Albert Ribaucour
Albert Ribaucour (né le à Lille, mort le à Philippeville, aujourd'hui Skikda, en Algérie) était un ingénieur des travaux publics et un mathématicien français[1],[2].
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(à 47 ans) Skikda |
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Biographie
Albert Ribaucour étudie à l'École polytechnique à partir de 1865[3], puis à l'École des Ponts et Chaussées en 1867. Il commence à travailler comme ingénieur, sur des missions ponctuelles, notamment dans le département de l'Yonne, sur le Canal du Nivernais. Puis, il intervient, en 1870, à l'arsenal de la Marine de Rochefort, et, en 1873, à Draguignan. Il abandonne ces fonctions de à , pour un poste de répétiteur adjoint de géométrie à l'École polytechnique, en remplacement d'Edmond Laguerre. Puis, il revient exercer comme ingénieur à Draguignan, à Brignoles, puis en 1878 à Aix-en-Provence. Après un séjour à Vesoul, il est affecté en en Algérie[1].
Il est connu également pour ses contributions en mathématique, particulièrement en géométrie différentielle et en surface minimale. Ces recherches sont menées en parallèle de sa carrière d'ingénieur[1].
Quelques travaux
- 1870: Sur la déformation des surfaces, Comptes Rendus, 70, p. 330
- 1872: Note sur les développées des surfaces, Comptes Rendus, 74, p. 1399
- 1872: Sur la théorie des lignes de courbure, Comptes Rendus, 74, p. 1489
- 1872: Sur la théorie des lignes de courbure, Comptes Rendus, 74, p. 1570
- 1873: Sur les systèmes cycliques, Comptes Rendus, 76, p. 478
- 1873: Sur les faisceaux de cercles, Comptes Rendus, 76, p. 830
- 1880: Étude des Élassoïdes ou Surfaces A Courbure Moyenne Nulle
Notes et références
Notes
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Albert Ribaucour » (voir la liste des auteurs).
Références
- Bernard Rouxel, « L'Œuvre Mathématique D'Albert Ribaucour », Archive for History of Exact Sciences, vol. 23, t. 2, , p. 159–177
- (de) Ilgauds Gottwald, Lexikon bedeutender Mathematiker, Leipzig,
- Maurice d'Ocagne, Histoire abrégée des sciences mathématiques, Vuibert, , « Albert Ribaucour », p. 319
Voir aussi
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