Alexain

Alexain est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 606 habitants[Note 1].

Alexain

Église Notre-Dame-de-l'Assomption.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes Mayenne Communauté
Maire
Mandat
Guillaume Chesneau
2020-2026
Code postal 53240
Code commune 53002
Démographie
Gentilé Alexinois
Population
municipale
606 hab. (2019 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 44″ nord, 0° 46′ 05″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 167 m
Superficie 16,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mayenne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mayenne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Alexain
Géolocalisation sur la carte : France
Alexain
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Alexain
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Alexain

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Le territoire de la commune se trouve séparé en deux parties distinctes et égales (entre ces deux parties se situe Saint-Germain-d'Anxure). Elle est située à 140 mètres d'altitude, à 20 kilomètres de Laval et 14 kilomètres de Mayenne.

    On y dénombrait 450 habitants au dernier recensement contre 546 en 1726, 1093 en 1831, 937 en 1881 et 710 en 1902. Son territoire recouvre une superficie de 1 624 ha.

    Le bourg est implanté sur le côté est, l'autre partie appelée Grand Quartier et le hameau du Montgiroux sont à l'ouest sur la Mayenne. Ils se prolongent, au nord-ouest, par les massifs qui supportent la forêt de Mayenne et culminent à 180 voire 200 mètres d'altitude. Cette partie est arrosée par la Mayenne et cernée, sur deux côtés, par la tumultueuse Anxure. Les communes voisines de Saint-Germain-d'Anxure et de Contest se rejoignent là, dans l'intervalle restant libre, entre le canton du bourg et le Grand-Quartier. Les habitants de ce quartier ne peuvent se rendre à leur clocher qu'en passant par le bourg voisin.

    Vers la fin du XVIIe siècle, ce territoire comptait quinze métairies. Miroménil y dénombrait « 40 journaux de bois », propriété des seigneurs de la Feuillée. Les prairies fournissaient « 300 charretées de foin », quant au reste, des terres médiocres, elles produisaient du seigle, de l'avoine et du sarrasin. En 1777, Le Paige notait la culture du seigle, du froment, de l'orge et du « carabin ». De nos jours, la commune est entourée de pâturages : ses agriculteurs s'adonnent à la pratique de la polyculture et élèvent des bovins et des porcins.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 807 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mayenne », sur la commune de Mayenne, mise en service en 1948[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 829,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 67 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Alexain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mayenne, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,9 %), prairies (40,3 %), zones urbanisées (1,9 %), forêts (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2016). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références de qualité et vérifiables (comment faire ?) ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
    • Presbyter de Alesain (1180),
    • Alesain (1180),
    • Ecclesia de Alexiono (XVe siècle),
    • Lexain (1577),
    • Alexin (1680),
    • Alessaim, Alexain (1777).

    Étymologie

    La légende dit qu'Alexain doit son nom à une statue de la Vierge, découverte dans un hêtre avec un essaim d'abeilles. L'église fut construite à cet endroit et tout naturellement appelée Notre Dame à l'essaim et par la suite Notre Dame d'Alexain d'où le nom de la commune : Alexain.

    D'après le dictionnaire de l'abbé Angot, l'origine de cette légende peut être attribuée à une fausse interprétation du nom d'Alexain qui viendrait du gaulois et signifierait « domaine d'Alisanos ».

    Selon Xavier Delamarre[22], Alisanos serait un théonyme formé sur Alisia qui signifie alisier ou rocher (cf. vieil irlandais ail, rocher, grosse pierre). Le nom d'Alise et le dérivé hydronymique Alisontia ont la même origine.

    Liste des toponymes[23]
    • Ardillère (l’) ou Hardillière, f.
    • Blanchardière (la), fief vassal du duché de Mayenne
    • Bordelière (la), f.
    • Brécinière (la) ou Bressinière, f.
    • Bricaudière (la), f.
    • Buissonnière (la) ou bussonnière, f.
    • Bussonnière du Houx (la), f.
    • Capelière (la),
    • Chalonge (le), f.
    • Chellerie (la), vill.
    • Chesnay (le), f.
    • Cocherie (la), f.; donne son nom a un ruiss. affl. de la Mayenne qui arrose aussi Saint-Germain-d'Anxure
    • Coulairie (la), f.
    • Créans-la-Motte, vill.; le min détruit a laissé son nom à une ferme
    • Davière (la), f.
    • Domaine (le), f.; donne son nom a un ruiss. affl. de celui de la Cocherie
    • Englècherie (l’) ou Anglécherie (l’), h.
    • Entredouzière (l’), f.; Lantredousière (Cassini)
    • Fay (le), f.
    • Fêterie (la), f.
    • Feuillée (la), h.
    • Fosse (la), f.
    • Fromenterie (la), h.
    • Gandelay (le), f.
    • Gérardière (la), f.
    • Halleray (le), vill.
    • Hambers (le Bas), h.; Hambais (Cassini) fief vassal du duché de Mayenne, Moulin aujourd’hui détruit
    • Hambers, f.
    • Heurtrie (la) ou Heurterie, f.
    • Houellerie (la) ou Houllerie, f.
    • Jeusserie (la), f.
    • Lardière (la), h.
    • Largerie (la), f.
    • Livet (le), h.
    • Livet (le Petit), éc.
    • Maillardière (la), f.
    • Maison-Neuve-de-la-Marie (la), f.
    • Maison-Neuve-de-Marigny (la), f.
    • Malgallerie (la),
    • Malvoisine (Ruisseau de), ruiss. affl. de la Mayenne qui arrose aussi Andouillé
    • Marie (la), chât.; fief vassal de la châtell. de Laval
    • Marigny ou Marigné, chât.; fief vassal du duché de Mayenne s’étendait sur Alexain, Placé, Saint-Germain-d'Anxure, Contest et La Bigottière
    • Masure (la), f.
    • Métairie (la), vill.
    • Métivage (le), f.
    • Mézeray (le), f.
    • Minerie (la), f.
    • Monchien (le Bas et le Haut), f.
    • Monnerie ou Mennerie (la), f.
    • Montgiroux, vill.; Gaufridus de Monte-Girulfi, 1241 (abb. de Savigny, Arch. nat. L 970); fief vassal du duché de Mayenne
    • Morinais (la), h.
    • Morinière (la), f.; donne son nom a un ruiss. affl. de celui de la Meslay
    • Motte-Crehen (la), fief vassal du duché de Mayenne
    • Moulin Neuf (le),
    • Pelardière (la), f.
    • Pommeraie (la), f.
    • Pont d’Anxure (le),
    • Primaudière (la), f.
    • Quetterie (la), f.
    • Rabotinière (la), vill.
    • Radiveaux ou Radivaud, f.
    • Ravardière (la), f.
    • Reveux (le Grand et le Petit), h.
    • Rochellerie (la), vill.
    • Rocher (le), h.
    • Rongère (la), f.
    • Ruaux, h.; étang dessécher et moulin détruit en 1808
    • Rubert, f.
    • Saulnerie (la), f.
    • Tannerie (la), éc.
    • Valette (la), f.
    • Vau-Martin, f.
    • Vieux-Créan (le), f.
    • Villette (la), f.;fief vassal du duché de Mayenne

    Histoire

    La seigneurie paroissiale appartenait à la seigneurie de la Feuillée, une seigneurie située en bordure de la route qui relie Alexain à Andouillé, à 1,5 kilomètre de La Bigottière. Seigneur de Surgon et de Marigny, Jean de Fontenailles tenta bien d'élever des prétentions sur les droits honorifiques et sur le patronage de l'église vers les années 1615-1616. II en fut, bon gré mal gré, débouté en faveur de la dame de la Feuillée, Radegonde des Rotours, et dut se contenter de la seigneurie du grand cimetière.

    En octobre 1433, ses habitants allèrent à Mayenne pour prendre des lettres de congé des Anglais. Au cours du XVIIe siècle, elle reçut « par reconnaissance » le hameau de Montgiroux (qui appartenait alors à Saint-Germain-d'Anxure), à la suite d'une épidémie de peste qui décima les habitants de Saint-Germain-d'Anxure et de Contest. En effet, ces derniers ne reçurent le réconfort et le secours de la religion que grâce au dévouement du curé d'Alexain qui vint lui-même leur apporter les sacrements et les soulager. En 1800, les administrateurs du département classèrent Alexain au nombre des communes ou les Chouans ne purent jamais pénétrer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    1840 1870 René-Marin Bouillé    
             
    1953   Jean Montron    
     ? 1988 Germain Bourguoin    
    1988 mars 2008 Janine Chesneau   Agricultrice
    mars 2008[24] En cours Ernest Guihery[25]   Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    René-Marin Bouillé, maire de 1840 à 1870, veuf et sans enfants, fit don du bâtiment de l'actuelle maison de retraite, fondée en 1857, ainsi que de trois fermes pour subvenir aux besoins de l'hospice qu'il y fonda en même temps que l'école des filles (tenue par les sœurs d'Evron). Il fut récompensé par Napoléon III de la Légion d'honneur. L'hospice était ouvert à tous les vieillards d'Alexain, quatre de Placé, deux de Saint-Germain-d'Anxure, et un de La Chapelle-au-Grain.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2019, la commune comptait 606 habitants[Note 8], en diminution de 1,62 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0208651 0101 0031 0301 0321 1031 0701 087
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0451 0461 009940937888803741717
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    702676663614615546541536530
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    503468433410418402450594599
    2019 - - - - - - - -
    606--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
    • La stèle gauloise sise à la Pommeraie, sur la route de Mayenne, signalée en bordure de route.
    • Pierres armoriées à l'entrée du cimetière.
    • Croix votive à l'intérieur du cimetière.
    • Le hameau de Montgiroux sur la rivière la Mayenne est un site touristique où l'on peut découvrir à la fois les plaisirs de l'eau et de la campagne.
    • Château de la Feuillée : il existe toujours, mais après avoir été saccagé pendant la Révolution française, il a été reconstruit en 1809 (sauf les servitudes du XVIe siècle, qui ont subsisté). Il a longtemps appartenu à la famille d'Orange (ou plutôt d'Orenge) qui le possédait depuis le XIIe siècle.
    • Château de la Guitterie.
    • Château de la Marie.

    Héraldique

    Blason
    Parti d’azur et de gueules ; à une étoile d’argent, accompagnée de cinq abeilles d’or, aboutées par l’abdomen à chacune des pointes de l’étoile.
    Détails
    Le parti d’azur et de gueules indique que le territoire de la commune est coupé en deux, ce qui est peu fréquent en France. Les couleurs choisies sont celles du département de la Mayenne.

    De plus l’azur symbolise les nombreux cours d’eau communaux dont la Mayenne et l’Auxure, alors que le gueules représente la couleur de la terre qui est travaillée depuis des temps immémoriaux.

    L’étoile est l’un des symboles qui représente la Vierge, sainte patronne de la paroisse sous le vocable de l’Assomption.

    Les abeilles associées avec l’étoile reprennent la légende d’Alexain où une statue de la Vierge a été découverte auprès d’un essaim d’abeilles.

    Les ornements sont deux gerbes de blé d'or, mises en sautoir par la pointe et liées de gueules, afin de rendre hommage au travail agricole.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 65
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Mayenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Alexain et Mayenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Mayenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Alexain et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance 2003. p 38 et 39
    23. Base des toponymes aux archives en ligne de la Mayenne et Dictionnaire topographique du département de la Mayenne de Léon Auguste Maître
    24. « Politique. Alexain : le premier adjoint, Damien Foubert, a démissionné », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    25. Réélection 2014 : « Ernest Guihéry a été réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    • Portail de la Mayenne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.