Alain Girelli
Alain Girelli né le à Draguignan est un sculpteur, peintre et performeur français.
Pour les articles homonymes, voir Girelli (homonymie).
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Il découvre la sculpture avec Max Ernst et travaille dans son atelier en 1974. Il vit et travaille près de Fayence.
Biographie
Né le à Draguignan, Alain Girelli découvre la sculpture avec Max Ernst et travaille dans son atelier en 1974[1]. Il vit et travaille près de Fayence, dans le Var[1].
Il préfère travailler le bois, notamment le bois de cade imputrescible et odorant[1]. Mais il expérimente également le béton, pour lequel il invente un procédé de décoration aléatoire de la surface[1].
Sa famille originaire de Pérouse en Ombrie est dans le bois depuis des générations : bûcherons, charbonnier, exploitants forestiers. Il poursuit la tradition familiale en passant son CAP menuiserie en 1966. Après son service militaire, il est employé à partir de 1969 dans la menuiserie Francis Laboire de Seillans. Il fabrique des portes, des fenêtres, des escaliers, dont un escalier tournant, un exercice particulièrement difficile, puis devient rapidement chef d’atelier.
Une très vieille porte de cave du village à la partie inférieure érodée par les écoulements d’eau attire l’œil de Max Ernst qui propose à son propriétaire de lui en acheter une neuve s’il veut bien en échange lui donner celle rongée par le temps. Girelli s’occupe de l’opération : fabriquer la nouvelle porte, la mettre en place, récupérer l’ancienne, la fixer sur un panneau. Max Ernst la renverse et la transforme en une de ses D-paintings, D pour Dorothea Tanning pour qui, chaque année, il créait une œuvre[2]. Girelli s’arrange avec son patron pour se mettre au service de l’artiste. À son contact, il pénètre un univers inconnu. Ses « forêts » peintes, gravées ou grattées le fascinent. Tout ce qu’il découvre chez l’artiste le nourrit, lui ouvre des perspectives impensées jusque-là. Il l’observe, lui pose des questions, s’imprègne de son univers et, rapidement, l’envie de créer va naître. Girelli, fort de sa grande connaissance du bois, réalise sa première œuvre : une chaise-trône à haut dossier, pourvue de marches. Cette création est faite de bois assemblés « avec seule une râpe comme outil ». Un champ de création s’ouvre.[Interprétation personnelle ?] Il explore différents bois, ce matériau faisant partie du patrimoine familial mais jusque-là mis au service de l’utile[3].
Il explore diverses techniques avec le bois : bois flottés ou bois lacustres coupés à la pleine lune qu’il laisse sécher après en avoir ôté l’écorce.
Présentant un dossier à la Maison des métiers d'art français[4], il lui sera proposé de participer en 1972 à une exposition en compagnie d’artistes de la région (Van Lith, Jacky Coville, Claude Pelletier, entre autres). Un article paraît en 1972 dans Le Monde[5].[source insuffisante][6],[7]
Tout en continuant à travailler pour Max Ernst, il crée une nouvelle gamme de meubles — chaises et tables surtout — qui va avoir du succès. Elle intéressera les frères Jean-Luc et Frédéric Méchiche, décorateurs et galeristes de Paris, ses premiers acheteurs, qui ont vu ses Sculpture-fauteuil signés AG monogramme, pièces uniques, dans plusieurs revues professionnelles.[réf. nécessaire] La galerie Saint-Jacques intéressée achète le prototype « chaise ondulante » qui avait été créé pour la galerie Alumine, rue Bonaparte à Paris[réf. nécessaire]. C’est ensuite la galerie Saint-Jacques de Toulouse qui sera séduite par son travail. Il crée pour elle une chaise ondulante[8],[9].
Ses réalisations sont trop fragiles pour rester à l’extérieur. Jean-Louis Prat, directeur de la Fondation Maeght, lui conseille de trouver un matériau résistant et imputrescible[10]. Il pense alors au bois de cade, une espèce de genévrier (juniperus oxycedrus) présent dans la région, dont on tire de l’huile antiseptique et anti-parasitaire, habituellement utilisée pour soigner la gale des moutons. Il déracine souvent ces arbres morts à la suite d'incendies — imputrescibles, ils restent sur pieds plusieurs dizaines d'années. Jean Mas écrit un article sur la captation des forces chtoniennes par l’artiste. Ses qualités imputrescibles et odorantes, sa dureté, intéressent Girelli qui, avec ce nouveau matériau, réalise une série de nouvelles sculptures qu’il va laquer et patiner en noir.
Un nouveau vocabulaire graphique de formes simples et pures va naître[Interprétation personnelle ?], mais la légèreté des bois séchés oblige Girelli à trouver une solution pour obtenir une meilleure assise et un nouvel équilibre. Il intègre à ses sculptures alors des pierres naturelles travaillées par le temps qu’il choisit pour leur apparence, leur esthétique et leur poids. Il les gravera par la suite, inscrivant des signes inspirés par les écritures primitives de Max Ernst.[réf. nécessaire]
En , il est invité à l'exposition Le Bois et l’Homme qui a lieu à l’aéroport de Paris-Orly où sont exposés des chefs-d’œuvre du musée de l'Homme[11]. Un article paraît dans Nice-Matin[12]. C'est d'ailleurs lors de cet évènement qu'il réalise sa première performance avec de la poudre de cade (Juniperus oxycedrus). Il exécute sa performance devant Jacqueline Baudrier, Jacques Larché et Jean Dorst.
L’émission de télévision Marche ou rêve, où il est interviewé par Georges Bégou, est enregistrée à cette occasion. Son Grand Arbre sera vu par des millions de téléspectateurs. La fin de l'année, il accompagne Dorothea Tanning à Paris pour le transport des œuvres de Max Ernst et séjourne chez eux rue de Lille. Il expose en décembre et -1978 et du au à Paris, la galerie Lucie Weill & Seligmann présente des œuvres de Girelli à côté de celles de Picasso, Miró, Max Ernst, Masson, etc.[13].
En 1980, au Salon de Fréjus dont le conseiller artistique est Olivier Lépine, il rencontre des architectes parisiens qui lui conseillent de réaliser des œuvres pour l’espace public, leurs qualités graphiques se prêtant à la monumentalité. Suivant leur conseil, Girelli réalise des sculptures monumentales, jusqu’à quatre mètres de haut, en bronze, en béton, en acier corten ou thermolaqué, notamment L'oiseau Noir en hommage à Max Ernst.[réf. nécessaire]
Un article paraît dans Var-Matin[14]. Le , Nice-Matin publie un article sur l'artiste.
En 1983, dans le cadre du 1 % artistique, il reçoit de la société d’autoroutes Escota la commande d’une sculpture monumentale en bois imputrescible qu’il nomme Soleil couchant pour l’autoroute Estérel-Côte d’Azur, aire de Jas Pellicot - Autoroute A8. Il réalise sa première sculpture monumentale en béton coloré[15] dans un atelier spécialisé de Lafarge à Draguignan. Elle sera définitivement installée au Centre d'art contemporain de Chateauvert[16].
En 1984, Jean-Paul Crespelle, critique d’art de France-Soir, le met en contact avec le sculpteur César qui appréciera son travail et l’encouragera à se dépasser, à créer des « trônes en délire ».
À Cannes, l’année suivante, il fait la rencontre d’Henri Goetz qui exposait aussi aux Rencontres d’art contemporain de l’ancien Palais Croisette. Goetz est un graveur, inventeur de la gravure au carborundum, qui trouve dans les œuvres de Girelli « de grandes parentés avec ses formes et de grandes qualités de structure et de discipline en même temps qu’une poésie du mouvement ». Il lui proposera un échange.[réf. nécessaire]
En 1986, il reçoit la médaille d’or du Salon FAM de Tourrettes-sur-Loup. Le jury est composé de conservateurs de musées et d’artistes. La revue Art Thèmes publie un article sur son exposition dans la salle du couvent de Seillans[17]. La revue Maison française[18] avec Frédéric Méchiche consacre plusieurs pages à ses œuvres.
Le collectionneur Jacques Ginepro, expert en sculptures des XIXe et XXe siècles lui achète des œuvres dont Gertrude, une de ses représentations féminines[réf. nécessaire]. En 1999, il le parraine pour avoir une notice dans le Dictionnaire Bénézit[19], le dictionnaire de référence des artistes. Trente lignes lui sont consacrées : « Girelli ne cherche pas l’anecdote mais désire insuffler un mouvement, une expression à la matière ce qu’il fera dans ses Totems ».
À partir de cette époque, il sera présent dans de nombreux salons et foires internationales comme Art Jonction International ou l’Exposition internationale de sculpture contemporaine du château royal à Collioure (1991-1992), puis en 1991 à Grasse, Espace Chiris. En même temps que ses sculptures monumentales, il décline avec la collaboration de Claude Pelletier, orfèvre de Biot des sculptures-bijoux en pierres semi-précieuses, notamment portée par Yvonne Desseux, la secrétaire d’Aimé Maeght.[réf. nécessaire]
En 1992, sa première exposition personnelle, Cinquante sculptures, a lieu au palais de l’Europe à Menton[20]. Un catalogue des œuvres est édité par le musée. La même année, il obtient un premier prix au festival des arts de Beaulieu, prix qui consiste en la possibilité de réaliser sa première œuvre en bronze offert par la fonderie d’art Bronze d’Airain. Il découvre alors l’univers des fonderies. Dans un article du magazine Gala consacré à Karen Cheryl, plusieurs sculptures de Girelli sont présentes sur quatre pages[21].
La peinture pénètre ensuite dans ses travaux, d’abord par les bois colorés de ses « Totems », puis par des dessins géométriques multicolores apposés sur le fond blanc de ses sculptures. Son originalité est de peindre sur des formes sculptées : « Ici la peinture se pose et “dépose” sur la sculpture qui se pare et s'empare de ses reflets. La forme accompagne à “dessein” la couleur pour que vive l'instant d'une rencontre pérennisée . Nous sommes ici invités à grignoter cette alliance artistique par le plaisir des yeux » (Jean Mas, écrivain artiste de l'École de Nice)[22].
le , il participe au vernissage du Salon Grands et jeunes d'aujourd'hui à l'espace Eiffel-Branly[23].
En 1996, à l’Espace Eiffel, il réalise une performance dans laquelle il effectue le moulage de la main et de la cheville de son épouse Dany, performance financée par les chocolats fins des ateliers Puyricard, filmée par l’École du journalisme de Paris, au profit d'Enfance et Partage, lorsque la comédienne Carole Bouquet soutenait son action — en particulier lors de son lancement médiatique. La revue Résidences présente ses sculptures[24].
Cette même année, la revue américaine Architectural Digest publie un article avec plusieurs photographies de ses œuvres[25].
Exposé au Jubilé de Monte-Carlo en 1998, il fait la connaissance du prince Albert de Monaco qui s’assoit sur Le Trône du Roi de la Forêt en bois de cade et pierres naturelles.[réf. nécessaire]
En 2000, Alain Girelli invite Sœur Emmanuelle à déjeuner chez lui à Seillans. À la fin du repas, elle décide d'essayer une de ses chaises hautes (Le Trône du Roi de la Forêt). À ce moment précis, un chat blanc, très sauvage habituellement, a voulu monter sur ses genoux.[réf. nécessaire]
En 2003, publication d'un article dans Le Var Informations[26].
Les expositions se succèdent. La galerie européenne de la Forêt et du Bois présente pendant six mois ses 18 œuvres. Il expose ensuite à New York (sculptures achetées par Nathan Galeries) à La Nouvelle-Orléans, Tokyo, puis Paris.
Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées dans le monde et en permanence dans des galeries privées comme la galerie Frédéric Gollong à Saint-Paul-de-Vence et dans les galeries Jean-Luc Méchiche, 182, rue de faubourg Saint-Honoré et Frédéric Méchiche, 4, rue de Thorigny.[réf. nécessaire]
En 2007 a lieu l'inauguration de Loplop, le supérieur des Oiseaux, l'homme au caractère doux et féroce en hommage à Max Ernst[27], un trône conçu pour lui. L’artiste Pierre Pinoncelli s’y assoit. Un reportage a été publié dans la revue Supérieur Inconnu avec une dédicace de Sarane Alexandrian, essayiste, romancier, historien d’art et critique littéraire français appartenant au mouvement surréaliste.
Alain Girelli collabore également pendant de nombreuses années avec l'architecte niçois Luc Svetchine[28], fils de l'architecte Andreï Svetchine.
Du au , une sculpture monumentale de hauteur de 4 mètres est exposée en extérieur accompagné de Jacques Charrier artiste, peintre et ex-mari de Brigitte Bardot[29],[30],[31]. « Il y a maintenant une technique parfaite de la part de Girelli, d’une expression au départ brute, son art est devenu très raffiné, élancé. Une œuvre secrète et sobre sur la route des grandes réalisations. Son « univers des formes » abrite des ombres ,des secrets pour des ailleurs autres. Alors bonne route Alain sur les rêves de la sculpture[31]. »
En 2013, dans le magazine AD[32], est présentée une maison de maître où figure un fauteuil sculpture d'Alain Girelli.
La même année, du 1er au , il réalise une exposition à Seillans en hommage à Max Ernst. Un petit reportage vidéo, dans lequel il explique sa démarche, a été réalisé pour l'occasion[33].
En 2012, il participe au Festival du Peu à Bonson.
En 2015, il apparaît dans l'une des réalisations de la télévision du pays de Fayence[34].
Le 26 Juillet 2017, une des sculptures d'Alain Girelli apparait dans le magazine « Planète Déco »[35].
Le week-end du 18 et , dans le pays de Fayence, il a pu être présent aux journées du patrimoine en Dracénie dans le Haut-Var[36]. Durant ces deux jours, il a pu performer Y’a le feu au lac à la Maison du Lac, et exposer ses sculptures Les Mystères de la forêt. Il représente, à sa manière la forêt qui est détruite par des objets et d’autres objets délaissés dans la nature. Le était aussi une journée nommé « Ménage ton lac » où il a pu réaliser et faire réaliser des œuvres à partir de déchets. C’est en milieu d’après-midi qu’il a pu réaliser son happening performance[37].
Il réalise une performance à l'encens de cade — favorisant la manifestation des hauts esprits — à l'ouverture du Festival du peu, les 2 et . Il fait un happening[38],[39] où Jean Mas enflamma son nom[40],[41].
Fin 2021, il apparaît dans le journal Var-Matin grâce à ces deux derniers événements. Une première fois avec le titre, « Alain Girelli, un sculpteur au grand cœur », où il signa des œuvres qui seront vendus au profil des pupilles orphelins des sapeurs pompiers[42] ; une deuxième fois avec le titre, « Alain Girelli, le sculpteur enraciné » qui retrace les grandes lignes de sa vie.
Alain Girelli pratique la technique mixte du dripping à Fayence .Il s'inspire d'une technique de Max Ernst, son maître. En plus, il mélange de la colle avec de la poudre d'encens de cade, bien sûr, afin de donner du relief à ses toiles, pour un résultat unique en son genre. Alain Girelli qui participe aux ''Visites de la passion" organisées par l'Office Intercommunal du pays de Fayence[43].
En 2022, Alain Girelli se diversifie et digitalise son contenu, notamment sur la plateforme YouTube où il montre certaines de ses œuvres.[44]
Œuvres dans l'espace public et les collections publiques
- 1973 : la Fondation des Treilles[45].
- 1978 : école maternelle Les Canoubiers, Cagnes-sur-mer.
- 1979 : école de Tourrettes, Var.
- 1983 : école de Mons, Var.
- 1983 : Escota, autoroute Esterel-Côte d’Azur, aire Jas de Pellicot, sortie de Puget-sur-Argens (Var).
- 1984 : complexe sportif des Lices à Toulon.
- 1986 : école du Muy, œuvre monumentale en arbres de cade, Var.
- 1987 : Centre d'art contemporain de Châteauvert, sculpture monumentale Béton (procédé breveté INPI ), reportage dans la revue Art thèmes.
- 1990 : galerie municipale d'art contemporain Remp'Art à Toulon, sculpture de trois mètres de haut en acier, acquise par François Trucy, sénateur-maire de Toulon, placée ensuite à la mairie annexe de Toulon.
- 1992 : musée de Menton.
- 2012 : musée du Peu à Bonson (Alpes-Maritimes).
- 2022 : musée Wallraf–Richartz Museum à Cologne en Allemagne.
Expositions personnelles
- 1978 : galerie Lucie Weill & Seligmann, décembre et janvier 1977-1978 et du 25 mai au 12 juillet 1978, Paris[46].
- 1984 : exposition individuelle de 15 sculptures dans l'aérogare de l'aéroport Nice-Côte d'Azur (Alpes-Maritimes), 1er-31 juillet.
- 1987 : rétrospective Alain Girelli, parrainée par Express-béton et les Ciments Lafarge-France, à la salle du Couvent de Seillans, 21 août-3 septembre.
- 1989 : aéroport Roissy-Charles de Gaulle (9 mai-15 juin).
- 1990 : aérogare de Roissy-Charles de Gaulle au 2B, départs métropole, exposition de 20 sculptures.
- 1992 : palais de l’Europe de Menton, présentation de 50 sculptures dont une monumentale de 3 mètres en acier, catalogue publié[47].
- 2013 : à Seillans, 30 sculptures dont un trône pour Loplop l'Homme supérieur des oiseaux, à cause de son caractère doux et féroce, en hommage à Max Ernst. Avec performance à l'encens de cade.
Expositions collectives
- 1987: cinquièmes Rencontre des artistes contemporains, organisée par l'Association Défense des arts plastiques, au Palais Croisette à Cannes (Alpes-Maritimes), du 1er au 30 septembre.
- 1987 : Acropolis Nice, exposition 80/80 Artistes Méditerranéens.
- 1988 : Sculpture en Liberté, organisée par la Ville de Toulon.
- 1989 : MAC 2000, manifestation d'art contemporain au Grand Palais à Paris, 24 novembre-3 décembre.
- 1993 : Céramiques-Peintures-Sculptures dans la ville, Cannes.
- 1993 : Salon Art Jonction où la galerie 50 A, présente une grande sculpture, septembre - 14 novembre, Cannes.
- 1993 : Festival des Arts de Beaulieu.
- 1993 : Castel des Arts, organisée par le groupe Quartz, septembre-octobre.
- 1993 : Céramiques-Peintures-Sculptures dans la Ville à Cannes.
- 1994 : Festival des Arts, Beaulieu-Sur-Mer, juillet-Août.
- 1994 : Sculptures, Peintures, Photographies, Castel des Arts. Dans la ville de CANNES 06
- 1994 : galerie Métropole à Monaco, exposition d'Art Contemporain organisée par le groupe Quartz.
- 1995 : Salon Comparaison, Espace Eiffel, Paris, 7 au 23 avril.
- 1996 : Grands et Jeunes d’aujourd’hui, Espace Eiffel, Paris, Peinture Sculpture du 8 au 17 novembre.
- 1997 : Grands et Jeunes d’aujourd’hui, 1997, Espace Eiffel, Paris, Peinture Sculpture du 4 au 14 juillet.
- 2000 : Grands et Jeunes d’aujourd’hui, janvier au 6 février, Espace Eiffel, Paris.
- 2000 : Peinture Sculpture, du 17 au 26 novembre.
- 2000 : Festival des Arts, en été, Beaulieu.
- 2000 : Rencontres des artistes contemporains, palais des Festivals, Cannes.
- 2007 : Revue Architectures Contemporaines en Provence, avec Luc Svetchine architecte auteur du Musée Léger de Biot.
- 2002 : Comparaison, L'art Actuel, 24 janvier au 4 février 2002 Espace Auteuil, Paris.
- 2004 : Comparaison, L'Art Actuel 22 janvier au 1er février 2004, Espace Auteuil, Paris.
- 2006 : Comparaison, « Art Capital », Les Semaines de L'Art Actuel, du 9 au 20 novembre, Grand Palais, Paris[48].
- 2012 : Festival de Peu, Bonson, avec performance à l'encens de cade.
- 2013 : exposition avec performance au Festival du Peu de Bonson.
- 2013 : exposition Hommage à Max Ernst par Alain Girelli. Du 1er au 28 juillet 2013, à Seillans, 83440.
- 2020 : exposition avec performance au Festival du Peu de Bonson.
- En permanence à la galerie Gollong de Saint-Paul-de-Vence et la Nathan gallery à Broadway[49].
Récompenses
- 1987 : médaille d'argent au grand prix de peinture et de sculpture des Cent Ans de la Côte d'Azur, à Tourettes-sur-Loup (Alpes-Maritimes).
- 1989 : médaille d’or de Nice Communication.
- 1989 : premier prix de la Ville de Saint-Jean-Cap-Ferrat à l'exposition septembre des Arts.
- 1992 : premier Prix au Festival des arts de Beaulieu, prix qui lui offre la possibilité de réaliser sa première œuvre en bronze.
Publications d'œuvres et d'articles dans journaux et revues d'art
- 1978 : couverture de la revue Maison no 23.
- 1980 : Décoration Internationale, no 41.
- 1982 : Décoration Internationale, juillet-août.
- 1983 : Maison Française, no 380, septembre.
- 1984 : Gala, « chez Karen Cheryl ».
- 1984 : couverture de Maison et Maison française, juillet-août.
- 1987 : Art thèmes, octobre-novembre 1986 et mai 1987.
- 1990 : Nice-Matin Toulon, 23 février.
- 1990 : Toulon Magazine, no 3 juin (pour la sculpture monumentale).
- 1994 : Nice-Matin, Magazine des Arts, 29 mai.
- 1994 : magazine La Région, no 105, septembre-octobre.
- 1994 : Var-Magazine, 9 mai.
- 1995 : Dimanche magazine, 19 novembre.
- 1996 : page des arts du Dimanche Magazine de Nice-Matin, 9 avril.
- 1999 : Figaro Méditerranée, 2 octobre.
- 1999 : Architectures Contemporaines.
- 2001 : Casa, mai-juin.
- 2002 : AD, no 20, mars.
- 2005 : Var informations, mai de l’Art, Festival Transdisciplinaire à Saint-Raphaël, mai.
- 2005 : Ville Giardini, octobre.
- 2007 : Figaro Magazine, 6 avril.
- AD, juillet 1996 et 2013.
- Nice-Matin, 4 mai 1985, juin 1990,19 novembre 1995, 12 mai 1996 , 3 novembre 1996.
- Maison Française, plusieurs parutions avec galerie Frédéric Méchiche et Luc Svetchine.
- Nombreuses collaborations avec Luc Svetchine pour des magazines de décoration et d'architectures contemporaines en Provence[Lesquels ?].
Performances
- 2011 : avec un groupe de dix enfants de l'école de Callian et une intervention de Pierre Pinoncelli, filmée par Art Côte d'Azur.
- 2011 : Espace d'art Alainjuno (en présence de Jean Mas et Alainjuno), du 1er au 30 octobre 2011.
- 2012 : Festival de Peu de Bonson avec une performance à l'encens de cade.
- 2013 : Performance pour l'exposition en hommage à Max Ernst à Seillans.
- 2013 : performance Jardin des Arts à Fayence, filmée par France 3 Côte D'Azur pour le 19/20.
- 2015 : Espace d'art Alainjuno.
- 2021 : Festival du peu
Notes et références
- (en) « Girelli, Alain », sur oxfordartonline.com (consulté le ).
- Mentionnée dans le catalogue du Max Ernst Museum Brühl, p. 48 et 49.
- « Biographie Alain Girelli ».
- data.bnf.fr.
- « Exposition de groupe Rue du Bac à Paris où sont citées les créations d’Alain Girelli : sièges, tables basses originales en bois. », Le Monde,
- « L'EXPOSITION 72 AU GRAND PALAIS », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Max Ernst (Gérard Patris 1972) » (consulté le )
- planète déco, « Une cabane de pêcheur au Portugal » [article], sur planète déco, (consulté le ).
- La chaise sculpture de la cinquième photographie de l'article est l’œuvre d’Alain Girelli : « Sculpture si�ge (sculpture_siege-05.jpg) », sur alain.girelli.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- Courrier de 1976, localisation inconnue.
- « Exposition "Le bois et l'Homme" (1978) », sur FranceArchives (consulté le ).
- J.P. Giraud, « L'œuvre du sculpteur Alain Girelli très remarquée à l'exposition d'Orly », Nice Matin, .
- Pays de Fayence, « Girello », sur pays de fayence, (consulté le ).
- « Créateurs contemporains, un aspect du patrimoine d'aujourd'hui? », Var Matin, .
- Dépôt INPI brevet pour le procédé.
- Triadys, « Le Centre d'art : présentation », sur Provence verte (consulté le ).
- Marie Lou Mouzon, « Exposition », Art Thèmes, trimestriel, .
- « African Queen », Maison Française, 1986, 1988, p 173 pour 1986 et 101 à 103 en 1988 (Maison Française, septembre 1986, et juin 1988, p 101 à 103.).
- « citation du Dictionnaire Bénézit, 30 lignes, page 179, 1999, Tome 6 », Dictionnaire Bénézit, .
- Musées Menton, Alain Girelli : 50 sculptures : du 21 mars au 9 mai 1992, Palais de l'Europe, Menton / exposition organisée par les Musées de Menton, [la Ville]. Menton, (ISBN 978-2-909601-00-7, lire en ligne).
- « Karen Cheryl », Gala, 3-9 mars 1994, p. 26 à 28.
- « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le )
- « Patrick-Gilles Persin », sur Babelio (consulté le ).
- « Hightech et verre », Résidences, mai-juin 1996, p. 55, 56, 57, juillet-aout 1999, p. 80, 82, 83, mai-juin 1996, p. 55, 56, 57 ; juillet-aout 1999, p. 80, 82, 83.
- (en) « Jumpin' Juniper », Architectural Digest, .
- « Mai de l’Art, Festival Transdisciplinaire à Saint-Raphaël, mai 2005 », Var informations, .
- Isabelle Dalbe, « Alain Girelli hommage à Max Ernst », sur Blog de critique, Art, 1 et juillet 2013
- (en) « 林中小屋 时间停留在上世纪50年代_吕克·斯维钦 », sur www.sohu.com (consulté le ).
- « Exposition Jacques Charrier à Seillans », sur Vous êtes sur le blog PAYS DE FAYENCE, (consulté le ).
- « Vous êtes sur le blog PAYS DE FAYENCE: Une œuvre d'Alain Girelli en bonne place à Seillans », sur Vous êtes sur le blog PAYS DE FAYENCE, (consulté le ).
- « SEILLANS : Les oeuvres de Jacques Charrier - Art Côte d'Azur », sur www.artcotedazur.fr (consulté le ).
- « Mobilier contemporain », AD, n° 20, mars 2002
- « Hommage à Max Ernst - Alain Girelli », par Sébastien Cacioppo sur dailymotion.com.
- « Alain Girelli » (consulté le ).
- « Une cabane de pêcheur au Portugal », sur Planète Déco, (consulté le ).
- La rédaction, « Le programme des Journées du Patrimoine en Dracénie et dans le haut-Var », sur Var-Matin, (consulté le ).
- « MÉNAGE TON LAC #2 - Office du tourisme du pays de Fayence », par OFFICE DE TOURISME INTERCOMMUNAL DU PAYS DE FAYENCE https://www.paysdefayence.com/menage-ton-lac-2/.
- Le happening se distingue de la performance par son caractère spontané et le fait qu'il exige la participation active du public, public qui n'est plus considéré tel quel, mais comme intervenant.
- ici les enfants à Callian avec un autre exemple à Nice).
- « Festival du Peu - "Rien qu'un Peu 2021" - » (consulté le )
- « Performance Alain Girelli Poudre de Cade Festival du PEU 2021 » (consulté le ).
- « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le ).
- « PressReader.com - Digital Newspaper & Magazine Subscriptions », sur www.pressreader.com (consulté le ).
- « Alain GIRELLI - YouTube », sur www.youtube.com (consulté le )
- « La Fondation des Treilles », sur Fondation des Treilles (consulté le )
- « Tract de la galerie Lucie Weill »
- « 73 Sculptures Arts apparentés », Livres Hebdo, vol. 14, no 4, (lire en ligne)
- Art Capital est né en 2006 de la volonté des Salons dits « Historiques du Grand Palais » et d’artistes d’horizons divers de jouer de leurs différences, d’unir leur force pour créer un événement fédérateur et nouveau.
- « Galerie Frédéric Gollong - Loisirs culturels - Saint-Paul », sur Destination Côte d’Azur France – Le Site officiel (consulté le ).
Annexes
Bibliographie
- J. P. A. Akoun, Akoun: répertoire biographique d'artistes de tous pays des XIXe et XXe siècles. CV-XIX-XX, Cote de l'amateur, , 1481 p. (ISBN 9782859174293, présentation en ligne), p. 624.
- (en) « Girelli, Alain », dans Benezit Dictionary Of Artists, vol. 6, (lire en ligne), p. 276.
Liens externes
- Ressource relative aux beaux-arts :
- (en) Bénézit
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