1851 en philosophie
L’année 1851 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :
Publications
- Début de la publication du Système de politique positive d'Auguste Comte, paru en quatre volumes de 1851 à 1854.
- Essai sur les fondements de nos connaissances et sur les caractères de la critique philosophique d'Antoine-Augustin Cournot.
- Vorlesungen über das Wesen der Religion, XX. Vorlesung (Cours sur l'Essence de la religion, XXe cours) de Ludwig Feuerbach.
- Essai sur les limites de l'action de l'État (en allemand : Ideen zu einem Versuch die Grenzen der Wirksamkeit des Staates zu bestimmen), du philosophe allemand Wilhelm von Humboldt, écrit en 1792 : il ne put être imprimé en raison des difficultés économiques liées à la guerre et l'ouvrage paraît seulement en 1851, après la mort de l'auteur[1].
- L’Idée générale de la révolution au xixe siècle de Pierre-Joseph Proudhon.
- Parerga et Paralipomena (« Suppléments et omissions » en grec), recueil d'Arthur Schopenhauer.
Naissances
- 17 mai : François Picavet, philosophe français, spécialiste de Kant, mort en 1921.
- 8 août : Jules Lagneau, philosophe français, mort en 1894.
- 28 juillet : Theodor Lipps, philosophe allemand connu pour ses travaux sur l'empathie, mort en 1914.
- 26 août : Émile Boirac, philosophe français, mort en 1917.
Décès
- x
Notes et références
- Édouard Laboulaye, L'État et ses limites, 1863, p. 49.
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