Antoinette Montaigne

Antoinette Montaigne, née le à Bangassou, est une femme politique franco-centrafricaine. Docteur en droit pénal. Elle a soutenu sa thèse sur « la délinquance des mineurs en banlieue parisienne » sous la direction d'Henri Robert en 1999, à l'université de Paris 2.

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Antoinette Montaigne
Fonctions
République centrafricaine
Ministre de la Communication et de la Réconciliation nationale
Successeur Victor Waké
Conseillère municipale de Bussy-Saint-Georges
Biographie
Nom de naissance Antoinette Moussa
Date de naissance
Lieu de naissance Bangassou (République centrafricaine)
Nationalité Franco-centrafricaine
Parti politique UMP

Biographie

En , elle figure en 10e position sur la liste d'Hugues Rondeau[1], maire CNIP sortant de Bussy-Saint-Georges ; et à la suite de la victoire de ce dernier, elle devient conseillère municipale déléguée à la Médiation juridique et sociale et à la Coopération décentralisée[2]. Le , elle est nommée ministre de la Communication et de la Réconciliation nationale dans le gouvernement centrafricain de transition du Premier ministre André Nzapayeké[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10],[11]. Le , elle quitte ses fonctions de ministre, pour devenir porte-parole de la Présidence centrafricaine[12]. Contestée dans son action gouvernementale et soupçonnée de corruption par le journal Jeune Afrique alors qu'elle avait lancé une critique contre le pouvoir des médias, elle est limogée par décret le [13]. Elle exigera que toute la lumière soit faite sur cette atteinte.

Son travail repose sur la construction de la paix, la lutte contre la violence et le développement durable.

Notes et références

Liens externes

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