Ailéan mac Ruaidhrí

Ailéan mac Ruaidhrí (mort vers 1296) est un personnage notable du XIIIe siècle dans le royaume de Man et des Îles ainsi que dans le royaume d'Écosse. Il est le fils de Ruaidhri mac Raghnaill, et un membre du Clan MacRuari lignée du Clan Somhairle. Ailéan est un frère de Dugald MacRuairi, roi d'Argyll et des Îles, un souverain important qui exerce le pouvoir au milieu du XIIIe siècle. À cette époque les souverains des Isles maintenaient une indépendance sourcilleuse vis-à-vis de la couronne d'Écosse, et entretenaient une allégeance nominale avec la lointaine couronne de Norvège. En 1259, la fille de Dubhghall épouse le fils du roi de Connacht, et Ailéan est célébré pour avoir offert les dots des épouses de cent soixante guerriers gallowglass.[note 1]

Ailéan mac Ruaidhrí
Les noms d'Ailéan et de son frère Dubhghall, tels qu'ils apparaissent sur le folio 122v AM 45 fol duCodex Frisianus : vieux norrois « Aleinn broðir Dvggals konvngs »[1]. L'excerpt note le royaume des frères et intitule Dubhghall roi.
Fonctions
Scottish clan chief (en)
Membre du Parlement d'Écosse
Biographie
Famille
Père
Ruaidhri mac Raghnaill ou Dugall MacRuari of Gamorgan (d)
Fratrie
Enfants

Quand la Couronne écossaise commence à empiéter sur l'indépendance des Îles dans la décennie 1260, Dubhghall et Ailéan font partie des partisans de la cause norvégienne. Ils jouent tous deux un rôle capital dans la guerre écosso-norvégienne de 1263. Après l'échec de leur intervention lors des opérations militaires et la mort du roi Håkon IV de Norvège, les Norvégiens acceptent d'abandonner les Îles aux Écossais. Alors que Dubhghall résiste encore aux scots à la fin de la décennie, Ailéan et la majorité des membres du Clann Somhairle s'intègrent dans le royaume d'Écosse. C'est ainsi qu'ils participent à la répression de la révolte de l'Île de Man en 1275, ainsi qu'au Parlement et aux Conseils qui délibèrent sur la succession de la couronne écossaise ; ce qui implique clairement l'intégration du Clann Somhairle dans le royaume.

Clann Ruaidhrí

Ailéan et son frère, Dubhghall (mort en 1268), sont les fils de Ruaidhrí mac Raghnaill, seigneur de Kintyre (mort en 1247?)[19]. Ce dernier est l'éponyme du Clann Ruaidhrí, une lignée du Clann Somhairle[20].

Dans la seconde décennie du XIIIe siècle, Ruaidhrí mène des opérations militaires en Irlande conjointement avec Thomas de Galloway, comte d'Atholl (mort en 1231), frère cadet de Alan de Galloway (mort en 1234)[21]. Les relations étroites entre ces familles sont à l'origine de l'utilisation du nom d'Ailéan[22].[note 2]

En 1247, un certain Mac Somhairle peut-être Ruaidhrí lui-même est tué en combattant une invasion anglaise dans le royaume de Tír Chonaill[25]. L'année suivante, le frère d'Ailéan et Eóghan Mac Dubhghaill (mort c.1268×1275), un parent du Clann Somhairle se rendent dans le royaume de Norvège, les deux hommes réclament la royauté sur les Suðreyjar du nord à Håkon IV de Norvège (mort en 1263)[26].

Bien que la totalité du terme Suðreyjar comprennent les Hébrides et l'Île de Man[27], l'étendu de la juridiction réclamée par Dubhghall et Eóghan reste imprécise. Car par exemple, les îles des Hébrides du nord de Lewis et Harris ainsi que Skye sont détenues par la dynastie de Godred Crovan, alors représentée par Haraldr Óláfsson, roi de Mann et des Isles (mort en 1248)[28]. Il est probable que Eóghan et Dubhghall cherchent à obtenir la même souveraineté que celle qu' Hákon avait accordée à Uspak Haakon (mort en 1231) une décennie auparavant; une région qui devait inclure tout ou partie des îles possédées par le Clann Somhairle[29]. En fait il, est possible que les événements susmentionnés de 1247 et 1248 étaient restés en mémoire[30], et que Dubhghall et Eóghan cherchaient à rétablir la position des Mac Somhairle dans les Îles[31].

C'est uniquement après la mort imprévue d'Haraldr en 1248 que Hákon envoie Eóghan outremer dans ses possessions occidentales pour prendre le royaume des Isles sous sa garde[32]. Eóghan, n'est toutefois pas seulement un vassal norvégien dans les Îles mais également un éminent magnat écossais sur la terre ferme[33]. Alors même que la couronne d'Écosse a déjà tenté d'acquerir les îles plus tôt dans la décennie[34],

L'acceptation par Eóghan du mandat d'Hákon conduit le roi Alexandre II d'Écosse (mort en 1249) à entreprendre une invasion de l'Argyll lors de l'été 1249, menaçant directement le cœur de la seigneurie du Clann Dubhghaill[35]. La crise qui s'annonçait se clôt finalement avec la mort du roi écossais en [36].

Eóghan semble avoir été totalement dépossédé par les Écossais à la suite de leur invasion[37]. En fait, sa dépossession apparente peut bien avoir renversé la hiérarchie dans le Clann Somhairle[38]. C'est ainsi qu'une entrée particulière conservée par les annales islandaises stipule que, Dubhghall lui-même « prit la royauté » dans les îles[39].Ce récit peut révéler que Dubhghall et Eóghan partageaient la royauté dans les Hébrides[40], ou que Dubhghall assumait la royauté à la place d'Eóghan sévèrement affaibli[41].

Armoiries de Hákon Hákonarson représentées sur le folio 216v du Cambridge Corpus Christi College Parker Library 16II (Chronica Majora)[42].[note 3]

Seigneur de la guerre Gallowglass

En 1258, le frère d'Ailéan mène des opérations militaires contre les Anglais au Connacht[45]. La même année une extraordinaire assemblée rassemble Aodh na nGall Ó Conchobhair (mort en 1274), Tadhg Ó Briain (mort en 1259), et Brian Néill, roi de Tír Eoghain (mort en 1260)[46]. C'est lors de cette convention à Caol Uisce sur la rivière Erne, que Aodh, fils du roi de Connacht et Tadhg fils du roi de Thomond renoncent à leur prétention sur le titre d'Ard rí Érenn en faveur de Brian, qui est proclamé Haut roi[47]. Ce dernier était alors en pleine campagne contre un comté d'Ulster anglais, temporairement affaibli, et étroitement allié à Aodh dans cette affaire[48].

L'année suivante, les Annales de Connacht, les Annales de Loch Cé, et les Annales des quatre maîtres relèvent que Aodh se rend à Derry, épouse une fille de Dubhghall, et de ce fait reçoit une dot qui comprend 160 guerriers gallowglass commandés par Ailéan lui-même[49]. Ailéan est, de ce fait l'un des premiers guerriers connus de ce type[50].[note 4] L'alliance matrimoniale est conclue dans le principal port du royaume de Brian, l'endroit indique que l'union ainsi que l'assemblée précitée et les opérations navales de l'année précédentes font partie d'un plan coordonné pour attaquer les intérêts anglais dans le nord-ouest de l'Irlande[55].

Malheureusement pour les conférés, Tadhg meurt dès 1259, et les forces combinées de Aodh et de Brian sont écrasées lors de la bataille de Druim Dearg près de Downpatrick en 1260, où Brian est de plus tué[56]. Malgré cette catastrophe, le phénomène des puissants seigneurs irlandais qui importants des mercenaires lourdement armés des îles et de l'ouest de l'Ecosse prend de l'importance à la fin du siècle[57], et contribue compenser l'infériorité militaire des troupes irlandaises autochtones sur les forces anglaises[58].Généralement, les chevaliers anglais étaient supérieurs aux cavaliers irlandais relativement légèrement armés et les Gallowglasses combattaient en formations de manière à contre carrer les charges dévastatrices des chevaliers[59]. La dot du Clann Ruaidhrí composée de ces guerriers à peut-être combattu lors de la bataille à Downpatrick[60], bien que le fait que les forces de Brian aient été défaites par les levées locales anglaises démontre peu à leurs capacités guerrières[61].La position d'Ailéan à la tête d'une telle unité était peut-être similaire à celle du Mac Somhairle, qui 65 ans aurait très bien pu mener des Gallowglass au moment de sa mort[62],[63],

Magnat norvégien

Après la mort précitée d'Alexandre II en 1249, l'invasion écossaise de l'Argyll et des Îles s'interrompt de manière abrupte. Environ une décennie plus tard le fils et successeur de ce dernier, Alexandre III (mort en 1286), devient majeur et reprend la politique d'expansion vers l'ouest de son père[64]. En 1261, la couronne écossaise envoie en Norvège une offre d'achat des Hébrides à Hákon. Après le rejet de cette proposition par les Norvégiens, les Scots reprennent leurs agressions contre les habitants des îles et l'on relève une attaque particulièrement sauvage contre Skye[65]. Cette provocation incite, Hákon à rassembler une flotte énorme; descrite par les sagas islandaises et les annales comme la flotte la plus importante ayant jamais pris la mer de Norvège[66] afin de réaffirmer la suzeraineté norvégienne le long de la côte nord et ouest de l'Écosse[67].[note 5] En , cette armada s'embarque en Norvège, et à la mi-août, Hákon réaffirme sa souveraineté sur les Shetland et le comté des Orcades, obligeant à la soumission le comte de Caithness, et arrive aux Hébrides[69].

Au début de septembre, la flotte d'Hákon et des hommes des Îles entre dans le Firth of Clyde[70]. Après l'échec des négociations entre les plénipotentiaires écossais et les Norvégiens, la Hákonar saga Hákonarsonar du XIIIe siècle, indique que Hákon envoie un détachement de navires dans le Loch Long, sous le commandement de Magnús Óláfsson, roi de Man et des Îles (mort en 1265), Dubhghall, Ailéan, Angus Mór MacDonald (mort en c.1293), et Murchadh Mac Suibhne (mort en 1267)[71]. Selon les différentes versions de la saga, ce contingent est constitué de 40 ou de 60 vaisseaux; soit une part considérable de la flotte d'Hákon[72].

À partir du Loch Long, la saga relève que ce détachement est transporté sur environ 2,5 km entre Arrochar à Tarbet, pour atteindre le Loch Lomond, et ravage les environs de la région du Lennox[73].[note 6] L'action d'Ailéan est particulièrement glorifiée par la saga qui indique qu'il capture 100 têtes de bétail et cause de nombreuses destructions sur la terre ferme écossaise[75]. Le fait est corroboré par les documents écossais, puisque le journal de comptes de l’Échiquier rapporte une somme payée comme rançon du château de Stirling à l'époque où les Norvégiens étaient dans la région[76].

Pendant ce temps, au début d'octobre, la force principale d'Hákon rencontre les écossais à Largs, puis se retire dans les Hébrides[77]. Une fois les forces norvégiennes regroupées avec le détachement des Hommes des Îles, la saga indique que Hákon récompense ses partisans étrangers. Comme Eóghan avait refusé de soutenir la cause des Norvégiens, Dubhghall et Ailéan se voient attribuer ses territoires insulaires déchus. Un certain Ruðri (fl. 1263) est mentionné comme ayant obtenu Bute, pendant que Murchadh reçoit Arran. Aonghus Mór; qui n'est pas identifié par ailleurs est l'un des bénéficiaires et reçoit la possession d'Islay[78].[note 7]

Bien que la saga déclare que l'opération est un triomphe écrasant, il semble en fait qu'elle se soit achevée par un échec total[81]. Non seulement Hákon a échoué à briser le pouvoir écossais, mais Alexandre III reprend l'initiative l'année suivante, et entreprend une série d'attaques sur les Îles et l'Écosse du nord. Reconnaissant cette désagrégation de son autorité royale, Magnús Óláfsson se soumet à Alexandre III la même année[82], et concrétise ainsi la complète disparition de la souveraineté norvégienne sur les Îles[83]. D'autre part Dubhghall, contrairement à de nombreux de ses compatriotes des Îles refuse de se soumettre au pouvoir royal écossais[84]. En 1266, près de trois ans après la campagne avortée de Hákon, des accords de paix sont finalement conclus entre les administrations écossaises et norvégiennes. Ils se concrétisent en juillet par le Traité de Perth par lequel le fils et successeur d'Hákon, Magnús Hákonarson, roi de Norvège (mort en 1280), renonce formellement à ses droits sur l'Île de Man et les Îles de la côte ouest de l'Écosse. De ce fait le conflit sur les établissements de la région maritime de l'ouest de l'Écosse s'achève[85].

Magnat écossais

À la suite de l'acquisition des îles par les Écossais et de la mort de Dubhghall au cours de la décennie, le Clann Ruaidhrí disparait des sources historiques écossaises. Lorsque la lignée réémerge en 1275, c'est en la personne d'Ailéan lui-même, qui est devenu un important magnat écossais[86], et le représentant du Clann Ruaidhrí[87]. Cette année là les continuateurs de l' Historia rerum Anglicarum, des Chroniques de Man, et de la Chronique de Lanercost révèlent que Guðrøðr Magnússon (fl. 1275), un fils illégitime de Magnús Óláfsson, déclenche une révolte dans l'Île de Man contre la couronne écossaise[88]. Alexandre III réagit en envoyant une flotte originaire des Hébrides et du Galloway, envahir l'île et restaurer l'autorité royale. Parmi les commandants, la continuation de l' Historia rerum Anglicarum mentionne que deux d'entre eux sont des membres du Clann Somhairle: Alasdair Mac Dubhghaill, seigneur d'Argyll (mort en 1310), et Ailéan lui-même[89].[note 8]

Les deux hommes ont presque sûrement été responsables de l'approvisionnement et de la direction de l'armée des Hébrides et de l'Argyll, et peuvent avoir fourni la flotte qui a transporté les forces écossaises à Man[93]. Selon les sources postérieures les Scots traitent rudement les rebelles[94]. Malgré l'apparent facilité à en venir à bout de la révolte des Manxois représentait une grave menace pour l'autorité écossaise, ce qui explique à l'évidence l'importante de la réaction des Scots[6]. En fait l'importance du Clann Somhairle dans cette campagne comme agent de l'autorité écossaise indique clairement l'étendu de l'intégration de la lignée dans le royaume d'Écosse[95]. Les magnats de l'ouest comme Ailéan sont rarement présents à la cour royale d'Écosse, toutefois à certaines occasions ils participent aux affaires importantes de l'État[96]. Par exemple, en 1284, Ailéan est parmi ceux qui sont présents au conseil de gouvernement de Scone qui reconnait Margaret, La Jeune fille de Norvège (morte en 1290), petite-fille d'Alexandre III, comme héritière légitime du roi[97]. La présence d'Ailéan, et de deux représentants du Clann Somhairle son parent précité Alasdair et Aonghus Mór illustre l'implication de la lignée dans les affaires du royaume d'Écosse[98].[note 9]

Bien qu'il soit possible que la base territoriale du pouvoir de Dubhghall soit localisée dans le Garmoran (en)[100] et peut-être à Uist (en)[51], on ignore comment ses territoires sont entrés dans ses possessions famililaes[101]. Les chefs postérieurs du Clann Ruaidhrí les possédèrent certainement mais, mais la preuve de leur détention avant le milieu du XIIIe siècle fait défaut. En théorie, ces domaines devaient avoir été obtenus par la lignée après l'acquisition par les Scots des Îles en 1266[102]. D'un autre côté leur position familiale dans les îles doit avoir été confortée par des alliances matrimoniales avec la dynastie de Godred Crovan, une parenté née à une époque antérieure à l'expulsion de Ruaidhrí du Kintyre[103]. Si la famille a en effet acquis Uist après les événements de 1266, elle pourrait éclairer davantage le rôle d'Ailéan dans la répression de la révolte Manx précitée environ dix ans plus tard[104]. Quoi qu'il en soit, il n'est attribué aucun titre à Ailéan dans les sources contemporaines[105].[note 10] En 1293, le parlement de Jean Balliol roi d'Écosse (mort en 1314) institue un ensemble de sheriffdoms (en) le long des côtes ouest du royaume[107]. Les Îles des Hébrides de Lewis et Harris, Skye, Uist (en), Barra, Eigg, Rhum, et les Îles Small, furent incorporées dans le Sheriffdom de Skye nouvellement crée et administré par William II comte de Ross (mort en 1323)[108]. En fait, c'est les conflits successifs avec la famille comtale de Ross au siècle suivant qui mène à la dépossession finale du Clann Ruaidhrí[105]. In 1285/1286, un serviteur de la couronne d'Espagne fait appel à Alexandre III, en accusant Ailéan de piraterie dans les Hébrides[109].

Ailéan disparaît des sources avant 1296[110],et il semble qu'il soit mort avant cette date[111]. Après sa mort mais avant celle d'Alexandre III[112], sa veuve Isabella épouse Ingram de Umfraville (mort vers 1321×) en secondes noces[113]. Ailéan avait trois enfants: ses fils Lachlann (fl. 1297–1307/1308) et Ruaidhrí (mort en 1318?)[114] étaient illégitimes[115], alors que sa fille Christina ou Cairistíona (en) (fl. 1290–1318)[114] était légitime[116]. Il est possible que la mère de Cairistíona soit Isabella[112]. Bien que Cairistíona semble avoir été l'héritière d'Ailéan, elle est supplantée par ses demi-frères peu après sa mort[117]. Les descendants d'Ailéan continuent à intervenir dans l'histoire de l'Écosse jusqu'au XIVe siècle[118].

Notes
  1. Depuis la décennie 1970, les chercheurs ont attribué à Ailéan divers noms patronymiques dans les sources secondaires en anglais : Ailín MacRory[2], Alain mac Ruaidrí[3], Alan mac Ruaidhri[4], Alan Mac Ruaidhri[5], Alan mac Ruaidri[6], Alan Mac Ruaidrí[7], Alan mac Ruairi[8], Alan mac Ruari[9], Alan Mac Sorley[10], Alan MacRuadrí[11], Alan MacRuadri[11], Alan Macruaidhri[12], Alan MacRuairi[13], Alan MacRuairidh[14], Alan macRuari[9], Alan MacRuaridh[15], Alan Macruarie[16], Aleinn mac Ruaidhrí[17], et Allan mac Ruairi[18].
  2. Le père d'Alan et de Thomas est , Roland seigneur de Galloway (mort en 1200). L'acceptation par Roland' du nom d'Alan pour son fils aîné démontre le développement de l'influence française dans sa famille[23]. Au cours du XIIe siècle sa lignée s'implique de plus en plus dans des relations avec les familles originaires de l'Europe continentale[24].
  3. les armoiries sont blasonnées: de gueules, avec trois navires ornés de têtes de dragons d'or, l'un au-dessus de l'autre[43]. Les armoiries sont celle du couronnement d'Hákon, et elles sont associées avec un commentaire en latin: "Scutum regis Norwagiae nuper coronati, qui dicitur rex Insularum"[42]. Les armoiries mises en exergue par Matthieu Paris (mort en 1259), un personnage qui a rencontré Hákon en 1248/1249, l'année suivant le couronnement du roi. L'emphase avec laquelle Matthew décrit la puissance navale du royaume de Norvège est représentée dans l'héraldique attribuée à Hákon[44].
  4. Cette dot semble semblable à celle attribuée à la fiancée du parent postérieur de Dubhghall, Angus Og MacDonald (mort vers 1314×1318/c.1330)[51]. Selon la tradition des Hébrides conservée dans l'ouvrage du XVIIIe siècle Livre de Clanranald et dans la Sleat History, la fiancée, Áine Ní Chatháin, était conduite à son époux par une remarquable troupe d'irlandais[52]. la première mention du terme "gallowglass" (gaélique gallóglach) concerne des événements de 1290[53]. Les sources antérieures qui évoquent le mariage de la fille de Dubhghall n'identifient pas spécialement les guerriers gallowglasses, ils sont en fait dénommés gaélique: óglaigh, un terme qui semble se référer aux gallowglasses dans ces circonstances particulières[54].
  5. Particulièrement selon les termes de la Hákonar saga Hákonarsonar, Hákon tente de "venger les actes de guerre que les Scots ont commis contre ses possessions"[68].
  6. Bien que le nom de lieu Tarbet soit traduit communément par « place de portage » dans le récit de la sage il signifie plutôt « isthme »[74].
  7. Ruðri doit être un descendant de Óspakr-Hákon[79], ou du frère du père d' Ailéan, Ruaidhrí[80].
  8. L'entrée des annales note le nom d' Ailéan en Latin sous la forme "Alanus filius Rotheri"[90]. Alasdair apparaît pour la première fois en 1275[91]. L'expédition a pour lui à l'évidence un prétexte personnel car sa sœur est la veuve du père de Guðrøðr[92].
  9. Les trois sont les derniers magnats à être listés dans l'ordre du document[99].
  10. Il y a des raisons de penser que le titre gaélique: rí Innsi Gall, porté à un chef apparemment du Clann Ruaidhrí en 1318 concerne un personnage identifiable comme un possible fils de Ailéan et que la seigneurie d'Ailéan a fait partie de leur héritage[106].

Références
  1. Unger (1871) p. 576 ch. 331; AM 45 Fol (n.d.).
  2. Simms (1996).
  3. Duffy (1991).
  4. Duffy (2007).
  5. McDonald (1995).
  6. Oram (2000).
  7. Duffy (1993).
  8. Holton (2017); Brown (2011); Sellar (2000).
  9. Roberts (1999).
  10. Walton (1980).
  11. Pollock (2015).
  12. Young (1990); Barrow (1981).
  13. Beam (2012); Findlater (2011); McDonald (2006); Brown (2004); McQueen (2002); McDonald (1997).
  14. McQueen (2004).
  15. Jack (2016); Oram (2003).
  16. Young; Stead (2010); Barrow (1981); Barrow (1973).
  17. Power (2005).
  18. Brown (2004).
  19. Holton (2017) p. viii fig. 2; Fisher (2005) p. 86 fig. 5.2; Brown (2004) p. 77 tab. 4.1; Sellar (2000) p. 194 tab. ii; Roberts (1999) p. 99 fig. 5.2; McDonald (1997) p. 258 genealogical tree ii; Munro; Munro (1986) p. 279 tab. 1; Rixson (1982) p. 14 fig. 1.
  20. Holton (2017) pp. 126–127; Duffy (2007) p. 10; McDonald (2007) p. 110; Raven (2005) p. 56; Dalglish (2003) p. 158.
  21. Duffy (2007) p. 10 n. 43; Duffy (1991) p. 68.
  22. Duffy (2007) p. 10 n. 43; Duffy (1993) p. 77 n. 61.
  23. MacQueen (2003) p. 73; MacQueen (1997) p. 18.
  24. MacQueen (1997) p. 18.
  25. Oram (2013) ch. 6; Woolf (2007) p. 77; Power (2005) p. 46; Brown (2004) pp. 80–81; Duffy (2004) p. 47; Woolf (2004) p. 108; Verstraten (2003) p. 36 n. 131; Sellar (2000) pp. 200–201; Bartlett (1999) p. 821; Lydon (1992) p. 7; Ballyshannon (n.d.); Mac Somhairle (n.d.); The Annals of Connacht, p. 91 (n.d.).
  26. Holton (2017) p. 129; Oram (2013) ch. 6; Wærdahl (2011) p. 49; Beuermann (2010) p. 108; Broun (2007) pp. 4, 26 n. 17; Woolf (2007) p. 83; Murray (2005) pp. 302–304; Power (2005) p. 46; Brown (2004) p. 80; Sellar (2004); McLeod (2002) p. 30; Sellar (2000) pp. 203–204, 206; McDonald (1997) pp. 68, 98–99; Cowan (1990) p. 115; Duncan; Brown (1956–1957) p. 207; Anderson (1922) p. 548; Jónsson (1916) p. 627 ch. 287; Kjær (1910) p. 608 ch. 304/259; Dasent (1894) p. 266 ch. 259; Vigfusson (1887) p. 255 ch. 259; Unger (1871) p. 535 ch. 264; Flateyjarbok (1868) pp. 174–175 ch. 230.
  27. McDonald (2012) p. 152.
  28. Holton (2017) p. 129; McDonald (1997) p. 99; Duncan; Brown (1956–1957) p. 207.
  29. Wærdahl (2011) p. 49 n. 66; McDonald (1997) p. 99; Duncan; Brown (1956–1957) p. 207.
  30. Oram (2013) ch. 6; Woolf (2007) p. 83; Sellar (2000) p. 201.
  31. Woolf (2007) pp. 83–84.
  32. Holton (2017) p. 129; Oram (2013) ch. 6; Wærdahl (2011) p. 49, 49 n. 66; Beuermann (2010) p. 108, 108 n. 29; Woolf (2007) p. 84; Power (2005) p. 46; Sellar (2004); Stringer (2004); Carpenter (2003) ch. 10 ¶ 80; Sellar (2000) p. 204; Duncan; Brown (1956–1957) p. 207.
  33. Oram (2013) ch. 6; Sellar (2004); Woolf (2004) p. 108.
  34. Dahlberg (2014) pp. 52–55; Oram (2013) ch. 6; Oram (2011b) ch. 13; Broun (2007) pp. 3–4; Oram (2005) p. 42; Reid (2005) p. 59; Stringer (2004); Carpenter (2003) ch. 10 ¶ 80; Bartlett (1999) pp. 823–824; Cowan (1990) p. 110; Barrow (1981) p. 115.
  35. Oram (2013) ch. 6; Oram (2011b) ch. 13; Oram (2005) p. 42; Brown (2004) p. 80; Sellar (2004); Stringer (2004); Carpenter (2003) ch. 10 ¶ 80; Sellar (2000) p. 204; Barrow (1981) pp. 115–116.
  36. Oram (2013) ch. 6; Wærdahl (2011) p. 49; Murray (2005) pp. 304–305; Oram (2005) pp. 42–43; Power (2005) p. 47; Brown (2004) p. 80; Sellar (2004); Woolf (2004) p. 108; Sellar (2000) p. 204; Cowan (1990) pp. 115–116; Barrow (1981) pp. 115–116.
  37. McDonald (1997) pp. 103–104.
  38. McDonald (1997) pp. 99, 104.
  39. Holton (2017) pp. 131–132; Raven (2005) p. 58; McDonald (1997) pp. 99, 104; Storm (1977) pp. 132, 190, 482; Anderson (1922) p. 554, 554 n. 2; Vigfusson (1878) p. 374.
  40. Holton (2017) p. 130 n. 33.
  41. Holton (2017) pp. 130 n. 33, 132; McDonald (1997) pp. 99, 104.
  42. Imsen (2010) p. 13 n. 2; Lewis (1987) p. 456; Tremlett; London; Wagner (1967) p. 72.
  43. Lewis (1987) p. 456; Tremlett; London; Wagner (1967) p. 72.
  44. Imsen (2010) pp. 13–14, 13 n. 2.
  45. Holton (2017) pp. 133, 194; Duffy (2007) pp. 17–18; Woolf (2007) p. 85; Power (2005) p. 49; Verstraten (2003) p. 36 n. 131; Sellar (2000) p. 206, 206 n. 97; McDonald (1997) p. 118; Perros (1996–1997) p. 2; Duffy (1993) p. 127; Duffy (1991) pp. 69–70; Connemara (n.d.); Les Annales de Connacht, p. 127 (n.d.).
  46. Duffy (2007) pp. 17–18; Verstraten (2003) p. 27; Duffy (1993) p. 124.
  47. Duffy (2007) pp. 17–18; Jefferies (2005); Simms (2005a); Simms (2005b); Verstraten (2003) p. 27; Verstraten (2002) p. 15; O'Byrne (2001) pp. 107–108; Bartlett (1999) p. 822; Lydon (1994) p. 153; Martin, FX (1994) p. 142; Moody; Martin (1994) p. 432; Duffy (1993) p. 124; Duffy (1991) pp. 69–70; Walton (1980) p. 232.
  48. Duffy (2007) p. 18; Simms (2005b); Bartlett (1999) pp. 821–822; Simms (1996) pp. 79–80; Walton (1980) pp. 231–232.
  49. Holton (2017) p. 133; Annals of the Four Masters (2013a) § 1259.5; Annales des quatre maitres (2013b) § 1259.5; Annála Connacht (2011a) § 1259.6; Annála Connacht (2011b) § 1259.6; Annals of Loch Cé (2008) § 1259.3; Lydon (2008) pp. 245, 248; Duffy (2007) pp. 1, 10 n. 43, 18; Kenny (2007) p. 68; Kenny (2006) p. 33; Annals of Loch Cé (2005) § 1259.3; Kenny (2005) p. 103; McLeod (2005) p. 43, n. 79; Power (2005) p. 49; Verstraten (2003) pp. 26, 36 n. 131; Simms (2001) p. 6; Sellar (2000) p. 206, 206 n. 99; Simms (2000a) pp. 121–122; Simms (2000b) p. 157 n. 62; McDonald (1997) pp. 118, 155; Duffy (1993) p. 127; Lydon (1992) p. 7; Duffy (1991) pp. 69–70, 73; Walton (1980) pp. 233–234, 234 n. 134; Derry (n.d.); The Annals of Connacht, p. 131 (n.d.).
  50. Duffy (1991) p. 73.
  51. Sellar (2000) p. 206.
  52. McLeod (2005) p. 43; MacGregor (2000) pp. 15–16; Sellar (2000) p. 206; Macbain; Kennedy (1894) pp. 158–159; Macphail (1914) pp. 20–21.
  53. Duffy (2013) pp. 132–133; Duffy (2007) pp. 1–2; McLeod (2005) p. 44; McDonald (1997) p. 155; Duffy (1993) pp. 154–155, 172; Lydon (1992) pp. 6–7.
  54. Holton (2017) p. 133; Duffy (2007) p. 1; McDonald (1997) p. 155; Lydon (1992) p. 7.
  55. Duffy (2007) pp. 17–18.
  56. Duffy (2007) pp. 18–19; Simms (2005a); Simms (2005b); Verstraten (2005); Verstraten (2003) pp. 27, 36 n. 142; Verstraten (2002) p. 15; O'Byrne (2001) p. 108, 108 n. 556; Simms (2001) p. 6; Simms (1996) p. 80; Lydon (1994) p. 153; Moody; Martin (1994) p. 432; Duffy (1993) p. 125; Walton (1980) p. 236.
  57. McLeod (2005) p. 43; Simms (2000a) p. 122; Bartlett (1999) p. 821.
  58. Simms (1996) p. 76; Martin, FX (1994) p. 142.
  59. O'Byrne (2005).
  60. Lydon (2008) p. 245; Duffy (2007) p. 19.
  61. Lydon (2008) p. 245.
  62. Duffy (2007) p. 1.
  63. Duffy (2007) p. 1; Simms (2000a) p. 121; McDonald (1997) p. 155; Simms (1996) p. 76.
  64. Wærdahl (2011) p. 49; Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 18.
  65. Martin, C (2014) p. 186; Wærdahl (2011) pp. 49–50; Broun (2007) p. 4; Barrow (2006) p. 146; Forte; Oram; Pedersen (2005) pp. 255–256; Woolf (2004) p. 108; Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 18; McDonald (1997) pp. 105–107; Duffy (1993) p. 109; Cowan (1990) pp. 117–118, 130 n. 70.
  66. McDonald (1997) p. 107; Storm (1977) p. 135; Anderson (1922) p. 607; Vigfusson (1878) p. 377.
  67. Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 18; McDonald (1997) p. 107.
  68. McDonald (1997) p. 107; Anderson (1922) pp. 609–610; Dasent (1894) pp. 341–342 ch. 317; Vigfusson (1887) pp. 328–329 ch. 317; Unger (1871) p. 570 ch. 325; Flateyjarbok (1868) p. 218 ch. 275.
  69. Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 18; McDonald (1997) pp. 107–108.
  70. Alexander; Neighbour; Oram (2002) pp. 18–19.
  71. Holton (2017) p. 142; Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 19; McDonald (1997) pp. 112–113; Cowan (1990) p. 121; Anderson (1922) pp. 625–626; Dasent (1894) pp. 354–355 ch. 323; Vigfusson (1887) pp. 342–343 ch. 323; Unger (1871) pp. 575–576 ch. 331; Flateyjarbok (1868) p. 224 ch. 280.
  72. Holton (2017) p. 142; Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 19; McDonald (1997) pp. 112–113; Cowan (1990) p. 121; Anderson (1922) p. 625, 625 n. 6; Dasent (1894) p. 354 ch. 323; Vigfusson (1887) p. 342 ch. 323; Unger (1871) p. 575 ch. 331; Flateyjarbok (1868) p. 224 ch. 280.
  73. Holton (2017) p. 142; Martin, C (2014) p. 186; Raven (2005) p. 59; Alexander; Neighbour; Oram (2002) p. 19; McDonald (1997) pp. 112–113; Cowan (1990) p. 121; Anderson (1922) pp. 625–626; Dasent (1894) pp. 354–355 ch. 323; Vigfusson (1887) pp. 342–343 ch. 323; Unger (1871) pp. 575–576 ch. 331; Flateyjarbok (1868) p. 224 ch. 280.
  74. Cox (2010) pp. 53–54.
  75. Holton (2017) p. 143; McDonald (1997) p. 112; Cowan (1990) p. 121; Anderson (1922) p. 626; Dasent (1894) p. 355 ch. 323; Vigfusson (1887) pp. 342–343 ch. 323; Unger (1871) p. 576 ch. 331; Flateyjarbok (1868) p. 224 ch. 280.
  76. Holton (2017) p. 143; McNiven (2011) p. 75, 75 n. 61; McDonald (1997) pp. 112–113; Cowan (1990) p. 121; Thomson (1836) p. 38; Diplomatarium Norvegicum (n.d.) vol. 19 § 178.
  77. Martin, C (2014) pp. 186–187; Forte; Oram; Pedersen (2005) p. 260; Alexander; Neighbour; Oram (2002) pp. 19–20; McDonald (1997) pp. 113–114; Cowan (1990) p. 122.
  78. Forte; Oram; Pedersen (2005) p. 260; Power (2005) pp. 40 n. 42, 53; McDonald (1997) pp. 114–115, 119; Cowan (1990) p. 122; Duncan; Brown (1956–1957) pp. 212 n. 2, 213, 213 n. 1; Anderson (1922) p. 635; Dasent (1894) pp. 362–363 ch. 326; Vigfusson (1887) p. 350 ch. 326; Unger (1871) p. 579 ch. 334; Flateyjarbok (1868) p. 227 ch. 281.
  79. Forte; Oram; Pedersen (2005) p. 257; Power (2005) p. 40 n. 42; McDonald (1997) p. 111; Cowan (1990) pp. 120–121; Duncan; Brown (1956–1957) p. 203 n. 5.
  80. Forte; Oram; Pedersen (2005) p. 257.
  81. Forte; Oram; Pedersen (2005) pp. 260–261; McDonald (1997) p. 115; Cowan (1990) pp. 122–123.
  82. Forte; Oram; Pedersen (2005) pp. 261–262; McDonald (1997) pp. 115–116; Duncan; Brown (1956–1957) pp. 213–214.
  83. Brown (2004) p. 84.
  84. Holton (2017) p. 143; Brown (2004) p. 84; Carpenter (2003) ch. 12 ¶ 40; McDonald (1997) pp. 116, 118; Rixson (1982) pp. 19, 79; Duncan; Brown (1956–1957) p. 214.
  85. Forte; Oram; Pedersen (2005) pp. 263–264; Brown (2004) p. 84; Woolf (2004) pp. 108–109; McDonald (1997) pp. 119–121.
  86. McDonald (2004) pp. 181, 183–184; McDonald (1997) pp. 130–131.
  87. Holton (2017) p. 147.
  88. Pollock (2015) pp. 192–193, 193 n. 189; McDonald (2007) pp. 54, 91 n. 18, 100 n. 56, 107; Raven (2005) p. 60; McDonald (2004) p. 183; Oram (2000) p. 156; Sellar (2000) p. 210; McDonald (1997) p. 137; Duffy (1993) p. 163; Anderson (1922) pp. 672–673, 673 n. 1; Maxwell (1913) p. 11; Anderson (1908) pp. 382–383; Howlett (1885) pp. 570–571; Munch; Goss (1874) pp. 110–111, 232; Stevenson (1839) pp. 97–98.
  89. Holton (2017) pp. 145–146; Raven (2005) p. 60; McDonald (2004) p. 183; Oram (2000) p. 156; Duffy (1993) p. 163; Anderson (1908) pp. 382–383; Howlett (1885) p. 570.
  90. McDonald (2004) p. 183; Sellar (2000) p. 210; Anderson (1908) p. 382; Howlett (1885) p. 570.
  91. Sellar (2000) pp. 208–210.
  92. Sellar (2000) p. 210.
  93. McDonald (2004) p. 183.
  94. McDonald (2007) pp. 54, 91 n. 18, 100 n. 56, 107; Sellar (2000) p. 210; Duncan (1996) p. 582; Duffy (1993) p. 163; Barrow (1973) p. 383; Anderson (1922) pp. 672–673, 673 n. 1; Maxwell (1913) p. 11; Anderson (1908) p. 382; Howlett (1885) pp. 570–571; Munch; Goss (1874) pp. 110–111; Stevenson (1839) pp. 97–98.
  95. McDonald (2004) p. 183; Carpenter (2003) ch. 12 ¶ 42; Young (1990) p. 23.
  96. Duncan (1996) pp. 582–583.
  97. Holton (2017) p. 146; Findlater (2011) p. 69; McDonald (2006) p. 77; Power (2005) p. 54; Raven (2005) p. 60; Brown (2004) p. 85; Sellar (2000) p. 210; McDonald (1997) pp. 130, 136, 189; McDonald (1995) p. 143, 143 n. 69; Young (1990) p. 22; Munro; Munro (1986) p. 283 n. 12; Barrow (1981) p. 119; Barrow (1973) p. 380; Duncan; Brown (1956–1957) p. 216; The Acts of the Parliaments of Scotland (1844) p. 424; Rymer; Sanderson (1816) p. 638; PoMS, H4/42/5 (n.d.); PoMS Transaction Factoid, No. 47325 (n.d.).
  98. Holton (2017) p. 146; McDonald (2006) p. 77; McDonald (1997) p. 136.
  99. Power (2005) p. 54 n. 58.
  100. Sellar (2000) p. 206; Cowan (1990) p. 115.
  101. Raven (2005) pp. 56–57.
  102. Raven (2005) p. 57.
  103. Raven (2005) pp. 57–58; Woolf (2003) p. 178.
  104. Raven (2005) p. 60.
  105. Raven (2005) p. 59.
  106. Annála Connacht (2011a) § 1318.8; Annála Connacht (2011b) § 1318.8; Duffy (1993) pp. 206–207; The Annals of Connacht, p. 253 (n.d.).
  107. McDonald (1997) p. 131; Barrow (1973) p. 383; Duncan; Brown (1956–1957) p. 216.
  108. Raven (2005) p. 59; McDonald (1997) p. 131; Barrow (1973) p. 383; Duncan; Brown (1956–1957) p. 216; The Acts of the Parliaments of Scotland (1844) p. 447.
  109. Morgan (2013) pp. 188–189; Duffy (1993) p. 172 n. 60; Mackenzie (1903) p. 69; Bain (1884) pp. 80–81 § 288; PoMS, H3/543/1 (n.d.); PoMS Transaction Factoid, No. 67013 (n.d.).
  110. Holton (2017) p. 153; McDonald (1997) p. 189.
  111. Findlater (2011) p. 69; Barrow (1973) p. 380.
  112. Findlater (2011) p. 69.
  113. Neville; Simpson (2012) p. 231 § 321; Beam (2012) p. 58; Findlater (2011) pp. 69, 84 tab. 1; McQueen (2004) p. 38; McQueen (2002) p. 141; The Acts of the Parliaments of Scotland (1844) p. 447; RPS, 1293/2/15 (n.d.a); RPS, 1293/2/15 (n.d.b).
  114. Holton (2017) p. viii fig. 2; Brown (2004) p. 77 tab. 4.1; Sellar (2000) p. 194 tab. ii; Roberts (1999) p. 99 fig. 5.2; McDonald (1997) p. 258 genealogical tree ii; Munro; Munro (1986) p. 279 tab. 1.
  115. Holton (2017) p. 153; Boardman (2006) p. 46; Ewan (2006); McDonald (2004) p. 181; Barrow (1981) p. 290; Barrow (1973) p. 381.
  116. Holton (2017) p. 153; Boardman (2006) p. 46; Ewan (2006); McDonald (2004) p. 181; Roberts (1999) p. 143; McDonald (1997) pp. 174, 189; Munro; Munro (1986) p. 283 n. 13; Barrow (1973) p. 380.
  117. Holton (2017) pp. 153–154.
  118. McDonald (2004) p. 181; McDonald (1997) pp. 130–131.

Sources

Sources primaires

Sources secondaires
  • D Alexander, T Neighbour et R Oram, « Glorious Victory? The Battle of Largs, 2 October 1263 », History Scotland, vol. 2, no 2,‎ , p. 17–22
  • GWS Barrow, The Kingdom of the Scots: Government, Church and Society From the Eleventh to the Fourteenth Century, New York, St. Martin's Press,
  • GWS Barrow, Kingship and Unity: Scotland 1000–1306, Toronto, University of Toronto Press, (ISBN 0 8020 6448 5)
  • GWS Barrow, Robert Bruce & the Community of the Realm of Scotland, Edinburgh, Edinburgh University Press, (1re éd. 1965) (ISBN 0 85224 539 4)
  • GWS Barrow, Barra and Skye: Two Hebridean Perspectives, Edinburgh, The Scottish Society for Northern Studies, , 140–154 p. (ISBN 0-9535226-3-6), « Skye From Somerled to A.D. 1500 »
  • R Bartlett, The New Cambridge Medieval History, vol. Vol. 5, c.1198–c.1300, Cambridge, Cambridge University Press, , 809–827 p. (ISBN 0 521 36289 X), « The Celtic lands of the British Isles »
  • « Battle / Event Title: Ballyshannon », sur The Galloglass Project, n.d. (consulté le )
  • « Battle / Event Title: Derry; Aodh O Conchobhair married the daughter of Dubhghall mac Somhairle », n.d. (consulté le )
  • « Battle / Event Title: Island, Connemara », n.d. (consulté le )
  • A Beam, England and Scotland at War, c.1296–c.1513, Edinburgh, Brill, coll. « History of Warfare (series vol. 78) », , 53–76 p. (ISBN 978-90-04-22983-9, ISSN 1385-7827), « 'At the Apex of Chivalry': Sir Ingram de Umfraville and the Anglo-Scottish Wars, 1296–1321 »
  • I Beuermann, The Norwegian Domination and the Norse World c. 1100–c. 1400, Trondheim, Tapir Academic Press, coll. « Trondheim Studies in History », , 99–123 p. (ISBN 978-82-519-2563-1), « 'Norgesveldet?' South of Cape Wrath? Political Views Facts, and Questions »
  • S Boardman, The Campbells, 1250–1513, Edinburgh, John Donald, (ISBN 978-0-85976-631-9)
  • D Broun, Scottish Independence and the Idea of Britain: From the Picts to Alexander III, Edinburgh, Edinburgh University Press, (ISBN 978 0 7486 2360 0)
  • M Brown, The Wars of Scotland, 1214–1371, Edinburgh, Edinburgh University Press, coll. « The New Edinburgh History of Scotland (series vol. 4) », (ISBN 0748612386)
  • M Brown, Aristocratic Politics and the Crisis of Scottish Kingship, 1286–96, vol. 90, , 1–26 p. (ISSN 0036-9241, e-ISSN 1750-0222, DOI 10.3366/shr.2011.0002), chap. 1
  • DH Caldwell, MA Hall et CM Wilkinson, The Lewis Hoard of Gaming Pieces: A Re-examination of Their Context, Meanings, Discovery and Manufacture, vol. 53, , 155–203 p. (ISSN 0076-6097, e-ISSN 1745-817X, DOI 10.1179/007660909X12457506806243), chap. 1
  • D Carpenter, The Struggle For Mastery: Britain 1066–1284, London, Allen Lane, coll. « The Penguin History of Britain (series vol. 3) », (ISBN 978-0-14-193514-0)
  • EJ Cowan, Scotland in the Reign of Alexander III, 1249–1286, Edinburgh, John Donald Publishers, , 103–131 p. (ISBN 0-85976-218-1), « Norwegian Sunset — Scottish Dawn: Hakon IV and Alexander III »
  • R Cox, The Edinburgh Companion to the Gaelic Language, Edinburgh, Edinburgh University Press, (ISBN 978 0 7486 3708 9), « Gaelic Place-Names »
  • HS Crawford, The O'Connor Tomb in Roscommon 'Abbey', vol. 14, , 89–90 p. (ISSN 0035-9106, JSTOR 25513323), chap. 1
  • AB Dahlberg, Diplomati og Konfliktløysing c.1244–1266: Ei Undersøking av Diplomatiske Verkemiddel i To Norske Mellomaldertraktatar, University of Bergen, (hdl 1956/9171 , lire en ligne)
  • C Dalglish, Rural Society in the Age of Reason: An Archaeology of the Emergence of Modern Life in the Southern Scottish Highlands, New York, Kluwer Academic Publishers, coll. « Contributions to Global Historical Archaeology », (ISBN 0-306-47940-0)
  • S Duffy, « The Bruce Brothers and the Irish Sea World, 1306–29 », Cambridge Medieval Celtic Studies, vol. 21,‎ , p. 55–86
  • S Duffy, Ireland and the Irish Sea Region, 1014–1318, Trinity College, Dublin, (hdl 2262/77137 , lire en ligne)
  • S Duffy, Regions and Rulers in Ireland, 1100–1650: Essays for Kenneth Nicholls, Dublin, Four Courts Press, , 37–50 p. (ISBN 1-85182-742-0), « The Lords of Galloway, Earls of Carrick, and the Bissets of the Glens: Scottish Settlement in Thirteenth-Century Ulster »
  • S Duffy, The World of the Galloglass: Kings, Warlords and Warriors in Ireland and Scotland, 1200–1600, Dublin, Four Courts Press, , 1–23 p. (ISBN 978-1-85182-946-0), « The Prehistory of the Galloglass »
  • S Duffy, Princes, Prelates and Poets in Medieval Ireland: Essays in Honour of Katharine Simms, Dublin, Four Courts Press, , 124–138 p., « The Turnberry Band »
  • AAM Duncan, Scotland: The Making of the Kingdom, Edinburgh, Mercat Press, coll. « The Edinburgh History of Scotland (series vol. 1) », (1re éd. 1975) (ISBN 0 901824 83 6)
  • AAM Duncan et AL Brown, « Argyll and the Isles in the Earlier Middle Ages », Proceedings of the Society of Antiquaries of Scotland, vol. 90,‎ 1956–1957, p. 192–220 (DOI 10.5284/1000184, lire en ligne [PDF])
  • E Ewan, The Biographical Dictionary of Scottish Women: From the Earliest Times to 2004, Edinburgh, Edinburgh University Press, (ISBN 0 7486 1713 2), « MacRuairi, Christiana, of the Isles (of Mar) », p. 244
  • AM Findlater, « Sir Enguerrand de Umfraville: His Life, Descent and Issue », Transactions of the Dumfriesshire and Galloway Natural History and Antiquarian Society, vol. 85,‎ , p. 67–84 (ISSN 0141-1292, lire en ligne [PDF])
  • I Fisher, Lordship and Architecture in Medieval and Renaissance Scotland, Edinburgh, John Donald, , 85–95 p. (ISBN 978 0 85976 628 9), « The Heirs of Somerled »
  • A Forte, RD Oram et F Pedersen, Viking Empires, Cambridge, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-82992-2)
  • A Halpin, « Irish Medieval Swords c. 1170–1600 », Proceedings of the Royal Irish Academy, vol. 86C,‎ , p. 183–230 (ISSN 0035-8991, e-ISSN 2009-0048, JSTOR 25506140)
  • A Halpin et C Newman, Ireland: An Oxford Archaeological Guide to Sites from Earliest Times to AD 1600, Oxford, Oxford University Press, coll. « Oxford Archaeological Guides », (ISBN 978-0-19-280671-0)
  • CT Holton, Masculine Identity in Medieval Scotland: Gender, Ethnicity, and Regionality, Université de Guelph, (hdl 10214/10473 , lire en ligne)
  • S Imsen, The Norwegian Domination and the Norse World c. 1100–c. 1400, Trondheim, Tapir Academic Press, coll. « Trondheim Studies in History », , 13–33 p. (ISBN 978-82-519-2563-1), « Introduction »
  • « Individual(s) / Person(s): Mac Somhairle », sur The Galloglass Project, n.d. (consulté le )
  • KS Jack, Decline and Fall: The Earls and Earldom of Mar, c.1281–1513, University of Stirling, (hdl 1893/25815 , lire en ligne)
  • HA Jefferies, Medieval Ireland: An Encyclopedia, New York, Routledge, , 457–459 p. (ISBN 0-415-94052-4), « Ua Briain (Uí Briain, O'Brien) »
  • G Kenny, Anglo-Irish and Gaelic Women in Ireland c. 1277–1534: A Study of the Conditions and Rights of Single Women, Wives, Widows and Nuns in Late Medieval Ireland, Trinity College, Dublin, (hdl 2262/78447 , lire en ligne)
  • G Kenny, Anglo-Irish and Gaelic Marriage Laws and Traditions in Late medieval Ireland, vol. 32, , 27–42 p. (ISSN 0304-4181, e-ISSN 1873-1279, DOI 10.1016/j.jmedhist.2005.12.004), chap. 1
  • G Kenny, Anglo-Irish and Gaelic Women in Ireland, c.1170–1540, Dublin, Four Courts Press, (ISBN 978-1-85182-984-2)
  • S Lewis, The Art of Matthew Paris in Chronica Majora, Berkeley and Los Angeles, University of California Press, coll. « California Studies in the History of Art (series vol. 21) », (ISBN 0-520-04981-0)
  • J Lydon, The Scottish Soldier Abroad, 1247–1967, Edinburgh, John Donald Publishers, coll. « The Mackie Monographs (series vol. 2) », (ISBN 0 85976 341 2), « The Scottish Soldier in Medieval Ireland: The Bruce Invasion and the Galloglass »
  • J Lydon, The Course of Irish History, Cork, Mercier Press, (1re éd. 1967), 144–157 p. (ISBN 1-85635-108-4), « The Medieval English Colony »
  • J Lydon, Medieval Ireland, 1169–1534, Oxford, Oxford University Press, coll. « New History of Ireland (series vol. 2) », (1re éd. 1987), 240–274 p. (ISBN 978-0-19-821755-8), « A Land of War »
  • M MacGregor, A' Chòmhdhail Cheilteach Eadarnìseanta Congress 99: Cultural Contacts Within the Celtic Community, Inverness, Celtic Congress, , 77–97 p., « Làn-Mara 's Mìle Seòl ("Floodtide and a Thousand Sails"): Gaelic Scotland and Gaelic Ireland in the Later Middle Ages »
  • WC Mackenzie, History of the Outer Hebrides (Lewis, Harris, North and South Uist, Benbecula, and Barra), Paisley, Alexander Gardner, (lire en ligne)
  • HL MacQueen, Communities and Courts in Britain, 1150–1900, London, The Hambledon Press, , 13–23 p., « Linguistic Communities in Medieval Scots Law »
  • HL MacQueen, The Exercise of Power in Medieval Scotland, 1200–1500, Dublin, Four Courts Press, , 67–94 p., « Survival and Success: The Kennedys of Dunure »
  • C Martin, The Lordship of the Isles, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 68) », , 176–199 p. (ISBN 978-90-04-28035-9, ISSN 1569-1462, DOI 10.1163/9789004280359_009), « A Maritime Dominion — Sea-Power and the Lordship »
  • FX Martin, The Course of Irish History, Cork, Mercier Press, (1re éd. 1967), 123–143 p. (ISBN 1-85635-108-4), « The Normans: Arrival and Settlement (1169–c. 1300) »
  • RA McDonald, Images of Hebridean Lordship in the Late Twelfth and Early Thirteenth Centuries: The Seal of Raonall Mac Sorley, vol. 74, , 129–143 p. (ISSN 0036-9241, e-ISSN 1750-0222, DOI 10.3366/shr.1995.74.2.129, JSTOR 25530679), chap. 2
  • RA McDonald, The Kingdom of the Isles: Scotland's Western Seaboard, c. 1100–c. 1336, East Linton, Tuckwell Press, coll. « Scottish Historical Monographs (series vol. 4) », (ISBN 978-1-898410-85-0)
  • RA McDonald, Britain and Ireland, 900–1300: Insular Responses to Medieval European Change, Cambridge, Cambridge University Press, , 179–198 p. (ISBN 0-511-03855-0), « Coming in From the Margins: The Descendants of Somerled and Cultural Accommodation in the Hebrides, 1164–1317 »
  • RA McDonald, Scotland: The Making and Unmaking of the Nation, c.1100–1707, vol. Vol. 1, Dundee, Dundee University Press, (ISBN 978-1-84586-004-2), « The Western Gàidhealtachd in the Middle Ages »
  • RA McDonald, Manx Kingship in its Irish Sea Setting, 1187–1229: King Rǫgnvaldr and the Crovan Dynasty, Dublin, Four Courts Press, (ISBN 978-1-84682-047-2)
  • RA McDonald, Studies in the Medieval Atlantic, New York, Palgrave Macmillan, coll. « The New Middle Ages », , 143–184 p. (ISBN 9781137062390, DOI 10.1057/9781137062390.0012), « The Manx Sea Kings and the Western Oceans: The Late Norse Isle of Man in its North Atlantic Context, 1079–1265 »
  • W McLeod, Rí Innsi Gall, Rí Fionnghall, Ceannas nan Gàidheal: Sovereignty and Rhetoric in the Late Medieval Hebrides, vol. 43, , 25–48 p. (ISSN 1353-0089)
  • W McLeod, Divided Gaels: Gaelic Cultural Identities in Scotland and Ireland 1200–1650, Oxford, Oxford University Press, (1re éd. 2004) (ISBN 0-19-924722-6, DOI 10.1093/acprof:oso/9780199247226.003.0002), « Political and Cultural Background »
  • PE McNiven, Gaelic Place-Names and the Social History of Gaelic Speakers in Medieval Menteith, Université de Glasgow, (lire en ligne)
  • AAB McQueen, The Origins and Development of the Scottish Parliament, 1249–1329, Université de St Andrews, (hdl 10023/6461 , lire en ligne)
  • AAB McQueen, The History of the Scottish Parliament, vol. Vol. 1, Parliament and Politics in Scotland, 1235–1560, Edinburgh, Edinburgh University Press, , 29–49 p. (ISBN 0 7486 1485 0), « Parliament, the Guardians and John Balliol, 1284–1296 »
  • The Course of Irish History, Cork, Mercier Press, (1re éd. 1967), 425–481 p. (ISBN 1-85635-108-4), « A Chronology of Irish History »
  • AP Morgan, Ethnonyms in the Place-Names of Scotland and Border Counties of England, vol. Appendix D, University of St Andrews, (hdl 10023/4164 , lire en ligne)
  • J Munro et RW Munro, The Acts of the Lords of the Isles, 1336–1493, Edinburgh, Scottish History Society, coll. « Scottish History Society, Fourth Series (series vol. 22) », (ISBN 0 906245 07 9, lire en ligne)
  • N Murray, The Reign of Alexander II, 1214–49, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 16) », , 285–305 p. (ISBN 90 04 14206 1, ISSN 1569-1462), « Swerving From the Path of Justice »
  • E O'Byrne, War, Politics and the Irish of Leinster, 1156–1606, Trinity College, Dublin, (hdl 2262/77229 , lire en ligne)
  • E O'Byrne, Medieval Ireland: An Encyclopedia, New York, Routledge, , 31–33 p. (ISBN 0-415-94052-4), « Armies »
  • RD Oram, The Lordship of Galloway, Edinburgh, John Donald, (ISBN 0 85976 541 5)
  • RD Oram, The Exercise of Power in Medieval Scotland, 1200–1500, Dublin, Four Courts Press, , 46–66 p., « The Earls and Earldom of Mar, c.1150–1300 »
  • RD Oram, The Reign of Alexander II, 1214–49, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 16) », , 1–47 p. (ISBN 90 04 14206 1, ISSN 1569-1462), « Introduction: An Overview of the Reign of Alexander II »
  • RD Oram, Domination and Lordship: Scotland 1070–1230, Edinburgh, Edinburgh University Press, coll. « The New Edinburgh History of Scotland (series vol. 3) », 2011a (ISBN 978-0-7486-1496-7)
  • Richard Oram, The Kings & Queens of Scotland, Brimscombe Port, The History Press, 2011b (1re éd. 2001) (ISBN 978-0-7524-7099-3)
  • Richard Oram, Alexander II, King of Scots, 1214–1249, Edinburgh, Birlinn, (1re éd. 2012) (ISBN 978-1-907909-05-4)
  • H Perros, « Anglo-Norman Settlement in Connacht in the Thirteenth Century », Group for the Study of Irish Historic Settlement, vol. 7,‎ 1996–1997, p. 1–6 (ISSN 1393-0966, lire en ligne [PDF])
  • MA Pollock, Scotland, England and France After the Loss of Normandy, 1204–1296: 'Auld Amitie', Woodbridge, The Boydell Press, coll. « St Andrews Studies in Scottish History (series vol. 3) », (ISBN 978 1 84383 992 7)
  • R Power, « Meeting in Norway: Norse-Gaelic Relations in the Kingdom of Man and the Isles, 1090–1270 », Saga-Book, vol. 29,‎ , p. 5–66 (ISSN 0305-9219, lire en ligne [PDF])
  • JA Raven, Medieval Landscapes and Lordship in South Uist, vol. Vol. 1, University of Glasgow, (lire en ligne)
  • NH Reid, The Reign of Alexander II, 1214–49, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 16) », , 49–78 p. (ISBN 90 04 14206 1, ISSN 1569-1462), « 'A Great Prince, and Very Greedy of This World's Honour': The Historiography of Alexander II »
  • D Rixson, The West Highland Galley, Edinburgh, Birlinn, (ISBN 1-874744-86-6)
  • JL Roberts, Lost Kingdoms: Celtic Scotland and the Middle Ages, Edinburgh, Edinburgh University Press, (ISBN 0 7486 0910 5)
  • WDH Sellar, Alba: Celtic Scotland in the Middle Ages, East Linton, Tuckwell Press, , 187–218 p. (ISBN 1-86232-151-5), « Hebridean Sea Kings: The Successors of Somerled, 1164–1316 »
  • WDH Sellar, « MacDougall, Ewen, Lord of Argyll (d. in or After 1268) », sur Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (DOI 10.1093/ref:odnb/49384, consulté le )
  • K Simms, The Oxford Illustrated History of Ireland, Oxford, Oxford University Press, (1re éd. 1989), 53–103 p. (ISBN 0-19-285245-0), « The Norman Invasion and the Gaelic Recovery »
  • K Simms, A Military History of Ireland, Cambridge, Cambridge University Press, (1re éd. 1996), 99–115 p. (ISBN 0-521-41599-3), « Gaelic Warfare in the Middle Ages »
  • K Simms, From Kings to Warlords, Woodbridge, The Boydell Press, 2000a (1re éd. 1987) (ISBN 978-0-85115-784-9)
  • K Simms, Tyrone: History & Society, Dublin, Geography Publications, 2000b, 127–162 p., « Late Medieval Tír Eoghain: The Kingdom of 'The Great Ó Néill' »
  • K Simms, « The Clan Murtagh O'Conors », Journal of the Galway Archaeological and Historical Society, vol. 53,‎ , p. 1–22 (ISSN 0332-415X, JSTOR 25535718)
  • K Simms, Medieval Ireland: An Encyclopedia, New York, Routledge, 2005a (ISBN 0-415-94052-4), « Gaelic Revival », p. 189–190
  • K Simms, Medieval Ireland: An Encyclopedia, New York, Routledge, 2005b (ISBN 0-415-94052-4), « Ua Néill (Ó Néill) », p. 477–480
  • G Stell, The Lordship of the Isles, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 68) », , 271–296 p. (ISBN 978-90-04-28035-9, ISSN 1569-1462, DOI 10.1163/9789004280359_014), « Castle Tioram and the MacDonalds of Clanranald: A Western Seaboard Castle in Context »
  • MJ Strickland, A Military History of Scotland, Edinburgh University Press, , 94–132 p., « The King of Scots at War, 1093–1286 »
  • K Stringer, « Alexander II (1198–1249) », sur Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, (DOI 10.1093/ref:odnb/322, consulté le )
  • C Tabraham, Scotland's Castles, London, BT Batsford, (1re éd. 1997) (ISBN 0 7134 8943 X)
  • TD Tremlett, HS London et A Wagner, Rolls of Arms: Henry III, London, Harleian Society, coll. « Publications of the Harleian Society (series vols. 113–114) »,
  • F Verstraten, « Normans & Natives in Medieval Connacht: The Reign of Feidlim Ua Conchobair, 1230–65 », History Ireland, vol. 10, no 2,‎ , p. 11–15 (ISSN 0791-8224, JSTOR 27724969)
  • F Verstraten, « Both King and Vassal: Feidlim Ua Conchobair of Connacht, 1230–65 », Journal of the Galway Archaeological and Historical Society, vol. 55,‎ , p. 13–37 (ISSN 0332-415X, JSTOR 25535754)
  • F Verstraten, Medieval Ireland: An Encyclopedia, New York, Routledge, (ISBN 0-415-94052-4), « Ua Conchobair (Uí Conchobair, Ó Conchobair) », p. 464–466
  • H Walton, The English in Connacht, 1171–1333, University of Dublin, (hdl 2262/77267 , lire en ligne)
  • N Williams, Medieval Ireland: An Encyclopedia, New York, Routledge, , 291 p. (ISBN 0-415-94052-4), « Mac Con Midhe, Giolla Brighde (c. 1210–c. 1272) »
  • A Woolf, Ecclesia Nidrosiensis, 1153–1537: Søkelys på Nidaroskirkens og Nidarosprovinsens Historie, Tapir Akademisk Forlag, , 171–181 p. (ISBN 9788251918732), « The Diocese of the Sudreyar »
  • A Woolf, The Argyll Book, Edinburgh, Birlinn, , 94–109 p. (ISBN 1-84158-253-0), « The Age of Sea-Kings, 900–1300 »
  • A Woolf, The World of the Galloglass: Kings, Warlords and Warriors in Ireland and Scotland, 1200–1600, Dublin, Four Courts Press, , 77–85 p. (ISBN 978-1-85182-946-0), « A Dead Man at Ballyshannon »
  • RB Wærdahl, The Incorporation and Integration of the King's Tributary Lands into the Norwegian Realm, c. 1195–1397, Leiden, Brill, coll. « The Northern World: North Europe and the Baltic c. 400–1700 AD. Peoples, Economics and Cultures (series vol. 53) », (ISBN 978-90-04-20613-7, ISSN 1569-1462)
  • A Young, Scotland in the Reign of Alexander III, 1249–1286, Edinburgh, John Donald Publishers, , 1–30 p. (ISBN 0-85976-218-1), « Noble Families and Political Factions in the Reign of Alexander III »
  • A Young et MJ Stead, In the Footsteps of Robert Bruce in Scotland, Northern England and Ireland, Brimscombe Port, The History Press, (1re éd. 1999) (ISBN 978 0 7524 5642 3)
  • Portail de l’Irlande
  • Portail de l’Écosse
  • Portail du Moyen Âge central
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.