[16].
1^er mars : Jacques Daléchamps (né en 1513), médecin, botaniste et helléniste français, élève de Guillaume Rondelet (1507-1566) et de Jean Schyron († 1556), médecin de l'Hôtel-Dieu de Lyon[17]^,[18].
10 mars : Theodor Zwinger l'Ancien (né en 1533), savant et médecin suisse[19].
5 mai : Giorgio Biandrata (né vers 1520), médecin et réformateur religieux italien[20].
Johann Aicholz (de) (né vers 1520), médecin et botaniste autrichien[21].
Auger Ferrier (né en 1513), médecin et astrologue français[22].
Leonardo Fioravanti (né vers 1517), médecin italien[23].
Juan Huarte (né vers 1530), médecin et philosophe espagnol[24].
Julien Le Paulmier (né en 1520), médecin français[25].
Nicolas Monardes (né vers 1493), médecin et botaniste espagnol[26]^,[27].
Vers 1588 : Thomas Penny (né vers 1532), médecin et naturaliste anglais[28].
1587 ou 1588 : Juan Valverde de Amusco (en) (né en 1525), anatomiste espagnol[29]^,[30].
Après 1588 : Pierre Quthe (né en 1519), apothicaire parisien[31].

Références

Alain Touwaide, « L'Herbier de Camerarius (1534-1598) », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 80, n^o 295,‎ 1992, p. 427-428 (lire en ligne).
(la) Joachim Camerarius, Hortus medicus et philosophicus, in quo plurimarum stirpium breves descriptiones, novae icones non paucae, indicationes locorum natalium [etc.], Francfort-sur-le-Main, Johann Feyerabend, 1588, 184 p. (lire en ligne).
(la) François Rousset (trad. Gaspard Bauhin), Ysterotomotokia Francisci Rousseti, gallice primum edita, nunc vero Caspari Bauhini, medicinae doct[oris] et profess[oris] in acad[emia] Basiliensi, opera latine reddita, Basileae [à Bâle], apud Conr[adum] Valdkirch [chez Konrad von Waldkirch], ciↃ iↃ xiic [1588] (lire en ligne).
Louis Poisson, « Enseignement théologique et quelques observations obstétricales », Journal de médecine de l'Ouest, vol. 17, 2^e série, 7^e année,‎ 1^er trimestre 1883, p. 116 (lire en ligne) (avec une erreur de date).
Bauderon (Briçon), Paraphrase sur la pharmacopée, divisée en deux livres, avec une table des matières y traictées ; l'argument mis aux deux pages suyvantes declaire le contenu en icelle, à Lyon, par Benoist Rigaud, 1588.
Édition de 1623 : Brice Bauderon, Paraphrase sur la pharmacopée, divisée en deux livres, par M. Brice Bauderon, docteur en médecine, natif de la ville de Percy en Charrolois et à présent résident à Mascon, reveuë, corrigée et augmentée par l'auteur, ensemble un Traicté des eaux distillées, qu'un apothicaire doit tenir en sa boutique, faict par Laurens Catelan, maistre apothicaire de Montpellier, à Lyon, chez Pierre Rigaud et associés, m. dc. xxiii [1623] (lire en ligne).
Maurice Bouvet et Jean Volckringer, « Un extraordinaire succès de librairie : Les Éditions de la « Pharmacopée » de Bauderon », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 151,‎ 1959, p. 108-111 (lire en ligne).
(la) Thomas Muffet, Nosomantica Hippocratea, sive Hippocratis prognostica cuncta, ex omnibus ipsius scriptis methodice digesta, a mendis atque tautologiis pene infinitis repurgata, et majore quam hactenus studio ordineque disposita, Tho[masi] Movfeti Londinatis, angli opera et labore, Francofurdi [à Francfort], apud heredes Adreae Wecheli, Claudium Marnium & Joannem Aubrium [chez les héritiers d'André Wechel, Claude de Marne et Jean Aubry], anno mdlxxxviii [l'an 1588] (lire en ligne).
Bernard de Vregille, « Le Vesontio de Jean-Jacques Chifflet : Histoire d'une histoire », dans Autour de Chifflet : Des origines de l'érudition en Franche-Comté, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, coll. « Les Cahiers de la Maison des sciences et de l'environnement Ledoux » (n^o 6), 2007, 260 p. (ISBN 978-2-84867-819-1, lire en ligne), p. 113-144.
« Ole Worm (1588-1654) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 16 mai 2021)].
(fr + la + nl) Isaac Beeckman et Cornelis de Waard (éd.), Journal tenu par Isaac Beeckman, t. 1 : 1604-1619, La Haye, Digitale bibliotheek voor de Nederlandse letteren (DBNL), 2007 (1^re éd. La Haye, Martinus Nijhoff, 1939) (lire en ligne), « Vie de l'auteur », p. I-XXIV .
(en) « Bartolomeo Ambrosini », dans Encyclopedia Britannica, 1911 (lire en ligne).
Bernard Joly, « Traicté de la peste selon la doctrine des médecins spagyriques [présentation] », dans Histoire de la santé, Bibliothèques d'Université de Paris, 2 mai 2011 (lire en ligne).
« Adrian von Mynsicht (1588?-1638) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 17 mai 2021)].
« Mynsicht, Adrian von 1603-1638 », World Cat Identities, OCLC [lire en ligne (page consultée le 17 mai 2021)].
« Johann Wier (1515-1588) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 17 mai 2021)].
Philippe Bonnichon, Marine Fontaine et Jacqueline Vons, « La Chirurgie françoise de Jacques Dalechamps, commentateur de Paul d'Égine », Histoire des sciences médicales, vol. 52, n^o 1,‎ 2018, p. 91 et suiv. (lire en ligne).
Pierre Jacquet, « Les Botanistes lyonnais du XVI^e siècle », Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, vol. 65, n^o 5 (suppl.),‎ mai 1996, « Un philologue et simpliciste : Jacques Daléchamp », p. 13-52 (lire en ligne).
Eustache-Marie Courtin, Encyclopédie moderne, t. 24, La Haye, Th. Lejeune, 1824, 472 p. (lire en ligne), « Zwinger ou Zuinger (Théodore), dit l'Ancien », p. 338.
(it) Antonio Rotondò, « Biandrata, Giovanni Giorgio », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 10, Istituto Treccani, 1968 (lire en ligne).
(de) Karl Schadelbauer, « Aicholz (Aichholtz), Johann Emerich », dans Neue Deutsche Biographie, vol. 1, 1953 (lire en ligne), p. 117-118.
Charlotte Mendes, Les Portraits de la faculté Jules-Guesde à Toulouse (thèse pour le diplôme de docteur en médecine), Université Toulouse-III-Paul-Sabatier, 24 juin 2014 (lire en ligne), p. 22-24.
(it) Anna Mainardi, « Fioravanti, Leonardo », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 48, Istituto Treccani, 1997 (lire en ligne).
(es) « Huarte de San Juan, Juan », dans Gran Enciclopedia de Navarra, Fundación Bancaria Caja Navarra, 1990 (lire en ligne).
Adeline Gasnier, « Riolan : Savant en alchimie ? », Revue d'histoire des sciences, vol. 66, n^o 1,‎ 2013, p. 199-211 (lire en ligne, consulté le 3 novembre 2020).
Lefèvre, « Monardes Nicolas », dans Biographie médicale, vol. 6, Paris, C. L. F. Panckoucke, coll. « Dictionnaire des sciences médicales », 1824 (lire en ligne), p. 284.
Raymond Cantel, « [compte rendu, référence : (en) Charles Ralph Boxer, Two Pionneers of Tropical Medicine : Garcia d'Orta and Nicolas Monardes, Londres, The Hispanic and Luso-Brazilian Councils, 1963, 36 p.] », Bulletin hispanique, vol. 67, n^o 1-2,‎ 1965, p. 200-201 (lire en ligne).
(en) Martine Lister et Anna Marie Roos (éd. et trad.), The Correspondance of Dr. Martin Lister (1639-1712), vol. 1 : 1662-1677, Leyde, Brill, coll. « History of science and medicine library » (n^o 48), 2015, 942 p. (ISBN 978-90-04-22553-4, lire en ligne), p. 98, n. 12.
Juan Valverde (1525?-1588?), sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 15 mai 2021)].
(en) « Juan de Valverde de Amusco's Anatomia del corpo humano, Rome, 1559 », dans Ars anatomica : Imaging the Renaissance Body, Édimbourg, University Library et Royal College of Physicians, 1^er septembre 2004 (lire en ligne).
Paul Dorveaux, « Pierre Quthe, maître apothicaire de Paris : Son portrait peint par François Clouet », Bulletin de la Société française d'histoire de la médecine, n^o 7,‎ 2908, p. 86-99 (lire en ligne).

Portail de la médecine
Portail de la Renaissance

Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.

[1] Alain Touwaide, « L'Herbier de Camerarius (1534-1598) », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 80, n^o 295,‎ 1992, p. 427-428 (lire en ligne).

[2] (la) Joachim Camerarius, Hortus medicus et philosophicus, in quo plurimarum stirpium breves descriptiones, novae icones non paucae, indicationes locorum natalium [etc.], Francfort-sur-le-Main, Johann Feyerabend, 1588, 184 p. (lire en ligne).

[3] (la) François Rousset (trad. Gaspard Bauhin), Ysterotomotokia Francisci Rousseti, gallice primum edita, nunc vero Caspari Bauhini, medicinae doct[oris] et profess[oris] in acad[emia] Basiliensi, opera latine reddita, Basileae [à Bâle], apud Conr[adum] Valdkirch [chez Konrad von Waldkirch], ciↃ iↃ xiic [1588] (lire en ligne).

[4] Louis Poisson, « Enseignement théologique et quelques observations obstétricales », Journal de médecine de l'Ouest, vol. 17, 2^e série, 7^e année,‎ 1^er trimestre 1883, p. 116 (lire en ligne) (avec une erreur de date).

[5] Bauderon (Briçon), Paraphrase sur la pharmacopée, divisée en deux livres, avec une table des matières y traictées ; l'argument mis aux deux pages suyvantes declaire le contenu en icelle, à Lyon, par Benoist Rigaud, 1588.

[6] Édition de 1623 : Brice Bauderon, Paraphrase sur la pharmacopée, divisée en deux livres, par M. Brice Bauderon, docteur en médecine, natif de la ville de Percy en Charrolois et à présent résident à Mascon, reveuë, corrigée et augmentée par l'auteur, ensemble un Traicté des eaux distillées, qu'un apothicaire doit tenir en sa boutique, faict par Laurens Catelan, maistre apothicaire de Montpellier, à Lyon, chez Pierre Rigaud et associés, m. dc. xxiii [1623] (lire en ligne).

[7] Maurice Bouvet et Jean Volckringer, « Un extraordinaire succès de librairie : Les Éditions de la « Pharmacopée » de Bauderon », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 151,‎ 1959, p. 108-111 (lire en ligne).

[8] (la) Thomas Muffet, Nosomantica Hippocratea, sive Hippocratis prognostica cuncta, ex omnibus ipsius scriptis methodice digesta, a mendis atque tautologiis pene infinitis repurgata, et majore quam hactenus studio ordineque disposita, Tho[masi] Movfeti Londinatis, angli opera et labore, Francofurdi [à Francfort], apud heredes Adreae Wecheli, Claudium Marnium & Joannem Aubrium [chez les héritiers d'André Wechel, Claude de Marne et Jean Aubry], anno mdlxxxviii [l'an 1588] (lire en ligne).

[9] Bernard de Vregille, « Le Vesontio de Jean-Jacques Chifflet : Histoire d'une histoire », dans Autour de Chifflet : Des origines de l'érudition en Franche-Comté, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, coll. « Les Cahiers de la Maison des sciences et de l'environnement Ledoux » (n^o 6), 2007, 260 p. (ISBN 978-2-84867-819-1, lire en ligne), p. 113-144.

[10] « Ole Worm (1588-1654) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 16 mai 2021)].

[11] (fr + la + nl) Isaac Beeckman et Cornelis de Waard (éd.), Journal tenu par Isaac Beeckman, t. 1 : 1604-1619, La Haye, Digitale bibliotheek voor de Nederlandse letteren (DBNL), 2007 (1^re éd. La Haye, Martinus Nijhoff, 1939) (lire en ligne), « Vie de l'auteur », p. I-XXIV .

[12] (en) « Bartolomeo Ambrosini », dans Encyclopedia Britannica, 1911 (lire en ligne).

[13] Bernard Joly, « Traicté de la peste selon la doctrine des médecins spagyriques [présentation] », dans Histoire de la santé, Bibliothèques d'Université de Paris, 2 mai 2011 (lire en ligne).

[14] « Adrian von Mynsicht (1588?-1638) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 17 mai 2021)].

[15] « Mynsicht, Adrian von 1603-1638 », World Cat Identities, OCLC [lire en ligne (page consultée le 17 mai 2021)].

[16] « Johann Wier (1515-1588) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 17 mai 2021)].

[17] Philippe Bonnichon, Marine Fontaine et Jacqueline Vons, « La Chirurgie françoise de Jacques Dalechamps, commentateur de Paul d'Égine », Histoire des sciences médicales, vol. 52, n^o 1,‎ 2018, p. 91 et suiv. (lire en ligne).

[18] Pierre Jacquet, « Les Botanistes lyonnais du XVI^e siècle », Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, vol. 65, n^o 5 (suppl.),‎ mai 1996, « Un philologue et simpliciste : Jacques Daléchamp », p. 13-52 (lire en ligne).

[19] Eustache-Marie Courtin, Encyclopédie moderne, t. 24, La Haye, Th. Lejeune, 1824, 472 p. (lire en ligne), « Zwinger ou Zuinger (Théodore), dit l'Ancien », p. 338.

[20] (it) Antonio Rotondò, « Biandrata, Giovanni Giorgio », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 10, Istituto Treccani, 1968 (lire en ligne).

[21] (de) Karl Schadelbauer, « Aicholz (Aichholtz), Johann Emerich », dans Neue Deutsche Biographie, vol. 1, 1953 (lire en ligne), p. 117-118.

[22] Charlotte Mendes, Les Portraits de la faculté Jules-Guesde à Toulouse (thèse pour le diplôme de docteur en médecine), Université Toulouse-III-Paul-Sabatier, 24 juin 2014 (lire en ligne), p. 22-24.

[23] (it) Anna Mainardi, « Fioravanti, Leonardo », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 48, Istituto Treccani, 1997 (lire en ligne).

[24] (es) « Huarte de San Juan, Juan », dans Gran Enciclopedia de Navarra, Fundación Bancaria Caja Navarra, 1990 (lire en ligne).

[25] Adeline Gasnier, « Riolan : Savant en alchimie ? », Revue d'histoire des sciences, vol. 66, n^o 1,‎ 2013, p. 199-211 (lire en ligne, consulté le 3 novembre 2020).

[26] Lefèvre, « Monardes Nicolas », dans Biographie médicale, vol. 6, Paris, C. L. F. Panckoucke, coll. « Dictionnaire des sciences médicales », 1824 (lire en ligne), p. 284.

[27] Raymond Cantel, « [compte rendu, référence : (en) Charles Ralph Boxer, Two Pionneers of Tropical Medicine : Garcia d'Orta and Nicolas Monardes, Londres, The Hispanic and Luso-Brazilian Councils, 1963, 36 p.] », Bulletin hispanique, vol. 67, n^o 1-2,‎ 1965, p. 200-201 (lire en ligne).

[28] (en) Martine Lister et Anna Marie Roos (éd. et trad.), The Correspondance of Dr. Martin Lister (1639-1712), vol. 1 : 1662-1677, Leyde, Brill, coll. « History of science and medicine library » (n^o 48), 2015, 942 p. (ISBN 978-90-04-22553-4, lire en ligne), p. 98, n. 12.

[29] Juan Valverde (1525?-1588?), sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 15 mai 2021)].

[30] (en) « Juan de Valverde de Amusco's Anatomia del corpo humano, Rome, 1559 », dans Ars anatomica : Imaging the Renaissance Body, Édimbourg, University Library et Royal College of Physicians, 1^er septembre 2004 (lire en ligne).

[31] Paul Dorveaux, « Pierre Quthe, maître apothicaire de Paris : Son portrait peint par François Clouet », Bulletin de la Société française d'histoire de la médecine, n^o 7,‎ 2908, p. 86-99 (lire en ligne).